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REPÉRAGES #96-2024 (accès libre)
Sept montres qui ont les moyens de vous faire parler autrement du temps qui passe

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 96e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Alpina, Franck Muller, Longines, Louis Érard x Cédric Johner, Louis Pion, Maurice Lacroix et Omega…


OMEGA nouvelles Speedmaster 38 mm

Omega élargit sa collection Speedmaster 38 mm avec de nouveaux modèles en or et en acier surmontés d’une étincelante lunette pavée de 52 diamants et assortis d’une couronne sertie d’un diamant. Les ambassadrices de la marque Kaia Gerber, Han So-hee (ci-dessous) et Liu Shishi présentent ces luxueux chronographes sous leur plus beau jour. Lancée en 2017, la collection Speedmaster 38 mm d’Omega propose aux amateurs de la marque une interprétation luxueuse de l’esthétique inimitable du chronographe. Particulièrement prisée, la Speedmaster 38 mm « Cappuccino » en or Sedna 18K arbore des compteurs ovalesbruns horizontaux et un guichet de date ovale vertical à 6 heures. Un design inspiré des compteurs ovales qui ornaient autrefois les montres De Ville. Cette année, Omega élargit la collection avec huit nouveaux modèles : deux en or Sedna 18K, deux en or Moonshine 18K et quatre en acier inoxydable classique, le tout déclinant deux superbes coloris de cadran différents. Aux diamants de la lunette, représentant au total environ 1,5 carat, s’ajoutent ceux qui viennent cercler les compteurs de chaque montre. Tout le raffinement de ce généreux pavage ne fait pasoublier le caractère unique de la Speedmaster. En effet, Omega a su rester fidèle à l’esthétique et à l’héritage de son chronographe le plus emblématique. Les nouveautés 2024 incluent deux modèles habillés d’or Sedna 18K, un alliage propriétaire d’Omega. Ils arborent un cadran traité PVD brun et des compteurs ovales horizontaux argentés. Les aiguilles des heures et des minutes en or Sedna 18K diamantées sont revêtues de Super-LumiNova blanc à lueur verte. L’une des montres est présentée sur un bracelet en or Sedna 18K poli et satiné, doté d’unsystème de réglage confort breveté Omega. L’autre repose sur un bracelet en cuir brun fermé par une boucle déployante en or Sedna 18K. Les nouveaux modèles Omega en or Moonshine 18K sont tous les deux dotés d’un cadran traité PVD vert à compteurs ovales horizontaux argentés, complétés par un guichet de date ovale vertical à 6 heures. Les aiguilles des heures et des minutes en or Moonshine 18K diamantées sont revêtues de Super-LumiNova blanc à lueur verte. Les fans de la Speedmaster 38 mm pourront choisir entre un bracelet en or Moonshine 18K satiné et poli avec système de réglage confort breveté Omega ou un bracelet en cuir vert avec boucle déployante en or Moonshine 18K.

Omega propose aux amateurs d’acier inoxydable classique quatre nouvelles éditions. Le cadran en PVD se décline en deux coloris, brun et vert, et deux options d’ajustement : un bracelet doté du système de mise à l'aise breveté Omega ou un bracelet en cuir assorti fermé par une boucle déployante en acier inoxydable. Tous présentent des compteurs ovales horizontaux à revêtement argenté, un guichet de dateovale vertical à 6 heures et des aiguilles des heures et des minutes rhodiées et diamantées, revêtues de Super-LumiNova blanc. Tous les modèles possèdent un étincelant fond de boîtier vissé, étampé d’un médaillon Hippocampe. Un clin d’œil à l’histoire prestigieuse de la Speedmaster. La montre est animée par un chronomètre officiellement certifié : le calibre Omega Co-Axial 3330. Un chronographe àremontage automatique avec roue à colonnes, échappement Co-Axial et balancier sans raquette équipé d’un spiral en silicium Si14. L’objectif premier était de faire tourner les têtes en mettant l’accent sur l’esprit luxueux, grâce à des boîtiers entièrement polis et des lunettes pavées de diamants étincelants d’environ 1,5 carat. Pour les cadrans, les designers d’Omega se sont inspirés des modèles héritage, comme le cadran vert de la Moonwatch de 42 mm en or Moonshine ou le cadran brun de la De Ville Chocolat, qui a rencontré un franc succès il y a quelques années. Ces nouvelles Speedmaster 38 mm signées Omega illuminent l’impressionnante sélection déjà disponible en ligne et en boutique, qui comprend notamment trois modèles star. Un modèle avec boîtier et bracelet en acier inoxydable, cadran noir, et aiguilles et index rhodiés. La Speedmaster 38 mm en acier inoxydable et or jaune 18K avec cadran opalin argenté et bracelet en cuir vert. Et bien sûr, la très populaire « Cappuccino » en acier inoxydable et or Sedna 18K avec bracelet en cuir brun-taupe.

MAURICE LACROIX Aikon Automatique bronze

La nouvelle Aikon Automatic Bronze capitalise sur la synergie inhérente du métal et du marron pour évoquer l’élégance dans toute son originalité. Le motif Clous de Paris délicatement nuancé sur le cadran, ainsi que les discrets index bâtons, reflètent parfaitement les codes esthétiques de la collection, tout en les faisant évoluer. Fidèle à la tradition des pièces en bronze chez Maurice Lacroix, cette nouvelle série est proposée en édition limitée à 888 exemplaires. En 2016, quand Maurice Lacroix présente l’Aikon, une réinterprétation audacieuse de la Calypso, l’un des modèles les plus vendus des années 1990, la Maison était loin d’imaginer qu’elle deviendra une référence dans l’industrie. Un an plus tard, en 2017, une nouvelle étape est franchie : Maurice Lacroix est une des premières Maisons à faire revivre un métal presque oublié dans l’horlogerie de luxe avec l’AikonBronze. Aujourd’hui, l’Aikon Automatic Bronze perpétue cette tradition en réinterprétant parfaitement une esthétique raffinée avec une touche urbaine distinctive et audacieuse. Reflétant cette philosophie, l’histoire du métal comme pierre angulaire de la civilisation humaine est aussi fascinante que ses propriétés naturelles : ce matériau développe une patine distinctive au fil du temps qui, conséquence directe de la manière, du moment, du lieu et de la personne qui porte la montre, conduit à la forme ultime de personnalisation. L’Aikon Automatic Bronze est dotée d’un robuste boîtier de 42 mm en bronze brossé, complété par des cavaliers sablés sur la lunette, qui ajoutent subtilement de la profondeur et du caractère. D’une épaisseur de boîtier de 11 mm, la montre est discrète et raffinée au poignet, mais ne passe pas inaperçue. Le fond ouvert, en acier inoxydable, offre une vue fascinante sur le mécanisme. Etanche à 20 ATM (200 mètres) l’Aikon Automatic Bronze est prête à relever tous les défis, dans tous les environnements. Si le précédent modèle en bronze de 42 mm présentait un cadran quadrillé bleu profond avec des chiffres arabes à 12, 6 et 9 heures, l’AikonAutomatic Bronze franchit une nouvelle étape dans la sophistication avec un cadran dégradé chocolat fumé.

Le motif Clous de Paris ajoute du relief et de la complexité, tandis que le logo Maurice La-croix en PVD or 4N à 12 heures apporte une touche d’éclat. Jeu d’ombres et de lumières, les aiguilles facettées des heures, des minutes et des secondes en or 4N, glissent avec élégance sur les index de même couleur. L’application de Super-LumiNova® blanc sur les index et les aiguilles des heures et des minutes assure une lisibilité optimale au premier coup d’œil, même en cas de faible luminosité. De plus, elle contribue, avec le jeu des tons et des textures, à souligner le charme distinctif de ce modèle. Maurice Lacroix a travaillé étroitement avec le fabricant spécialisé Sellita pour développer le calibre automatique exclusif ML135, basé sur le légendaire SW200. Conformément aux exigences élevées de Maurice Lacroix en matière de précision horlogère, le mouvement, dont les composants sont rhodiés, présente de superbes finitions de colimaçonnage et de perlage. Le rotor, visible par le fond ouvert, est orné du logo Maurice Lacroix. Avec 28’800 alternances par heure, le mouvement garantit une précision fiable avec une réserve de marche de 38 heures. Le bracelet en cuir brun vintage intégré, orné de l’emblème « M » en or 4N, souligne le concept d’élégance urbaine avec une touche d’originalité. Il complète naturellement le boîtier en bronze, en résonance avec l’évolution de la patine de la montre. La surpiqûre gris clair crée un contraste à la fois subtil et prononcé, d’une sophistication indéniable. Le système EasyStrap, breveté par Maurice Lacroix, est un exemple de fonctionnalité : il permet de changer de bracelet en quelques secondes, sans outil particulier, pour s’adapter à toutes les occasions. Stephan Waser, Directeur général de Maurice Lacroix : « En moins de dix ans, l’AIikon est devenue synonyme de style urbain, et la gamme de références ne cesse de s’élargir. Au cœur de l’évolution permanente de l’Aikon se trouve l’état d’esprit de Maurice Lacroix, qui imprègne toutes les facettes de notre Maison : faire preuve de créativité. Dans cet esprit, l’Aikon Automatic Bronze démontre une fois de plus que la fusion des matériaux, des couleurs et des textures alliés à la précision, la fiabilité et la durabilité peut donner naissance à quelque chose de nouveau et de distinctif.»

LOUIS PION Marin

Le look singulier de Marin ne laissera pas de marbre les adeptes de montres de caractère, tant sportives que sophistiquées. Index de grande taille, lunette tournante unidirectionnelle au repère bombé, couronne vissée avec protection, mais aussi photoluminescence Super-LumiNova sur ses indicateurs : les initiés sauront reconnaître les codes d'une montre de plongée. En complément de son étanchéité 10ATM (10bar ou environ la pression atmosphérique de 100m de profondeur), elle bénéficie d'une construction spécifique et plus robuste pour s'adapter aux conditions de pression et d'obscurité de cet environnement. Orientée en diagonale, la couronne n'entrave pas les mouvements du poignet. Son protège-couronne garantit quant à lui une résistance accrue aux chocs et une étanchéité optimale, ce dernier ne pouvant se refermer qu'avec la couronne correctement vissée. Ce modèle Marin se compose d'un boîtier de 41 mm et d'un bracelet en acier argenté. Clin d'oeil aux fonds marins, son cadran dégradé vert se mêle progressivement au noir (180 euros).

ALPINA Seastrong Diver Extreme Automatic

Il y a des évolutions et des ruptures. La nouvelle Seastrong Diver Extreme Automatic appartient à la seconde catégorie. Pour la première fois, Alpina extrait la puissance de son boîtier Extreme, de forme coussin, et l’implante au sein de sa collection Seastrong. Conquête alpine et maritime fusionnent au profit d’une création originale puissante et racée, automatique, en boîte acier de 39 x 40,50 mm. Une première variation avec cadran anthracite est dotée du bracelet acier intégré de la ligne Extreme, dévoilé en 2023. Les deux autres versions, sportives et dynamiques, disposent d’un cadran bleu marine sur bracelet caoutchouc du même ton, ou d’un réhaut orange et bracelet caoutchouc également assorti. Chaque pièce, plongeuse certifiée avec trois aiguilles et date, est étanche à 300 m. Alpina franchit un cap esthétique et technique comme autant d’obstacles sur le chemin de ses activitésoutdoor : l’atelier a choisi d’adapter son iconique boîtier Extreme à sa ligne de montres de plongée Seastrong Diver. Ce choix, rare en une horlogerie qui préfère plutôt cloisonner ses gammes et modèles, traduit l’importance de ce format coussin compact et nerveux. Son succès n’est plus seulement celui de la ligne Extreme, mais celui de toute la maison Alpina.x Le résultat s’impose avec évidence. Dans sa version réduite et unisexe de 39 x 40,50 mm, la boîte s’implante spontanément dans la collection Seastrong. Terre et Mer se rapprochent de manière intuitive, comme le rivage d’un océan vient naturellement épouser le trait de côte qui l’accueille. La Seastrong Diver Extreme Automatic affirme une esthétique sportive, mais sa taille mesurée lui permettra sans difficulté de s’adapter à un quotidien urbain, sous une chemise ou sous une veste. Alpina confirme ici son approche d’une horlogerie technique, sans compromis, mais juste et équilibrée, jamais ostentatoire – un héritage de bon goût et bienséance provenant de sa longue histoire, qui a franchi l’année dernière le cap des 140 ans.

La nouvelle Seastrong Diver Extreme Automatic est dès aujourd’hui déclinée en trois variations. Elles partagent un même vocabulaire esthétique et technique, ADN de la collection. Au cœur d’un cadran texturé du motif triangulaire emblématique de la Maison, se déploient trois aiguilles centrales polies à la main, et un guichet de date à 6h. Pour un maximum de lisibilité, et en parfaite conformité avec la norme ISO 6425 qui certifie les montres de plongée, les aiguilles des heures et minutes, ainsi que les index des heures, sont empreints de matière luminescente. Le guichet de date est proposé avec chiffre noir sur fond blanc. Comme l’exige l’usage, la lunette est crantée etunidirectionnelle. Alpina lui ajoute une spécificité maison, non obligatoire mais jugée pertinente pour les activités outdoor : elle est en céramique, un matériau d’une extrême dureté et résistance aux chocs et rayures. Pour garantir une étanchéité certifiée à 300 m, le fond est vissé - et gravé du motif Seastrong – de même que la couronne crantée à 3h. Le mouvement automatique AL-525, offrant 38 heures de réserve de marche, est ainsi parfaitement protégé. Le premier modèle offre de multiples nuances de gris. C’est le seul à être équipé du bracelet acier intégré, développé spécifiquement pour le boîtier Extreme. C’est donc ici sa première transposition dans l’univers Seastrong. Conformément aux usages de la haute horlogerie, il présente une alternance de surfaces polies et satinées, déclinée sur trois maillions qui tombent naturellement sur le poignet, fermé par une boucle déployante. Son cadran est gris anthracite, sa lunette est noire. Les deux versions suivantes, sportives et dynamiques, lui préfèrent un bracelet en caoutchouc texturé, lui aussi fermé par une boucle déployante sécurisée par un poussoir. La première variation est bleu marine, avec cadran et grip de couronne assortis. La seconde variation se décline sur un cadran noir relevé d’un éclatant rehaut orange, de la même couleur que son bracelet en caoutchouc.

LOUIS ÉRARD x Cédric Johner Régulateur

La nouvelle collaboration de Louis Erard franchit une nouvelle étape dans l’exploration de la belle horlogerie contemporaine. Cette fois, il n’est pas seulement question de signatures, de tous ces détails qui font la griffe d’un créateur. Cette fois, l’horloger-joaillier Cédric Johner a décoré de sa main, avec son perloir, les masses de chaque mouvement. Boitier de 39 millimètres, deux variations (bleu, mauve), deux fois 178 exemplaires. Voilà comment une montre devient un message. Mieux, un symbole. L’image même du partage. Louis Erard a pris l’habitude d’ouvrir le champ de vision de l’horlogerie contemporain, en invitant des architectes, des artistes, des artisans, des métiers d’art, des horlogers indépendants. Cette nouvelle collaboration avec le Genevois Cédric Johner est à la croisée de tous ces chemins. Cédric Johner — il le dit lui-même — pratique une « horlogerie intuitive ». C’est-à-dire qu’il fait ses montres sans plans. Il réalise un premier composant, puis le suivant, qui viendra s’y ajuster. Et ainsi de suite, jusqu’à la montre terminée, décorée. Montre après montre, une à la fois, à la commande, juste quelques unités par année. Il part souvent de mouvements existants. Il aime les mécaniques vintages. Il les sélectionne, pour l’équilibre de leur architecture, pour leur état. Puis il les démonte, les restaure, les décors, les réassemble. Il passe ensuite à l’habillage, qu’il réalise dans son atelier, à la main, en partant de métal brut ou à peine mis en forme, qu’il usine sur des machines conventionnelles. Sans plans, sans assistance informatique.

Il travaille seul. Et seulement avec ses deux mains, il peut tout faire. Comment fait-il ? C’est toute l’histoire de Cédric Johner. Un artisan à part, qui a connu toutes les mutations du secteur et a pratiqué tous les métiers. Sa carrière commence par un apprentissage de joaillier, chez Chopard. Il complètera avec une formation d’horloger. Mais c’est surtout la pratique qui lui a tout appris. Profitant de chaque occasion et de chaque rencontre pour apprendre. Il devient indépendant tout de suite, dès la fin de son apprentissage. Se met au service des clients, réalise des pièces sur mesure. Joaillerie, bracelets, boitiers, montres complètes. Un jour des années 1990, il franchit le pas et réalise une première montre, pour lui. Il dessine une boite, qu’il nomme Abyss. Un design unique, né de la main, de la lime, pas de la tête. L’une de ses particularités est une ouverture de cadran hexagonale. Sur cette base, il se livrera à toutes les variations, trois aiguilles, grandes complications. Il développera ses propres décorations, comme sa tapisserie de grains réalisés au perloir, un pur outil de joaillier. Il lui manquait une chose : réaliser une pièce moins exclusive, qui ne soit pas réservée aux collectionneurs, mais sans faire de concession et en gardant toutes les signatures de son art. C’est là que Manuel Emch, directeur artistique et CEO de Louis Erard frappe à sa porte. Ils se connaissent, partagent les mêmes valeurs. Ils veulent travailler ensemble. Leur poignée de main est comme un pont jeté entre deux mondes, entre la montre d’artiste et la belle horlogerie accessible. Le partenariat est lancé. Le pitch tient en quelques mots : réaliser une création de petite série aussi raffinée qu’une pièce unique, sans faire de concession.

Le résultat le voilà. Le Régulateur Louis Erard x Cédric Johner, deux variations, l’une avec cadran bleu, l’autre en mauve, limitée à deux fois 178 exemplaires. Toutes les signatures sont présentes. Celle de Louis Erard, le boitier Excellence, la couronne sapin, le calibre régulateur. Et toutes les signatures de Cédric Johner. La sophistication extrême du cadran, avec son décor gravé comme un guillochage, ses compteurs d’heure et de minute tournés et concaves, pour rajouter des contrastes et du volume. L’ouverture de la lunette, hexagonale, si reconnaissable. Sans oublier la touche artisanale : la masse du mouvement automatique décorée de la main de Cédric Johner (ci-dessous), 230 petits grains sortis au perloir, masse après masse, dans son atelier. Ensemble, on est toujours plus fort.

FRANCK MULLER Round Lady Skeleton Baguette

Dans sa quête de créations originales, Franck Muller offre une pièce iconique à ses collectionneurs : la Round Lady Skeleton Baguette, un garde-temps d'exception serti de diamants baguettes, reflétant l'alliance parfaite entre l'univers de la Haute Joaillerie et le savoir-faire horloger. Cette pièce s'intègre harmonieusement dans la prestigieuse ligne Round, célébrant le savoir-faire de Franck Muller dans l'art de l'horlogerie. La Round Lady Skeleton Baguette, avec son profil épuré et son design discret, est le résultat d'une quête de pureté et d'excellence, incarnant les principes fondamentaux de l'horlogerie. Elle est l'expression même de la haute horlogerie, où chaque détail est conçu pour refléter le luxe et l'héritage d'un artisanat distingué. Le mouvement squelette, alliant esthétique et technicité, révèle un mécanisme de haute technicité et un style parfaitement équilibré. Dans ce garde-temps, Franck Muller a minimisé le mouvement squelette pour le faire entrer dans un boîtier de 31 mm. Cette prouesse permet d'observer en détail le mécanisme tout en conservant une élégance raffinée. Certaines pièces, comme la platine ou les ponts, sont squelettées pour rendre visibles les composants de la montre et offrir une expérience visuelle captivante. Disponible en or blanc et en acier inoxydable, ce garde-temps récent se distingue par son design élégant et perfectionniste, ce qui fait de cette montre un accessoire intemporel qui apporte sophistication et élégance.

LONGINES Mini DolceVita

Lancée en 2023, la ligne Mini DolceVita s’agrandit cette année avec de nouveaux modèles habillés de bracelets double tour exclusifs. En cuir nappa noir, beige gold, rose, rouge, orange ou vert, ces bracelets au design Longines enlacent le poignet avec souplesse. Présentées dans leur emblématique boîtier rectangulaire, avec ou sans sertissage de diamants, ces nouvelles Mini DolceVita démontrent encore une fois que l’élégance se trouve dans les moindres détails. Pour dévoiler ces montres, la marque au sablier ailé a collaboré avec son Ambassadrice de l'Elégance Kate Winslet sur une campagne originale qui célèbre sa vision unique du temps. Avec son profil discret, son style classique et ses variations esthétiques aussi modernes qu’intemporelles, la Mini DolceVita reflète parfaitement le « luxe discret » et l'élégance de Longines. Montre-bijou résolument contemporaine, la Mini DolceVita est une extension de la famille Longines DolceVita, elle- même inspirée d'une pièce mythique créée par la marque en 1927. Cette année, la Mini DolceVita se dote de nouveaux bracelets en cuir double tour au design Longines exclusif. Disponibles en différentes tailles et coloris, ces bracelets enlacent le poignet avec confort et souplesse. Subtile référence au monde équestre cher à Longines, les trous des bracelets sont numérotés en impression à chaud de 1 à 6, à l’instar des étrivières qui relient la selle du cheval à l’étrier.

Toutes présentées dans un boîtier rectangulaire en acier inoxydable de 21,50 mm x 29,00 mm étanche jusqu’à 3 bar (30 mètres) et équipée d’un mouvement à quartz L178 de haute précision, les nouvelles Mini DolceVita se déclinent en six variantes aussi élégantes que singulières. Trois versions arborent un cadran Romain rectangulaire argenté qui se distingue par son décor flinqué. Frappés, ses motifs géométriques délicats s’inscrivent en relief avec un aspect guilloché. Des chiffres romains peints et des aiguilles en acier bleui les complètent. La petite seconde se révèle dans un sous-cadran carré à 6 h. Ces références sont dotées d’un bracelet double tour en cuir nappa de couleur noire, beige gold avec surpiqûre ivoire, ou rose. Ces deux derniers modèles sont ornés de 38 diamants Top Wesselton. Trois variantes se déclinent ensuite sur un cadran Cosmo circulaire argenté sablé. L’indicateur des heures, en blanc mat, sépare la partie extérieure carrée du cercle intérieur. Un sous-cadran rond de petite seconde blanc mat, à 6h, le complète. Les heures, en chiffres romains peints et en index allongés, tout comme les aiguilles en acier bleui, contrastent avec les teintes claires de ce cadran sobre. Expression de l’élégance contemporaine de la collection, ces modèles s’habillent de bracelets en cuir nappa de couleur rouge, orange ou verte. Pour mettre en valeur ces audacieux garde- temps, la marque lance une nouvelle campagne avec son Ambassadrice de l'Elégance Kate Winslet. Avec pour toile de fond un magnifique décor côtier maritime, la campagne met en lumière une conception du temps propre à l'actrice. Le temps... d'être, tout simplement. Le photographe de renommée mondiale Greg Williams apporte sa touche magistrale à la campagne, capturant l'élégance de Kate Winslet de manière naturelle et authentique.

 

COORDINATION ÉDITORIALE : JACQUES PONS



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