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REPÉRAGES #93-2024 (accès libre)
Sept montres qui ne demandent qu’à vous faire partager les émotions fortes qui les ont fait naître

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 93e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bremont, Fears, Hautlence, Piaget, Raketa, Raymond Weil et Swatch…


FEARS nouvelle Redcliff 39.5 Date

Aujourd'hui, Fears Watch Company réintroduit sa famille de montres rondes Redcliff, apparue pour la première fois en 2016 lorsque Fears a été rétablie. Cette nouvelle Redcliff 39.5 Date mécanique reprend l'interprétation plus contemporaine de l'original de l'élégant langage de conception de Fears avec un cadran lumineux et des aiguilles assorties. Tirant son nom du quartier de Bristol où la société a été fondée en 1846, la nouvelle montre est dotée d'un boîtier fin qui reprend la silhouette de la Redcliff à quartz originale et des modèles historiques de Fears des années 1940 et 1950. Conçue pour être une montre de tous les jours élégante et sophistiquée, la nouvelle Fears Redcliff est proposée en quatre couleurs de cadran. La nouvelle Redcliff 39.5 Date est dotée d'un boîtier rond contemporain avec des cornes intégrées, un fond, une lunette et une couronne vissés qui lui permettent d'être étanche jusqu'à 150 m (15 ATM). D'un diamètre de 39,5 mm et d'une épaisseur de seulement 9,95 mm, ce boîtier mince combine une section centrale brossée avec le profil gracieux de la lunette, qui présente une finition polie. Les proportions du boîtier et ses cornes intégrées permettent à la montre d'épouser parfaitement les contours de n'importe quel poignet. La nouvelle Redcliff 39.5 Date est animée par un mouvement La Joux-Perret G100 personnalisé, entièrement fabriqué en Suisse. Il est doté d'un remontage automatique, d'un réglage rapide de la date et d'une généreuse réserve de marche de 60 heures. Chaque montre est réglée à 0/+5 secondes par jour. Le cadran de la Redcliff 39.5 Date se compose de deux niveaux : une partie extérieure inférieure avec des rainures en vinyle et une partie centrale surélevée, finie à la main avec un motif brossé vertical ou en soleil. La date est indiquée à la position 3 heures par un disque de date de couleur assortie comportant les chiffres « Edwin » de Fears, conçus en interne. Le guichet de la date est légèrement biseauté sur ses quatre côtés, ce qui facilite la lecture du disque de la date tout en donnant l'illusion optique que la date apparaît plus grande sur le cadran. Chaque cadran comporte des index diamantés appliqués à la main et remplis à la main de Super-LumiNova en Suisse. L'index de 12 heures fait subtilement référence à l'héritage bristolien de Fears, l'applique reprenant les mêmes angles et la même forme que les tours du célèbre pont suspendu de Clifton - à l'envers. Pendant la journée, les index et les aiguilles tri-biseautés captent brillamment la lumière, ce qui permet de lire facilement l'heure. Dans des conditions de faible luminosité, les luminescences brillent d'un bleu intense et restent chargées toute la nuit, faisant de la nouvelle Redcliff un parfait compagnon de voyage ou d'avion.

Les cadrans finis à la main sont disponibles en quatre couleurs distinctes, chacune donnant à la nouvelle Redcliff un aspect et une sensation différents. Pewter Grey (gris étain) : un gris moyen chaud qui complète le ton du boîtier en acier inoxydable 316L. L'impression noire tranchante contraste avec un cyan apaisant pour les chiffres des minutes et l'aiguille des secondes. Les appliques et les aiguilles des bâtons sont plaquées en or noir. Raven Black : s'inspirant des plumes noires et brillantes du corbeau, ce cadran est d'un noir sophistiqué, avec un motif en forme de soleil gravé sur la surface du cadran qui capte magnifiquement la lumière. Les impressions blanches et argentées contrastent avec la noirceur du cadran, les aiguilles et les appliques bâton étant toutes plaquées en rhodium précieux. Cherry Red : un rouge vif et accrocheur qui capture parfaitement les tons d'une barquette de cerises rouges fraîchement cueillies. L'impression blanche, l'aiguille des secondes d'un blanc pur et les accents imprimés rose corail complètent la richesse de la finition des cadrans, avec des appliques bâton et des aiguilles plaquées en rhodium précieux.Vert Mallard : exclusif à la boutique Fears de Bristol (et prochain volet des « éditions boutique » de Fears), cet élégant vert profond rappelle la couleur d'un canard de Barbarie. L'impression blanche et argentée contraste avec le cadran, les aiguilles et les appliques bâton sont plaquées en rhodium précieux. La nouvelle Redcliff est équipée d'un bracelet à trois maillons sur mesure, en acier inoxydable 316L massif. Ce nouveau bracelet combine des éléments brossés et polis qui s'harmonisent avec la finesse du boîtier, donnant à la montre une impression d'intégration. Le bracelet peut être facilement ajusté pour un ajustement parfait (avec des maillons à vis de 8 mm et de 6 mm) et un micro-ajustement par bouton-poussoir situé à l'intérieur de la boucle déployante à déclenchement permet d'effectuer des ajustements « en cours de route ». Le bracelet peut être facilement retiré grâce à ses barrettes à ressort à dégagement rapide, car la montre peut également être portée sur le bracelet textile tissé qui accompagne chaque montre. Les bracelets textiles sont fabriqués à partir d'un nylon tissé en 3D avec une doublure en Alcantara, des barrettes à ressort à dégagement rapide et une nouvelle boucle à ardillon sur mesure (sur laquelle figure le chiffre Fears). La nouvelle Redcliff 39.5 Date, qui offre une vision plus contemporaine de l'élégance et de la sobriété du design Fears, est conçue et fabriquée pour être portée à tout moment et en toute occasion. Si la montre est facile à habiller sur un bracelet en cuir, lorsqu'elle est portée sur son bracelet, ce garde-temps durable peut être apprécié dans des situations plus actives.

Commentant le lancement de la nouvelle collection Fears Redcliff 39.5 Date, Nicholas Bowman-Scargill, (4e) directeur général de la Fears Watch Company, déclare : « Le 3 novembre 2016, j'ai relancé la société horlogère de ma famille avec la première nouvelle montre Fears depuis 40 ans - la Redcliff Quartz. Cette montre fine et élégante est une version contemporaine de la montre Fears classique et mon interprétation de ce que je pensais que l'entreprise fabriquerait si elle n'avait pas été mise en sommeil en 1976. La Redcliff a été abandonnée au début de l'année 2020 et, depuis lors, nous n'avons plus de montre Fears à boîtier rond dans notre collection - jusqu'à aujourd'hui. C'est pourquoi je suis ravi du lancement de la nouvelle Redcliff, qui illustre le côté contemporain du langage stylistique de Fears, tandis que la Brunswick continue d'incarner le côté plus classique de l'entreprise. Tirant son nom du quartier emblématique de Bristol où mon arrière-arrière-arrière-grand-père a fondé l'entreprise en 1846, il est merveilleux de voir le nom Redcliff revenir sur une montre Fears ».

PIAGET Altiplano Ultimate Concept Tourbillon 150e anniversaire

Pour célébrer cet anniversaire hors normes, la Maison Piaget signe un coup d’éclat majeur dans l’histoire horlogère. 150 ans après la fondation de la Maison, 67 ans après avoir inventé son premier calibre extra-plat– le 9P- et 6 ans après la création de la montre la plus plate au monde en 2018, l’Altiplano Ultimate Concept, Piaget repousse encore une fois les limites du génie horloger. Modelé par l’élégance, poussé par l’inventivité, ce garde-temps unique conserve les 2 mm d’épaisseur de son aîné, tout en encapsulant le cœur battant d’un tourbillon. Une évidence technique, mais aussi émotionnelle pour la Maison. L’Altiplano Ultimate Concept Tourbillon est un paradoxe à elle seule. Pourtant, ses dimensions, qui repoussent largement les limites de la faisabilité horlogère, ne sont que la partie émergée d’une histoire humaine et horlogère riche de 150 années. Avec ses 41.5 mm de diamètre, une étanchéité garantie à 20 mètres et une boîte en alliage de cobalt traité en PVD bleu, l’Altiplano Ultimate Concept Tourbillon pourrait posséder tous les attributs d’une montre du quotidien. Mais ses 2 mm d’épaisseur et son tourbillon annulaire la font basculer dans la dimension de l’extraordinaire. Mise en rotation par un pont qui l’entoure, la cage d’Altiplano Ultimate Concept Tourbillon est un bouleversement des principes techniques actuels. La signature qu’elle porte gravée au dos, à côté d’un verre saphir située sous ce tourbillon, résume la démarche qui fait vibrer Piaget depuis ses origines : « Toujours faire mieux que nécessaire ». L’Altiplano Ultimate Concept Tourbillon mesure donc 2 mm d’épaisseur. Pas un micron de plus. Son diamètre est de 41.5 mm. Pas un millimètre de plus. Tout en tenant le choc des 25% d’énergie supplémentaire demandés par le tourbillon. Mais ces données chiffrées ne sauraient dissimuler les incroyables victoires qu’elles synthétisent. Car derrière la réalisation de cette prouesse, c’est un long feuilleton et une course contre la montre qui se sont déroulés dans le secret de la manufacture Piaget de La Côte-aux-Fées. Trois années de travail, de questionnement, de remise en question qui ont marqué la vie de tous ceux qui y ont pris part. Si au fil du temps, la complication du tourbillon s’est érigée au rang des classiques de la noblesse horlogère, elle prend ici une nouvelle dimension, aussi technique que poétique. Toujours fidèle à la démarche ancestrale de la Maison de mettre la technique au service de l’esthétique. L’extrême précision fut le maître mot de ce projet. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, Piaget a dû développer 90% de nouvelles pièces par rapport à l’Altiplano Ultimate Concept d’origine, mais aussi de nouvelles machines pour faire fonctionner une montre plus fine que le plus fin des mouvements. Tout, en Altiplano Ultimate Concept Tourbillon est nouveau, réinventé, repensé, validé par l’expérience. « Il ne s’agissait pas uniquement d’y ajouter un tourbillon. Nous avons tout refait », explique Benjamin Comar, CEO de Piaget.

La somme de défis, de solutions à inventer et à réinventer qu’avait nécessité Altiplano Ultimate Concept, effort collectif de plus de six années couronné par l’Aiguille d’Or lors du Grand Prix d’Horlogerie de Genève 2020, avait pu sembler comme un point final à l’aventure. Pourtant, dès les premiers exemplaires livrés, les équipes horlogères de la manufacture historique Piaget de La Côte-aux-Fées n’ont pu s’empêcher d’évoquer l’après. Que faire de mieux ? Restait la complication qui n’est pas une indication, celle qui concentre effet visuel, mouvement, défi technique et reconnaissance du public horloger averti. L’élan qui a mené à la création d’Altiplano Ultimate Concept Tourbillon ressemble à ceux qui, avant lui, ont donné naissance aux calibres 9P, 12P, d’Altiplano Ultimate Automatic (900P ou 910P) avant de donner naissance à l’Altiplano Ultimate Concept. Restait à concrétiser cette nouvelle idée. Et la réponse à cette question-là n’a rien eu de simple.Selon un principe éprouvé depuis la création du calibre 900P, elle ne distingue pas le mouvement et la boîte. Pour gagner une épaisseur précieuse, le fond de la boîte remplit les mêmes fonctions que la platine du mouvement. A l’extérieur, elle est en contact avec la peau. Cette boîte est faite en un alliage de cobalt bleui qui offre le meilleur rapport épaisseur/rigidité. La couronne escamotée dans le profil de boîte se tire et se manipule grâce à un outil dédié. Il prend la forme d’un stylet, qui dissimule un système de démultiplication et de contrôle de couple, qui permet de redonner au barillet toute son énergie. La position des composants de l’Altiplano Ultimate Concept Tourbillon a été préservée. Le cadran des heures et des minutes est toujours légèrement décentré, comme sur son aînée. Le tourbillon prend place à 10 heures et avec lui, une graduation des secondes gravée sur la bague de tourbillon. Et contrainte parmi les contraintes, son épaisseur est donnée, intangible, fondamentale : 2 mm tout compris. Dans une de taille inchangée, dans une hauteur de boîte et de composants aussi fines, l’enjeu est de taille : y glisser un tourbillon quand l’espace est déjà saturé. Dès lors, la machine à penser de La Côte-aux-Fées et de Genève se remet en marche. Crayon, papier, mémoire, culture, ouverture d’esprit, savoirs horlogers, tous les talents sont mobilisés. Celle-ci s’appuie sur une méthode de développement que Piaget a toujours privilégié. Elle consiste à essayer, tester, valider pour écarter ou retenir, et à recommencer inlassablement. C’est ainsi qu’après plus de 70 versions de cage, 15 versions d’ancre, 30 de bâtis, Altiplano Ultimate Concept Tourbillon trouve sa solution. Piaget a capitalisé ici sur son expertise du savoir-faire de l’extra-plat, notamment son tourbillon 670P extra-plat de 4.6 mm qui tenait dans une boîte de 7.35 mm et qui lui a donné les bases pour ensuite atteindre ce garde-temps de 1,49 mm, équipé d’un tourbillon. Pour Altiplano Ultimate Concept Tourbillon, l’innovation réside aussi dans la taille du verre saphir, réduite à 0,20 mm d’épaisseur sur le dessus et 0.16 mm sur le dessous.

Le tourbillon tient donc seulement dans une épaisseur de 1.64 mm. Ce dernier, dénué de pont supérieur, n’est tenu que par le dessous. Mais sur cette base, gagner quelques centièmes de ci, de là, laisse La Côte-aux-Fées loin du compte. Il faut penser le tourbillon différemment. Rapidement, une nouvelle option s’impose. Son guidage se fera par le pourtour. Altiplano Ultimate Concept Tourbillon est un tourbillon annulaire. Sa circonférence est tenue par un roulement à billes de céramique, qui en facilitent la rotation d’une minute. Pour l’essentiel, elle est faite de titane, et d’acier là où cela sera possible. Reste à l’alimenter en énergie. Altiplano Ultimate Concept Tourbillon repose sur un barillet unique et squeletté, qui reprend l’esthétique en croix de l’Altiplano originelle. Mais la consommation énergétique d’un tourbillon est supérieure à celle d’un mouvement à régulateur fixe, de l’ordre de 25% par rapport à l’Altiplano Ultimate Concept. Or l’Altiplano Ultimate Concept Tourbillon a atteint son objectif initial qui était d’offrir une réserve de marche d’un minimum de 40 heures.. Ce résultat remarquable repose sur deux solutions. La première est l’adoption d’un ressort moteur sur-mesure, retravaillé sur son facteur le plus porteur de force. L’épaisseur de sa lame est légèrement augmentée, et délivre le surcroît d’énergie nécessaire. La seconde est l’adoption quasi-systématique de roulements à billes en lieu et place des pivots. En facilitant la rotation des éléments mobiles, Piaget a abaissé les frictions, préservant ainsi l’énergie au profit de la durée de marche, et a encore gagné en finesse. A 2 mm d’épaisseur, toutes les règles changent. Un sujet à peine visible pour son porteur, mais essentiel pour les horlogers. La tolérance d’usinage des composants miniaturisés est un véritable défi. Quand la serge du balancier comme le verre saphir mesurent 0,2 mm d’épaisseur, les machines doivent travailler avec une précision de plus ou moins 2 microns, soit 2 millièmes de millimètre. D’autant que les composants subissent de nombreuses étapes de décorations de surface après leur fabrication. Par exemple, les roues, désormais munies de quatre bras (au lieu de 6 précédemment), sont diamantées et anglées, à la main. Il faut les embellir sans les déformer. Altiplano Ultimate Concept Tourbillon pourrait se résumer à cette somme d’exploits. Ce qui reste inchangé, c’est l’effet que produit cette dernière. Passer au poignet une montre dotée d’un tourbillon de 2 mm d’épaisseur, fine comme une pièce de monnaie, est une expérience aussi surprenante, que confortable. De profil, elle disparaît. De dos, elle surprend par son ouverture unique. De face, elle arbore une profondeur insoupçonnée qui lui permet de s’exprimer. Au quotidien, elle peut tout aussi bien s’oublier que s’imposer. Avec son jeu de couleurs si Piaget, entre bleu et or, elle signale ainsi sa nature profondément élégante. Cet attribut est, plus que tout autre, celui que Piaget poursuit inlassablement et au cœur de son ADN. Altiplano Ultimate Concept Tourbillon se porte. Elle se regarde. Et rappelle aussi à son propriétaire l’histoire des hommes et de la Manufacture qui l’ont créée. Tout en interrogeant sur les prochains défis qui seront relevés par la Maison Piaget.

BREMONT Terra Nova 40.5 Date

Bremont présente la collection de montres de campagne Terra Nova, référencée et inspirée par les montres de poche militaires du début du XXe siècle. Stylé et méticuleusement conçu, Terra Nova comprend toutes les caractéristiques de ces montres originales, capturant leur élégance robuste, leur praticité, leur simplicité et leur fonctionnalité essentielle, réinterprétées pour le XXIe siècle. Doté d'un boîtier coussin géométrique contemporain, surélevé grâce à l'utilisation de l'acier inoxydable 904L, et fini avec une combinaison de textures brossées et polies pour une montre-bracelet unique et emblématique. Le cadran de la montre est doté de chiffres surdimensionnés découpés en Super-LumiNova en bloc pour une lisibilité accrue dans des conditions de faible luminosité. L'application Super-LumiNova se poursuit à travers les index du chemin de fer des minutes et les aiguilles d'inspiration vintage. Le dos du boîtier fermé est gravé avec un design unique avec une carte cartographiée du monde et les mots « Terra Nova ». La couronne surdimensionnée combine fonctionnalité et élégance artisanale, faisant directement référence aux montres de campagne d'une époque où les mains gantées avaient besoin de faire fonctionner la couronne avec précision. Il est amélioré par l'application du nouveau logo de Bremont « The Wayfinder », renforçant la passion de la marque pour l'aventure et l'exploration. Notre « montre de terrain » Terra Nova en 40,5 mm avec fonction de date. Le boîtier coussin géométrique moderne unique avec son profil bas et ses pattes raccourcies a été conçu pour se poser parfaitement sur le poignet avec un grand équilibre et une grande présence.

RAYMOND WEIL Millésime Chronographe 7765 Tri-Compax

À l’occasion de sa première participation cette année au salon Watches & Wonders, la marque horlogère genevoise a dévoilé 11 nouvelles références pour ancrer dans le temps cette collection au look néo vintage élégamment aboutie et résolument contemporaine. Ce grand cru 2024 élaboré avec le plus grand soin est le symbole d’un luxe discret mêlant caractère, sobriété, tradition horlogère, modernité, finitions raffinées et qualité suisse. Résolument accessible, la gamme de prix se situe entre 1 575 CHF et 3 500 CHF. Chacune des montres de la collection arbore un cadran aux finitions délicates et texturées, protégé par un verre saphir de type « Glassbox » renforçant le style vintage de l’ensemble. Le modèle primé, avec son affichage des petites secondes à 6 heures rappelle subtilement une boussole. Les aiguilles argentées des heures et des minutes sont habillées de Super-LumiNova, pour une meilleure lisibilité dans l’obscurité. De même que le cadran sectoriel qui présente visuellement les heures, les minutes et les secondes sur des repères discrets, là-aussi améliorant la parfaite lisibilité de l’heure. Si la collection est esthétiquement immédiatement reconnaissable, elle démontre également tout le savoir-faire exceptionnel de la marque dans son segment, de la bienfaçon du bracelet en cuir gris avec le détail d’une couture en forme de W, à la fiabilité et la précision du mouvement mécanique à remontage automatique bénéficiant de finitions soignées et exclusives à Raymond Weil. Chaque détail révèle le soin apporté à chaque montre, comme le contraste entre le tour lisse des heures, la minuterie avec une finition en colimaçon et le centre du cadran brossé vertical. Tout est pensé pour séduire les amateurs de belles montres, tout en restant accessible et facile à porter.

Qu’il s’agisse des mouvements, de l’habillage, de la technique, de l’esthétique, de la bonne marche des fonctions ou de la précision des montres, Raymond Weil a établi son propre standard d’excellence, dont les deux nouveaux chronographes Tri-Compax en sont de parfaits symboles. Référence au look vintage des fameux cadrans Panda, élégance classique et touche sportive, le chronomètre millésime 7765 Tri-Compax est présenté avec un boîtier en acier inoxydable finement travaillé, chaque détail contribuant à l’excellence mécanique. Son cadran évoque l’esprit de la compétition, avec ses trois comp- teurs auxiliaires argentés pour la version bleu nuit, référence 7765- STC-50651, accentués par des chiffres arabes bleu clair. Une échelle tachymétrique subtilement surlignée de blanc sur le cadran bleu nuit apporte une touche de sportivité et de dynamisme. Pour compléter son allure racée, un bracelet en cuir de veau bleu de première qua- lité assure confort et style à chaque poignet - la seconde version, référence 7765-STC-20001, ornée d’un cadran noir avec des index et des chiffres arabes blancs, offrant une esthétique plus marquée et affirmée.

HAUTLENCE Rétrovision ‘47

Hautlence crée la surprise avec la Hautlence Retrovision ‘47. À l’occasion de son 20e anniversaire, Hautlence s’offre une échappée onirique et imagine ce qu’elle aurait pu créer si elle avait existé dans les années 1940. Depuis sa création en 2004, Hautlence a toujours été inspirée par le monde qui l’entoure, aussi éloigné soit-il des confins de l’horlogerie suisse traditionnelle. Des paysages et de l’architecture jusqu’aux locomotives et à l’art contemporain, la créativité de Hautlence n’est pas assujettie à des idées préconçues ni à des codes rigides. L’un de ses thèmes récurrents, devenu une caractéristique signature de ses créations, est un objet assez omniprésent dans tous les foyers : la télévision. Doté de bords arrondis, le boîtier rectangulaire emblématique de Hautlence a pour modèle les anciens postes de télévision. Et à l’instar de leur contenu qui se devait d’être toujours vivant et captivant, ce boîtier en forme de télévision est l’écrin idéal pour l’interprétation originale et cinétique de l’horlogerie mécanique que revendique Hautlence. Mais qu’en aurait-il été si Hautlence avait été fondée dans les années 1940 et non en 2004 ? La marque revisiterait-elle autrement des objets ordinaires en des machines originales indiquant l’heure ? Quel genre de garde- temps lui inspirerait son environnement ? Voici le genre de questions auxquelles Hautlence s’est efforcée de répondre dans le cadre d’un exercice grisant de créativité et d’indépendance... et qui a donné vie à la Retrovision ‘47.

L’objet historique qui a finalement servi de source d’inspiration à cette pièce exceptionnelle n’est pas un poste de télévision mais un objet assez proche. Fabriqué par la société General Television & Radio Corp. Chicago dans les années 1940, le « Model 5A5 » est un récepteur de radiodiffusion. Son design, composé d’un cadran et d’un haut-parleur séparés ainsi que de boutons, a incontestablement inspiré la forme globale des téléviseurs de cette époque. À la fois objet facile à déplacer dans la maison et pièce sculpturale qui ne passe pas inaperçue, le General Television & Radio Corp. Chicago Model 5A5 incarnel’harmonie parfaite entre la forme et la fonction, avec son propre look distinctif. Manufacturée dans un boîtier peint à la main, un cube aux angles doux et arrondis, la Hautlence Retrovision ’47 reproduit le style de la bakélite marbrée verte et blanche du récepteur radio d’origine. Version miniature ou presque du récepteur radio converti en montre-bracelet, le modèle présente des fixations blanches qui servent de cornes mais s’apparentent à des poignées de transport tandis que la couronne à 6 heures veille à préserver la symétrie du boîtier. Le bracelet en cuir rouge ajoute une touche vintage à cette création hors du commun qui aurait pu voir le jour à une autre époque d’une autre histoire de Hautlence.

Il semblerait que la Retrovision ‘47 est le garde-temps le plus traditionnel jamais conçu par Hautlence. Elle possède en effet un véritable cadran qui indique les heures et les minutes à l’aide d’aiguilles centrales. Dans un petit cadran excentré dans la moitié droite du boîtier et surmonté d’une glace saphir rectangulaire plane, les aiguilles rouges adoptent la forme tridimensionnelle du cadran du sélecteur de fréquence. Réalisé en laiton et en or 2N, ce cadran est orné d’un anneau de Möbius embossé, le logo de Hautlence. La moitié gauche du boîtier accueille la grille du « haut-parleur » sous laquelle il est possible de voir virevolter un tourbillon volant 60 secondes. Le fond du boîtier est inspiré de la façade arrière du récepteur radio Model 5A5 qui présentait une plaque de forme particulière, gravée du nom de la marque et du numéro de série. Le fond rond en verre saphir livre quelques informations générales du même ordre que celles du récepteur radio et permet également de contempler le calibre automatique ED20-SP00 qui assure une réserve de marche de 72 heures. Insolite, suggestive et fièrement originale, la Retrovision ‘47 célèbre le 20e anniversaire de Hautlence et imagine ce qui aurait pu être et ce qui pourrait être, en réunissant l’ingéniosité horlogère de la marque et son interprétation unique de l’art cinétique portable. La Retrovision ‘47 a été produite dans le cadre d’une installation spéciale destinée au stand de Hautlence àWatches & Wonders 2024.

RAKETA Polar 0300

Suivant sa longue tradition de fabrication de montres pour les explorateurs polaires, Raketa a développé un modèle pour les personnes qui veulent découvrir les territoires polaires illimités par terre ou par mer. Le cadran 24 heures est essentiel pour distinguer le jour de la nuit pendant les longues nuits polaires et les jours qui durent jusqu'à 6 mois chacun. Pendant les expéditions maritimes polaires, les membres d'équipage peuvent tenir le compte de leurs quarts de travail avec les six lignes divisant le périmètre du cadran en 6 quarts (4 heures chacun). Toute la surface du cadran et des aiguilles est recouverte de Super-LumiNova, ce qui assure une lisibilité parfaite pendant l'obscurité polaire totale. La lunette rotative est gravée et émaillée avec les noms de toutes les mers de l'océan Arctique en fonction de leurs fuseaux horaires respectifs, ce qui permet d'utiliser la fonction GMT. La lunette tournante peut également être utilisée comme boussole solaire à la fois dans les hémisphères nord et sud. Le dos de la montre révèle le mouvement automatique 24 heures magnifiquement décoré qui est entièrement produit par l'usine de montres Raketa à Saint-Pétersbourg. La finition du rotor rappelle les aurores boréales. Chaque montre Raketa Polar a un certificat confirmant que la montre peut être utilisée dans les conditions naturelles les plus difficiles des régions polaires. Le certificat est délivré par un laboratoire officiel russe dans le cadre du « système de certification volontaire de l'Arctique ».

SWATCH x Verdy

Swatch a l’honneur d’annoncer un projet très spécial, qui associe une installation artistique fascinante et une montre en édition limitée : Vick Bronze by Verdy. Le célèbre artiste contemporain japonais et la marque horlogère emblématique ont collaboré pour créer une œuvre d’art et une pièce de collection qui rendent hommage au personnage le plus emblématique de Verdy, Vick. Qui est Vick ? C'est un personnage qui combine les traits d’un panda, positif et pacifique, et ceux d’un lapin, représentant la longévité et l’abondance. Vick aime la musique, en particulier le punk, d’où le logo anarchiste sur son ventre. Jusqu’à présent, Vick apparaissait uniquement en noir et blanc. Mais à la Biennale Arte de cette année, il fait ses débuts dans une nouvelle palette de couleurs. Le premier personnage iconique de Verdy apparaît sur le cadran et sur le bracelet de la montre couleur bronze, reflétant une installation artistique à grande échelle que Swatch a commandée pour la Biennale Arte 2024. Que ce soit sur la montre ou dans l’œuvre d’art, l’attitude et l’expression de Vick rappellent l’importance de s’amuser, même à l’âge adulte. La montre est une Gent qui, avec ses 34 mm, convient à toutes les tailles de poignet sans faire de compromis sur le style. Elle se présente dans un superbe emballage noir et or qui met Vick en scène, faisant de cette Swatch Art Special une pièce que les fans de Verdy rêveront de posséder. Autre détail « secret » : la langue de Vick change de couleur chaque jour, passant par un cycle orange, rouge, rose et jaune.

En tant que partenaire principal de la Biennale Arte 2024 à Venise, Swatch adopte une fois de plus son approche typiquement différente et innovante – en accueillant l’œuvre créative de Verdy dans les Giardini, la scène centrale. Aux Giardini, les visiteurs découvriront l’imposante figure de quatre mètres de couleur bronze de Vick. Elle démontre la même attitude positive, ouverte et légèrement espiègle que le personnage de bande dessinée sur la montre. C’est une œuvre d’art vraiment unique que Verdy a imaginée pour l’occasion. Elle s’inscrit dans les projets plus grands que nature que la marque a présentés à la Biennale Arte lors des éditions précédentes. Cette collaboration fera sans doute parler d’elle dans les milieux de l’art contemporain et parmi ceux qui adhèrent à l’approche positive et provocatrice de Swatch. Vick Bronze by Verdy, tant par la forme de la montre que par l’œuvre d’art, invite le public à se connecter à son côté rebelle. Elle reflète à la fois l’approche légère et amusante qui fait la réputation de Swatch, tout comme l’énergie positive que Verdy insuffle dans ses œuvres. Swatch s’engage à rapprocher l’art des gens ainsi qu’à glisser des chefs-d’œuvre à leur poignet. Cette collaboration unique, Vick Bronze by Verdy, fait les deux: elle reflète l’importance que Swatch accorde à la créativité, à la joie de vivre et à la provocation positive. Le travail de Verdy nous montre comment l’art graphique a trouvé sa place dans une exposition aussi renommée que la Biennale Arte 2024, inspirant une nouvelle génération d’artistes et d’amateurs d’art et libérant l’enfant qui sommeille en chacun de nous.

 

COORDINATION ÉDITORIALE : JACQUES PONS



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