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REPÉRAGES #203-2023 (accès libre)
Sept montres qui vont vous entraîner sur l’eau, sous l’eau et dans les airs

Nous continuons avec ce 203e épisode notre panorama des montres de l’année, notamment celles des Geneva Watch Days : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept montres de différentes marques : IWC, Omega, Maurice Lacroix, Mido, Panerai, Reservoir et Seiko…


IWC SHAFFHAUSEN Grande montre d’aviateur AMG G 63 (Armor Gold)

Une robustesse et des performances maximales, un héritage pragmatique et des codes stylistiques éprouvés – ces caractéristiques sont à l'origine de la popularité et du succès constants de la Classe G de Mercedes-Benz et de la Grande Montre d’Aviateur d'IWC Schaffhausen. L’horloger suisse de luxe lance à présent deux éditions spéciales de sa Grande Montre d’Aviateur en hommage à ces deux icônes du design moderne. Ces montres reprennent des éléments caractéristiques du design de la Classe G, tels que les phares ou le cache de la roue de secours, et sont toutes deux fabriquées à partir de matériaux extrêmement robustes et résistants. L'une est dotée d'un boîtier et d'une couronne en Armor Gold 750/1000, tandis que la seconde est le premier garde-temps d'IWC doté d'un boîtier en composite à matrice céramique (CMC). La Grande Montre d’Aviateur d'IWC Schaffhausen et la Classe G de Mercedes-Benz partagent une histoire similaire et sont profondément ancrées dans un héritage pragmatique. À l'origine, toutes deux ont été développées pour répondre à des critères purement fonctionnels : l'une pour être parfaitement lisible et très robuste, l'autre pour offrir des capacités tout-terrain sans compromis. Au fil des ans, elles ont conservé leurs origines pragmatiques tout en devenant des icônes du design moderne. Après près de vingt ans de partenariat avec Mercedes-AMG, IWC Schaffhausen célèbre aujourd'hui ces icônes avec deux remarquables éditions spéciales de la Grande Montre d’Aviateur. La Grande Montre d’Aviateur AMG G 63 (réf. IW501201) est dotée d'un boîtier et d'une couronne en Armor Gold 750/1000, d'un cadran noir et d'un bracelet en caoutchouc noir avec insert en microfibre. Le code couleur noir et or est inspiré de la peinture extérieure et de la finition intérieure de la récente Mercedes-AMG G 63 « Grand Edition ». L'Armor Gold est un alliage innovant qui augmente radicalement la dureté de l'or : ce métal précieux relativement mou devient ainsi un matériau beaucoup plus résistant aux influences extérieures. Grâce à une microstructure améliorée, cet alliage spécial est nettement plus dur et plus résistant à l'usure que l'or rouge. L'association de surfaces sablées et de bords polis confère à cette Grande Montre d’Aviateur un caractère élégant et contemporain.

MIDO Ocean Star 36,5

Mido présente la fascinante Ocean Star 36.5 au nouveau diamètre qui s’adapte et adopte tous les poignets. Pour la première fois, en version féminine, avec son look de plongeuse des sixties vêtue de noir, de couleur or rose et de diamants scintillants, cette montre ergonomique sportive accompagne autant les plus intrépides que les adeptes de bains de soleil, tout en élégance. La Ocean Star 36.5 a de l’allure! Son esthétique se démarque par ses magnifiques contrastes. Un noir intense se répand sur le cadran, le bracelet caoutchouc ainsi que sur la lunette tournante unidirectionnelle avec une bague en verre minéral à la résistance accrue. La boîte et les aiguilles se démarquent par leur couleur rose doré, et des diamants précieux marquent les index. La Ocean Star 36.5, à la pointe des technologies actuelles, se montre parfaitement fiable jusqu’à une pression de 20 bars (200 m / 660 ft). Ses performances redoutables naissent de l’expertise historique de Mido en matière d’étanchéité – en 1930 déjà la marque innovait avec le système Aquadura – célébrée par la gravure d’une étoile de mer sur le fond vissé. Son cœur palpite au rythme du Calibre 80, mouvement mécanique suisse à l’exceptionnelle réserve de marche.

La nouvelle Ocean Star 36.5 combine les codes des montres de plongée à une esthétique raffinée. La lunette tournante unidirectionnelle, équipée d’une bague bombée en verre minéral noir marqué de couleur rose doré, permet de connaître le temps écoulé lors d’une immersion. Le cadran, finement soleillé et noir, reflète la lumière des profondeurs. Onze diamants cerclés de métal marquent les heures. De couleur rose doré, les aiguilles des heures, des minutes et des secondes diamantées plat survolent ce fond intense. Subtilement garnies de Super-LumiNova blanc, elles s’avèrent d’une lisibilité jusque dans l’obscurité. À 6 heures apparait également la date afin de ne pas perdre la notion des jours, un garde-temps à toute épreuve ! La Ocean Star 36.5 tire son nom du diamètre inédit de 36.5mm qui s’affiche dans un boitier en acier inox extrêmement durable, poli et de couleur rose doré. Un verre saphir de type « glassbox » le surmonte, rappelant le charme des plexiglas des années 1960. Couronne et fond vissés contribuent à son étanchéité hors du commun, jusqu’à une pression de 20 bars. La Ocean Star 36.5 défie le temps grâce au Calibre 80 - exceptionnel mouvement automatique suisse – qui permet une autonomie jusqu’à 80 heures. Son spiral Nivachron™ vient ajouter un élément de fiabilité qui la rend redoutable à toute épreuve. Enfin, un bracelet caoutchouc délicatement texturisé en vagues vient épouser le poignet, tel une seconde peau. Deux autres modèles en acier, sans diamant, conjuguant élégance et performance viennent compléter cette collection : le noir intense du cadran et de la lunette tournante sont préservés, et pour les fidèles à la couleur originelle de la collection Ocean Star, elle se décline dans un bleu marine. Destiné à tous les poignets, ce modèle avec ses déclinaisons vient bousculer les codes. Aussi féminine que passionnée des mers, la Ocean Star 36.5 vêtue de noir puise son look inspirant dans les montres de plongée des sixties, rehaussé par de luxueux contrastes et des diamants précieux.

MAURICE LACROIX Aikon Skeleton Urban Tribe

Maurice Lacroix rend à nouveau hommage au paysage urbain en s’inspirant des imposants grattes-ciel qui confèrent à chaque ville une silhouette unique. Fabriqués à partir de divers matériaux, ils exaltent une impression de force tout en invitant la lumière à baigner les espaces intérieurs. Il y a quelques années, la marque des Franches-Montagnes a lancé l’Aikon Urban Tribe, un modèle qui a connu un vif succès. Aujourd’hui, Maurice Lacroix présente une nouvelle création pleine d’audace, inspirée du design de l’Urban Tribe, mais revisitée en version squelettée. En 2021, Maurice Lacroix a lancé l’Aikon Urban Tribe, une montre pour les citadins qui s’est rapidement retrouvée en rupture de stock, victime de son succès. Aujourd’hui, la Maison revient avec un nouveau modèle à la thématique urbaine : l’Aikon Skeleton Urban Tribe. Si son esthétique célèbre toujours l’architecture des grandes métropoles, elle révèle aussi la structure complexe du calibre grâce à un cadran en verre saphir. Maurice Lacroix a travaillé en étroite collaboration avec le spécialiste du mouvement Sellita pour créer le mouvement exclusif Automatic ML135 (inspiré du SW200). Inspiré par les bâtiments les plus intéressants, ce mouvement joue avec la transparence, laissant passer la lumière à travers différentes ouvertures, illuminant ainsi une myriade de pièces. La masse oscillante est personnalisée et arbore une finition sablée et soleillée, tandis que le mouvement est doté d’une finition perlée et colimaçonnée. Les aiguilles des heures et des minutes sont facettées et revêtues de Super-LumiNova tandis que le cadran est entouré d’index luminescents et d’un rehaut gris foncé. Le boîtier de 39 mm en acier inoxydable qui protège l’Aikon Skeleton Urban Tribe est gravé au laser de motifs complexes s’inspirant des structures en béton, verre et acier qui définissent aujourd’hui les avenues et les boulevards quadrillant les villes les plus dynamiques. Équipée d’un bracelet intégré, cette nouvelle montre, comme tous les modèles Aikon, offre un confort inégalé. Elle est entre autre équipée du système de changement facile du bracelet, imaginé par la Maurice Lacroix, qui permet de changer de bracelet sans avoir besoin d’outils. Stéphane Waser, directeur général de Maurice Lacroix, ajoute : « En 2021, quand nous avons lancé l’Aikon Urban Tribe, la montre a suscité beaucoup d'intérêt et s'est rapidement vendue. Depuis, nous avons reçu de nombreuses demandes pour une autre montre Urban Tribe. La nouvelle Aikon Skeleton Urban Tribe adopte le même esprit anticonformiste mais va plus loin grâce à un cadran en verre saphir qui dévoile notre mouvement squelette aux lignes complexes. C’est une montre conçue pour les citadins qui aiment l’effervescence et l’agitation du paysage urbain. Elle évoque les structures des plus grands bâtiments en affichant leurs nombreux éléments structurels, alliant force, légèreté et transparence. Limitée à 500 exemplaires, la nouvelle Aikon Skeleton Urban Tribe, superbement réalisée, offre des fonctionnalités impressionnantes et confirme notre réputation de manufacture de montres à haute valeur perçue. »

SEIKO nouvelle King Seiko (SJE095)

Une nouvelle montre-bracelet ultraplate avec un cadran aux motifs complexes capture l’esprit de la région de Tokyo, où King Seiko est né dans les années 1960. Le cadran blanc texturé s’inspire du chrysanthème, reconnu comme l’une des fleurs nationales du Japon. Représentant la longévité et la renaissance, le chrysanthème revêt une grande importance dans la culture japonaise. La fleur porte-bonheur est illustrée par un jeu de lignes finement entrelacées appelé « kiku tsunagi-mon », qui, en japonais, signifie un chrysanthème qui se connecte à lui-même. Ce motif est particulièrement associé à la verrerie edo-kiriko, une forme de verre taillé traditionnel considéré comme l’un des artisa- nats les plus populaires du Japon. L’Edo-kiriko, qui se traduit par «objets facettés d’Edo», est réputé pour sa beauté complexe et ses designs uniques obtenus grâce à une découpe habile du verre en multiples facettes. La conception de la montre s’inspire de la King Seiko KSK de 1965, dont le boîtier saillant et anguleux a contribué à définir le caractère de King Seiko lors de son lancement. Le boîtier anguleux et facetté, avec de larges surfaces planes et des angles nets, a été poli pour re- fléter agréablement la lumière. Tout comme le boîtier, les aiguilles facettées des heures et des minutes de cette nouvelle création témoignent de la haute qualité de fabrication des montres Seiko modernes et s’har- monisent avec la précision et la beauté du motif de chrysanthème. Animée par le calibre 6L35 de Seiko, la nouvelle montre est plus mince que la King Seiko KSK, bien qu’elle soit dotée d’un remontage auto- matique et d’un guichet dateur. Cette montre proposée en édition limitée sera disponible dans les boutiques Seiko et chez les revendeurs agréés à partir d’octobre 2023.

PANERAI Luminor Tre Giorni (PAM 01087)

Le luxe minimaliste qui s’adapte au style de vie moderne et complète l’identité de Panerai. La Luminor Tre Giorni de 44 mm arbore des bracelets en caoutchouc vert et en cuir de veau interchangeables, associés à une couronne en acier conique. Achetez votre propre PAM01087, exclusivement en ligne : Étanchéité à 100 mètres animée par le calibre P.6000 à remontage manuel, entre précision et héritage italien.

RESERVOIR Chronographe Airfight

L’Airfight Chronograph est le tout premier chronographe signé Reservoir dédié à l’univers aéronautique. Il rejoint, à ce titre, la collection Airfight, y apportant son singulier affichage Bi-rétrograde qui célèbre aujourd’hui le mythique chasseur P-51 Mustang. Depuis sa création, Reservoir s’est ancrée dans trois univers : air, terre, mer. Ils sont traversés par le même esprit mécanique propre à la marque : affichage semi-circulaire, aiguilles rétrogrades, et multiples rappels de design. Mais le chronographe, complication emblématique de la navigation aérienne, représentait un accomplissement d’un autre niveau. Paré au décollage. Technique et esthétique progressent le plus souvent en parallèle, comme deux voies indispensables l’une à l’autre, mais qui ne se rencontrent pas. Pour Reservoir, il ne s’agit pas seulement d’un non-sens. C’est même l’association intime et fusionnelle de la technique et de l’esthétique qui donne tout son intérêt à une montre. La création d’un ensemble cohérent, innovant et opérationnel. L’univers aéronautique incarne à la perfection cette philosophie. Les commandes d’un aéronef, depuis le petit avion de tourisme jusqu’au mastodonte de transport de troupes, en passant par les mythiques avions de chasse (warbirds) comme le P-51, répondent toutes à des fonctions précises, normées, pensées par et pour des pilotes. L’adage « la forme suit la fonction » est dépassé : forme et fonction fusionnent. Chaque couleur, chaque matière, chaque emplacement est pensé pour remplir une mission et une seule. S’il est bien un appareil qui a sublimé ce rapport entre forme et fonction, performance et esthétique, c’est le P-51. De son nom complet North American P-51 Mustang, il est, de loin, le plus connu et plus apprécié de tous les warbirds. Il n’a pas manqué de susciter de nombreux designs, y compris horlogers. Mais très peu de maisons se sont véritablement penchées sur son intérieur, ses instruments. Et seuls les pilotes savent le lire. Reservoir a donc concentré l’essentiel de son travail à donner vie à un cadran qui, à son tour, puise dans les codes esthétiques du P-51 pour développer une montre purement opérationnelle.

L’Airfight Chronograph parlera à deux publics : les passionnés, et les pilotes. Ils partagent les mêmes émotions aéronautiques mais auront plusieurs angles de lectures. Les premiers noteront immédiatement les multiples rappels aéronautiques distillés sur le cadran. En premier lieu, l’aiguille emblématique des heures et des minutes, noire et terminée par un large triangle blanc luminescent, qui reprend la géométrie des indicateurs de la planche de bord d’un P-51. Les pilotes comprendront l’allusion au badin (indicateur de vitesse, du nom de son inventeur Raoul Badin), au vario (cabré ou piqué, donc « en montée » ou « en descente », en ft/mn), régime moteur (RPM), parmi d’autres. Tous ces instruments sont au centre de la planche de bord du P-51. En parallèle, le cadran de l’Airfight Chronograph affiche différents secteurs de couleurs (vert, orange, noir). Là encore, le passionné comprendra instantanément que chaque segment donne le ton d’une plage de fonctionnement normal (vert), à risque (orange) ou prohibé (rouge). Le code couleurs est universel mais le pilote saisira instantanément les références plus précises au régime moteur (RPM), aux vitesses de décrochage (VS) voire aux températures du carburateur (risque de givrage sous certaines conditions météo, appelant le déclenchement de la « réchauf carbu »). Chacune de ces références sert un objectif précis et opérationnel, dans le droit fil des missions originelles du P-51. Au cœur du dispositif : le chronographe. C’est l’instrument clé de toute navigation aérienne. Il permet de mesurer les temps de vol, de calculer l’autonomie restante, le rayon d’action, le passage de points tournants. Chaque vol est minuté, depuis la mise en route du moteur jusqu’à son arrêt complet, en passant par toutes les phases de vol. Rappelons que la présence à bord d’un chronographe est indispensable pour tout aéronef, qu’il soit privé, commercial ou militaire. Il est en première loge de la MEL, pour Minimum Equipment List. Pas de chrono, pas de décollage.Dans cette perspective, Reservoir a conçu un chronographe à très haute lisibilité, autant fonctionnel qu’opérationnel. Il se divise en trois sections : la grande seconde au centre, le compteur 30 minutes à 12h, et le compteur des heures à 6h. Cette disposition verticale, sur une seule ligne, est la plus intuitive. En conditions opérationnelles, c’est la plus simple à lire. Les gradations très différentes (de 0 à 30 pour les minutes, sur 12h pour les heures) interdisent toute confusion possible. Les minutes sont sautantes, pas à pas, de manière à éviter tout risque d’erreur qui serait induit par un glissement progressif d’une minute à la suivante.

De part et d’autre de l’axe de chronographe, Reservoir a déployé deux arcs à 120° affichant les trois couleurs, vert, orange et rouge. Le premier, à gauche, est gradué sur 30 : c’est la seconde rétrograde. La complication rétrograde est emblématique de Reservoir. Elle est présente depuis les débuts de la marque, incarnant la volonté d’une complication rare, doublée d’une animation créative qui donne vie au cadran. À droite, le second segment est gradué sur 31 : c’est le quantième de date. Il est lui aussi rétrograde. Le premier jour du mois est tout en bas, le 31 tout en haut, affichant ainsi une progression verticale qui s’inspire des différents instruments de la planche de bord d’un P-51 (suivi de la température, de la consommation, etc.). Cette mécanique aéronautique est animée par une complication maison au sein du Calibre RSV-Bi120, mouvement manufacture chronographe bi-rétrograde à remontage automatique et roue à colonnes (base LJP-L1C0). Il offre une réserve de marche 60 heures et est visible par le fond saphir de la boîte, avec la même facilité qu’aurait un mécanicien au sol pour contrôler son moteur. Côté habillage, Reservoir n’a pas manqué de s’inspirer des éléments de la planche de bord du P-51, à commencer par la couronne qui reproduit les molettes crantées que les aviateurs manipulaient pour ajuster leurs instruments (l’altimètre et/ou le QNH, ou pression atmosphérique, par exemple). Le cadran, lui, est totalement noir, comme le sont toutes les planches de bord. La lunette est dotée d’une échelle télémétrique. Intégrant la collection Airfight, l’Airfight Chronograph sera disponible dès le mois de septembre 2023 en boîte acier ou PVD noir de 43 mm, en boutique et en ligne, sur bracelet noir cuir et toile avec boucle ardillon, complété d’un second bracelet NATO.

OMEGA Seamaster Emirates Team New Zealand

À l'occasion de la Coupe de l'America qui se déroulera à Barcelone en 2024 et qui approche à grands pas, Omega s’est inspiré du logo des champions en titre pour créer un hommage au Emirates Team New Zealand. La Seamaster Planet Ocean Deep Black ETNZ Edition a été révélée et lancée lors de l'événement exclusif organisé par Omega à l'occasion de la Régate préliminaire de Vilanova. Dans un an, l'équipage basé à Auckland fera tout son possible pour que le plus vieux trophée sportif du monde reste entre les mains des Kiwis. Pour les aider à saisir la brise, Omega s'est inspirée de la voile du logo de l'ETNZ pour créer une pièce de collection unique pour l'America's Cup. Raynald Aeschlimann, Président et CEO d'Omega, ne tarit pas d'éloges sur la montre et sur l'équipage qui a inspiré sa création. « Comme pour nos amis d'Emirates Team New Zealand, l'année passe vite et le moment est venu de montrer nos vraies couleurs. Notre montre, prête pour la course, est aussi belle que performante et constitue un hommage approprié à l'équipage talentueux et au pays qu'il représente ». La Seamaster Planet Ocean de 45,5 mm mêle le noir le plus profond au turquoise du logo Emirates Team New Zealand. Le boîtier en céramique noire est complété par une lunette unidirectionnelle en céramique noire brossée avec échelle de plongée en émail blanc et marqueur triangulaire à 12 heures, qui comprend du Super-LumiNova blanc pour émettre une émission verte dans l'obscurité. Sur le cadran en céramique mate, Omega a fait un clin d'œil au protocole d'avant-course avec un indicateur de compte à rebours à 3 heures, accompagné d'un drapeau « Start ».

L'aiguille de l'indicateur et le rehaut du compteur sont turquoise, avec le logo d'Emirates Team New Zealand, de même que la minuterie, le chiffre 12 et l'aiguille des secondes du chronographe avec le contrepoids du trophée de l'America's Cup. Omega a également repris la couleur sur les bagues des poussoirs en céramique noire brossée, le « He » sur la valve d'échappement à hélium et le logo Omega sur la couronne. En hommage à l'équipage Kiwi, le fond du boîtier Naiiad Lock est orné du logo Emirates Team New Zealand avec une fougère turquoise et des lettres blanches. La montre est animée par le calibre Master Chronometer Omega 9900. Omega présente la montre sur un bracelet en caoutchouc structuré noir et turquoise avec des surpiqûres turquoise et boucle déployante en céramique noire, et propose trois façons de changer de look : un bracelet en caoutchouc supplémentaire et deux bracelets NATO, tous dans des couleurs complémentaires. La montre de régate est présentée dans un écrin exclusif inspiré du logo d'Emirates Team New Zealand, permettant de la garder en sécurité et au sec sur terre. Depuis 1995, Omega accompagne Emirates Team New Zealand tout en fournissant un chronométrage de précision. La 37e édition de la célèbre régate marquera la quatrième participation d'Omega en tant que chronométreur officiel. Omega a déjà chronométré la Coupe de l'America en 2000, 2003 et 2021. Comme toujours, la marque est fière de servir les meilleurs navigateurs du monde dans leur quête de gloire sur l'eau.

 

Coordination éditoriale : Eyquem Pons


 

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