> 

PICTOCHRONIQUES #311
« C’était un temps déraisonnable / On avait mis les morts à table / On faisait des châteaux de sable / On prenait les loups pour des chiens »

Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 311e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand poète français Louis Aragon (1897-1982) pour la citation de son fameux « Est-ce ainsi que les hommes vivent » (« Le roman inachevé », 1956) qui compose le titre de cette pictochronique et qui a été chanté par Léo Ferré en 1961. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…


Nous avons terminé le premier semestre …
Partagez cet article :

Restez informé !

Inscrivez-vous gratuitement à notre newsletter et recevez nos dernières infos directement dans votre boite de réception ! Nous n'utiliserons pas vos données personnelles à des fins commerciales et vous pourrez vous désabonner n'importe quand d'un simple clic.

Newsletter