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REPÉRAGES #267-2023 (accès libre)
Sept montres qui captent les reflets du temps en jouant de la lumière, de la matière et de la couleur

267e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Ball, Chez Maman, Echo/neutra, Leica, Haute Rive, Missoni et Oris…


ECHO / NEUTRA Cortina 1956 Chronographe « teal »

Le Cortina 1956 Black Chronograph a une ancienne lume de radium appliquée sur les marques de la lunette et sur les aiguilles des heures et des minutes. Un petit point de lume BGW9 est également appliqué sur le bord de l'aiguille des secondes. Le boîtier est en acier inoxydable 316L pour offrir une résistance maximale à la corrosion, il a été fabriqué avec une qualité exceptionnelle. Le contraste entre les visages polis et brossés donne à la montre un attrait unique au poignet. La lunette du Cortina Chronograph a une échelle télémétrique qui vous permet de mesurer la distance d'un phénomène immédiatement visible et par la suite audible, tel que la foudre et le tonnerre ou l'explosion et le son d'un feu d'artifice. Par exemple, il peut être utile pour mesurer l'approche ou le départ d'une tempête ou dans le passé, pendant la guerre, il a été utilisé pour mesurer la distance du tir ennemi, en particulier la nuit, en commençant le chronographe en regardant la lumière et en l'arrêtant au moment où le tir a été entendu. Lors de la conception et de la production de la collection Cortina 1956, l'une de nos priorités était que la montre au poignet soit vraiment pratique dans toutes les situations. Grâce à un diamètre de 40 mm, 14,1 mm d'épaisseur et à la conception particulière des pattes, le Cortina au poignet est confortable et agréable à porter. Toutes les montres Cortina 1956 sont équipées d'un merveilleux verre saphir avec un profil ultra- dôme et grâce au double revêtement antireflet interne, le cadran est lisible dans toutes les situations.

ORIS ProPilot x Calibre 400 Laser

La maison Oris est fière de présenter la ProPilot X Calibre 400 Laser, produite avec un laboratoire affilié à la prestigieuse université ETH Zürich. Leur partenariat donne à certains des étudiants les plus brillants et les plus entreprenants du monde la possibilité de transformer leurs idées en produits concrets. Cette façon unique de travailler n’est possible que grâce à l'indépendance de la marque. Oris est libre de faire ses propres choix et de mettre en oeuvre ses idées qui ont du sens. Le cadran de la nouvelle ProPilot X Calibre 400 Laser doit être vu pour être apprécié. En fonction de l’angle, il change de couleur, passant du bleu au vert et au violet, comme la coloration des coléoptères iridescents. Ce processus s’inspire des principes du biomimétisme, notamment du phénomène appelé interférence optique. Cela signifie que les ondes lumineuses rouges sont détruites, tandis que les ondes bleues et vertes sont réfléchies. C’est à peine croyable, mais il n’y a pas une goutte de pigment de couleur dans le cadran de cette montre. Ce traitement inventif est une modification de la surface qui divise la lumière en ses différents composants, créant ainsi un effet arc-en-ciel étonnant qui évolue en fonction de l’angle d’observation.
Tout ce qui se trouve sur le cadran a été créé à l’aide de la technologie laser. Pour le logo, les index, la minuterie et le texte du cadran, Oris a utilisé un autre procédé laser qui crée un effet tridimensionnel, de sorte que l’on a l’impression que ces éléments ont été appliqués dans un style conventionnel. À la loupe, le résultat est spectaculaire. La technique laser qu'ils ont utilisée est une première dans l’horlogerie. Elle a été développée en partenariat avec un laboratoire de recherche affilié à l’ETH Zürich et appliquée à un cadran en titane sous la direction du département d’ingénierie, dirigé par Richard “Ipy” Siegrist. Il s’agit d’un bel exemple de « beauté technologique » qui utilise les technologies de pointe pour créer des montres mémorables. Au-delà du cadran, la montre arbore la forme familière de la ProPilot X Calibre 400 présentée pour la première fois en 2022. Le boîtier de 39mm, la lunette, la couronne et le bracelet à trois maillons sont en titane. Elle renferme le mouvement automatique mécanique Oris Calibre 400, qui offre une précision à -3/+5 secondes par jour (dans les tolérances du COSC), une forte résistance anti magnétique, ainsi qu’une garantie et des intervalles d’entretien recommandés de 10 ans. Cependant, pour la première fois, Oris a supprimé la date, laissant le cadran raconter sa remarquable histoire.

CHEZ MAMAN Billie Royal Gold Almond milanaise

Grande sœur de la Billie, elle possède toutes les caractéristiques de cette dernière, du design typé années 60 jusqu'au mouvement japonais qu'elle renferme. Mesurant 27 mm, elle incarne une rare élégance lorsqu'elle est portée au poignet féminin. Son boîtier abrite un mouvement quartz de type Miyota, fabriqué au Japon. Ce mouvement est l'un des plus réputés au monde en termes de solidité, de régularité et de précision.

HAUTE-RIVE Honoris I

La première montre fine et élégante disposant d’une réserve de marche de 1000 heures, établissant ainsi un nouveau record mondial pour l’autonomie de marche d’une montre-bracelet avec un seul barillet de remontage et un tourbillon. Pour l’amour de l’ingénierie horlogère et avec derrière lui plus de trois générations de gestes horlogers en famille, l’inventeur Chaux-de-Fonnier Stéphane von Gunten annonce la création de sa marque, Haute-Rive, qui porte le nom de l’atelier de son arrière-arrière-grand- père qui fabriquait déjà des garde-temps d’exception. Stéphane von Gunten n’est pas qu’un ingénieur horloger. Il est aussi un visionnaire. Sa carrière n’a cessé d’alterner entre concepts, inventions et créativité. C’est pour mettre cette dernière au centre qu’il a choisi de prendre son indépendance et d’imaginer. D’innover. Il se veut un innovateur humble, conscient des limites de son art et œuvrant à les repousser. Haute-Rive est son nouveau temps d’expression horloger, le plus affectif aussi. A son rythme, l’ingénieur horloger indépendant se lance dans la conception et réalisation, de manière traditionnelle, à l’unité, de montres qui lui ressemblent et qui ressemblent à sa philosophie de vie : le partage allié à l’humilité qui signe toute transmission et qui engendre l’horlogerie la plus aboutie. Aujourd’hui, Stéphane von Gunten annonce la naissance d’une nouvelle marque horlogère suisse indépendante. Haute-Rive surgit au plus haut de la hiérarchie horlogère. Après près de vingt années passées au sein de prestigieuses maisons horlogères, Stéphane von Gunten décide de s’extraire des contraintes de temps des grands groupes pour s’offrir une liberté d’expression totale, nourri par ses compétences acquises au cours d’un parcours le préparant intimement à l’ouverture de ce nouveau chapitre. Haute-Rive est un hommage à la technicité, bien sûr, mais surtout un hommage aux valeurs familiales, à l’humain, au partage, au service d’une horlogerie suisse d’excellence, faite avant tout de plaisir…

Haute horlogerie, tradition et innovation. Trois sujets entremêlés dont l’innovation est souvent le parent pauvre. Haute-Rive met ces trois composantes à niveau égal avec sa collection inaugurale, Honoris I. Une montre de poignet en or jaune ou or gris, polie, élégante, dotée d’un tourbillon volant mystérieux et d’un cadran en émail grand feu, dont l’ensemble repose sur une éthique des finitions impeccables (anglage et décorations à la main) qui en représentent le volet haute horlogerie. L’aspect tradition repose sur l’héritage culturel et familial de Stéphane von Gunten. Il perpétue ici le travail effectué par son ancêtre Irénée Aubry, horloger du XIXe siècle et inventeur de la montre de poche à 8 jours de marche, connue sous le nom Hebdomas. L’innovation est au coeur d’Honoris I. Stéphane von Gunten prolonge les inventions de son aïeul en créant la première montre de poignet à 1000 heures de réserve de marche qui se veut portable, élégante, raisonnablement fine, avec seulement 11,95 mm d’épaisseur pour 42,5 de diamètre. Une fois par mois, Honoris I se remonte par le biais de sa lunette à 60 facettes, commandée par un sélecteur de fonctions à roue à colonnes. La construction de la boite, du mouvement, de ses complications et leurs interactions sont le résultat d’une recherche poussée à l’extrême de gain d’épaisseur, de performance et de raffinement. Cette combinaison rare est la trajectoire que Stéphane von Gunten trace pour Haute-Rive. Naviguer entre le concept et le design était une préoccupation d’Irénée Aubry. Elle est aussi au cœur de la démarche de Stéphane von Gunten. Il veut pour Honoris I l’élégance formelle de l’horlogerie habillée, le langage technique d’attributs mécaniques visibles et la performance. Le dessin de sa pièce inaugurale prend ainsi la forme d’une boite en or, entièrement polie. Elle est surmontée d’une lunette à 60 facettes concaves aux arêtes adoucies. Elle mesure 42,5 mm de diamètre. Elle atteint à peine les 12 mm d’épaisseur. Ses cotes sont celles d’un chronomètre élégant sans complication particulière. Et pourtant trois attributs exceptionnels y sont logés, un tourbillon volant, 1000 heures de marche, un sélecteur de fonctions et un indicateur de réserve de marche au dos, sous la forme d’un disque très lisible. Pour parfaire l’habillage de sa pièce classique, Haute- Rive opte pour un cadran en émail grand feu à champs levés. Noir ou blanc, il est exécuté dans les règles de l’art, à haute température, sur la base d’une plaque en or 18 carats. Préalablement à ses cinq cuissons, elle a été découpée pour accueillir les excroissances du mouvement qui la traversent. Car ce cadran est plus qu’une surface, c’est une composition graphique et technique.

Une grande roue, dite Roue du Temps, le train de rouage sous un pont central à quatre piliers, le tourbillon, ces trois éléments émergent du cadran sans révéler tout-à- fait comment ils interagissent. Le mystère se prolonge avec la longue tige de couronne et son pignon coulant, très visible à côté de la roue à colonnes nécessaire à la sélection de fonctions. La place dévolue au barillet et à son ressort moteur immense repousse vers le haut ces éléments. Stéphane von Gunten en fait son parti, les transforme en discours technique implanté dans un ensemble de facture classique. Celle-ci est renforcée par les deux aiguilles feuille, bombées, parfaitement polies et réalisées en or gris ou en acier bleui selon la version. Pour atteindre la durée de marche de 1000 heures, prérequis du développement du calibre HR01, Stéphane von Gunten a su maximiser la taille du ressort moteur tout en préservant les cotes de la montre. D’ordinaire, les pièces qui dépassent les 10 jours de marche présentent des proportions immenses, souvent accompagnées de designs futuristes. Honoris I se situe dans l’esprit le plus classique et le plus portable. C’est ainsi que Stéphane von Gunten a opté pour un barillet unique. Pour l’agrandir, c’est la platine qui fait office de tambour. Développé sur mesure par un spécialiste de cette pièce, le ressort moteur qui y réside mesure 3 mètres de longueur, certainement le plus long jamais installé dans une montre de poignet. Pour offrir un couple le plus régulier possible, il est muni d’une bride glissante qui évite les surtensions et les pics de puissance. La bride glissante permet également de protéger le rouage lorsque l’armage complet du ressort est atteint. Le barillet communique d’un côté avec l’indicateur de réserve de marche, situé sur le fond de boite. Autour d’un couvercle central grené, un anneau porte les graduations de 0 à 1000. Cette indication sur 360 degrés offre une lecture en tout temps optimale, ce qui aurait été impossible avec une jauge traditionnelle. De l’autre côté, le barillet engage un différentiel qui le relie au train de rouage ainsi qu’au mécanisme de remontage. Celui-ci s’effectue via la lunette qu’il faut faire tourner en sens anti-horaire. La force nécessaire, le nombre de tours de barillet interdisait de toute manière de passer par la couronne. De plus, la lunette est confortable sous le doigt et ponctuée de 60 cannelures doucement creusées. Elle offre une préhension idéale pour cette opération qui peut s’espacer de 40 jours, soit une fois par mois, avec une sécurité de 10 jours. Le sélecteur de fonctions créé pour Honoris I est unique en son genre. Il est à la fois relié à une couronne qui ne se tire pas, à une roue à colonnes et à un pignon coulant situé sur la plus longue et visible de toutes les tiges de couronne. Celle-ci engage directement le train de rouage pour la mise à l’heure, en plein cœur du calibre HR01. Le pont de rouage central, tridimensionnel, en forme de double moustache, est un élément graphique et horloger essentiel dans le design du calibre HR01 et d’HONORIS I. Sa forme et sa proéminence annoncent un mouvement stratifié, fort des codes de l’horlogerie classique et qui se prête à des jeux de terminaisons de haute facture. Au-dessus du barillet, le calibre HR01 est surmonté de la Roue du Temps. Elle transmet la force au rouage et offre au spectateur et au porteur un rappel de l’importance de la force motrice dans cette montre. La Roue du Temps engrène avec un train de rouage qui est réparti sur 7 niveaux de hauteur. Au bout de cette chaîne cinétique, Stéphane von Gunten a installé une de ses spécialités, un ensemble horloger dont il a une expérience rare, un tourbillon volant. Une grande cage en laiton rhodié, en forme de croix ajourée, maintient un ensemble finement réglé. Il renferme un spiral plat en alliage d’acier, un balancier à inertie variable, un échappement à ancre suisse. C’est la structure et la verticalité de sa cage qui s’imposent ici. Ils émergent du cadran, créant un troisième pôle par-dessus la grande couche d’émail.

MISSONI Gioiello Chain

Interprétation contemporaine de la montre bijou, Missoni Gioiello Chain est le nouveau must-have de l’Automne-Hiver 2023. L’élément caractérisant de cette collection est l’élégant bracelet à maillons avec un fermoir bijou orné du motif à chevrons, à la fois décoratif et fonctionnel. Signe iconique de reconnaissance de la marque, le chevron traverse tout le cadran et est proposé dans les nuances raffinées et indémodables blanc-argenté et noir. Le résultat est une montre-bijou qui interprète l'esprit de la marque, en synthétisant son essence stylistique. Parfaite pour marquer le temps des moments spéciaux. Les montres Missoni Gioiello Chain seront en vente à partir du mois de novembre dans les boutiques Missoni, chez les revendeurs agréés et en ligne.

BALL Engineer M Challenger Bronze

Souvent favorisé pour l'exploration nautique, l'alliage de bronze d'aluminium est parfait pour tout environnement qui exige une résistance élevée à la corrosion. Le boîtier en bronze résiste aux éléments corrosifs apportés par le vent, l'eau et les intempéries imprévisibles. Et parce que les âges de bronze sont basés sur les expériences du porteur, chaque montre aura une histoire unique à raconter. Pour une protection supplémentaire, notre système antichoc amortiqué Amortiser protège les mouvements mécaniques contre les chocs externes graves. Pour aller plus loin - et plus profondément - la montre est résistante à l'eau jusqu'à 100 mètres, ce qui permet une exploration sous-marine sans entraves. En tant que leader de la luminosité, BALL a équipé l'Engineer M Challenger Bronze de micro-tubes à gaz pour une lecture rapide et claire dans l'obscurité. Les marqueurs horaires, y compris les chiffres 3, 6, 9 et 12, sont composés de tubes à gaz auto-alimentés en vert et jaune, qui ne nécessitent pas de charge à partir d'une source externe. La facilité de lecture est primordiale dans les environnements sombres - et l'Engineer M Challenger Bronze livre à chaque fois, partout. Précision ultime alimentée par notre mouvement interne. Une ténacité extrême façonnée par un bronze extraordinaire. L'Engineer M Challenger Bronze met en valeur des prouesses horloges exceptionnelles. Le calibre automatique de fabrication Ball RRM7309-C offre une précision COSC certifiée avec une réserve ultra-résistant qui offre une résistance aux chocs incroyable et une résistance supérieure à la corrosion dans de marche robuste de 80 heures. Et il est logé à l'intérieur d'un boîtier en alliage de bronze d'aluminium tous les environnements. Alors que l'Engineer M Challenger Bronze se distingue par son calibre, les cadrans noirs, bleus et verts attirent l'attention en raison de leur design expansif. La couleur des index et des aiguilles est délibérément assortie à celle du boîtier pour créer une harmonie ton sur ton. La structure du cadran à deux couches ajoute de la dimensionnalité au design élégant et la piste minute distinctive est non seulement pratique, mais aussi l'embellissement parfait du modèle 43 mm.

LEICA nouvelle ZM 11

Découvrez les transitions harmonieuses de la Leica ZM11, héritière d’une histoire marquée par l’innovation et le dévouement pour l’horlogerie. Ode à l’intemporalité du design et à l’excellence du savoir-faire, la nouvelle Leica ZM 11 représente la transformation. En jouant sur l’ombre et la lumière, elle symbolise le temps. La ZM 11 rappelle l’importance de considérer les choses sous un angle différent pour dénicher l’extraordinaire. Conçu par notre partenaire Chronode, concepteur de mouvements suisses, le Calibre automatique Leica LA-3001 se démarque par sa précision de -4 à +6 secondes par jour et par son impressionnante réserve de marche de 60 heures. Orné de 35 rubis, le mouvement de la ZM 11 est mesuré dans cinq positions pour garantir sa précision à chaque instant. L’attention au détail est visible dans le sablage, le brossage et le polissage appliqués avec minutie, évoquant les finitions du mouvement des modèles Leica ZM 1 et ZM 2. Logé dans un boîtier de 41 mm de diamètre, en titane ou en acier inoxydable, et étanche jusqu’à 10 ATM, ce calibre ne se contente pas d’ouvrir la voie à de futures innovations dans la Collection ZM 11 : il incarne l’esthétique emblématique du design Leica. Un cadran unique, des impressions infinies, la face avant de la Leica ZM 11 est bien plus qu’une simple surface – c’est la toile sur laquelle ombres et lumières créent de la profondeur. Le cadran à deux couches de la « Launch Edition » passe d’un noir raffiné à un rouge intense, selon le point de vue de l’observateur. Premier cadran de montre en son genre, il crée l’impression d’un dégradé en s’appuyant sur un savoir-faire mécanique sophistiqué plutôt qu’en ayant recours à des visuels imprimés. Les index brossés aux arêtes polies sont remplis d’un revêtement luminescent qui assure une haute lisibilité, quelles que soient les conditions lumineuses. Délicatement facettées, les aiguilles diamantées allient surfaces brossées en profondeur et sablées pour produire de superbes reflets sous la lumière.

Adaptez facilement votre montre à toutes les occasions avec le système Leica Easy Change, un mécanisme rappelant le bouton de déverrouillage de l’objectif sur les appareils photo Leica. Appuyez simplement sur le bouton rouge pour changer le look de votre ZM 11. Optez pour un élégant bracelet en titane et acier inoxydable, un bracelet en caoutchouc vulcanisé ou un modèle durable en tissu. Tout en apportant un soin particulier au confort, le design de chaque bracelet est spécifiquement conçu pour rehausser l’esthétisme de la montre et prolonger ses lignes. La ZM 11 est fabuleuse à porter et plus encore à contempler. Exemple emblématique d’une ingénierie d’excellence et d’un savoir-faire inégalé, la Leica ZM 11 est l’héritière d’une histoire de plus de 150 ans, au cours de laquelle Leica a redoublé d’audace pour ouvrir de nouvelles perspectives en matière d’innovation et de design. Chaque seconde est une première avec la nouvelle collection Leica ZM 11, qui se transforme à chaque regard. Avec la ZM 11, trois garde-temps uniques viennent s’ajouter à la Collection de Montres Leica, proposés avec troisbracelets au choix: la ZM11«Titanium Launch Edition», limitée à 250 pièces, avec un cadran noir et rouge ; la ZM 11 « Titanium Coffee Black » au cadran d’un noir chaud ; et la ZM 11 « Steel Midnight Blue », arborant un cadran bleu et noir. La nouvelle Leica ZM 11 sera disponible à partir de la fin du mois de novembre dans une sélection de Leica Stores du monde entier, notamment en Allemagne, en Suisse, en Autriche, en France, en Espagne, au Portugal, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, aux États-Unis, au Mexique, en Chine, au Japon, à Singapour, en Corée, à Hong Kong, dans les Émirats arabes unis et en Australie. Le prix de vente de la collection démarre à 6 800 € pour la Leica ZM 11 Acier, avec bracelet en caoutchouc ou en tissu, et atteint 8 150 € pour la Leica ZM 11 Titane, avec bracelet entièrement en titane, TVA comprise.

 

COORDINATION ÉDITORIALE : EYQUEM PONS



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