À DÉCOUVRIR # 91 : Sept montres qui vont de l'extrême virilité à la légèreté d'une plume...
Sept montres, dans tous les styles et à tous les prix, vues du côté des marques, avec des textes en version originale. Coup de projecteur sur quelques nouveautés repérées chez Manufacture Royale, MB&F, Omega, Swarovski, Tudor, Vulcain et Zenith. Sept montres : une par jour de la semaine, parce que, quand on aime, évidemment, on ne compte pas...
Sept montres, dans tous les styles et à tous les prix, vues du côté des marques, avec des textes en version originale. Coup de projecteur sur quelques nouveautés repérées chez Manufacture Royale, MB&F, Omega, Swarovski, Tudor, Vulcain et Zenith. Sept montres : une par jour de la semaine, parce que, quand on aime, évidemment, on ne compte pas...
◀▶ TUDOR PelagosLa montre-outil par excellence...❏❏❏❏❏ L’histoire de la montre de plongée chez Tudor est intimement liée à son usage intensif par des professionnels du travail sous-marin, notamment d’importantes marines militaires à travers le monde. Véritables outils, les produits submersibles de la marque, ont évolués au fil des années pour répondre aux besoins de ces utilisateurs intensifs. Lorsque le modèle Pelagos a été développé, c’est avec cet héritage en tête et sur la base de nombreux tests en conditions réelles autour du monde – notamment dans le lac Léman, proche du siège de Tudor à Genève – que ses caractéristiques, spécifiques à la plongée extrême, ont été établies. A commencer par une étanchéité importante, garantie jusqu’à 500 mètres et couplée avec une valve à hélium, dispositif indispensable à la préservation de la montre lors des plongées dites «à saturation». Cette technique consiste à saturer l’organisme des plongeurs d’un mélange gazeux d'hélium et d’oxygène, ce qui leur permet d’alterner périodes d’activités sous-marines et périodes de repos en caisson, et donc d’éviter les très longues phases de décompression pendant toute la durée de leur mission. L’atome d’hélium étant la plus petite particule gazeuse existante, il parvient au bout d’un certain temps à pénétrer à l’intérieur de la montre malgré son étanchéité. La valve à hélium sert alors à laisser le gaz s’échapper librement de la montre sans dommage pour elle lors de la longue phase de décompression en caisson au terme de la mission. Une autre dimension critique d’un bon instrument de plongé est sa lisibilité. Sur le modèle Pelagos, plusieurs solutions ont été adoptées pour l’optimiser. Son cadran est en effet ponctué de généreux index carrés, équipés d’une grande quantité de matière lumineuse, gage d’une plus longue efficacité et offrant un excellent contraste. La luminescence est bleue, la dernière couleur du spectre discernable en profondeur. Ses aiguilles, dont celle des heures avec sa caractéristique pointe carrée permettant de la différencier de celle des minutes au premier coup d’œil, suivent la même approche. Pour l’anecdote, cette configuration cadran-aiguilles, souvent surnommée « snowflake » dans les cercles de collectionneurs, est caractéristique des montres de plongée Tudor produites à partir de 1969. Une façon de plus pour Pelagos de s’inscrire dans l’héritage maison. Dans le même esprit d’optimisation de la lisibilité, enfin, le disque en céramique de sa lunette tournante unidirectionnelle en titane est ponctué d’index lumineux, permettant une lecture complète de l’information, même dans les conditions de visibilité les plus précaires. Le modèle Pelagos se singularise également par son bracelet en titane doté d’une boucle déployante en acier munie d’un mécanisme d’auto-ajustement par ressorts, développé et breveté par Tudor. Ce système d’une remarquable technicité permet l’ajustement du bracelet en plongée, par contraction lorsque la combinaison subit une compression due à la profondeur et donc une réduction de volume, et à l’inverse, par élargissement, lorsque la pression se fait moindre au cours de la remontée. Un bracelet supplémentaire en caoutchouc avec système de rallonge pour être aisément fixable au- dessus de tout type de combinaison est également livré. Le choix du titane, enfin, pour réaliser l’habillage de la Tudor Pelagos, s’explique par ses qualités intrinsèques de légèreté – environ 60% du poids de l’acier inoxydable pour le même volume – et de grande résistance à la corrosion par l’eau de mer. L’apparence mate, très fonctionnelle de ses terminaisons entièrement brossées, sa connotation technologique et sa couleur sont aussi d’excellents moyens de véhiculer, en termes de design, la vocation technico-professionnelle de cette montre. Dans le prolongement de son habillage, le mouvement Tudor MT5612 équipant la Tudor Pelagos propose lui-aussi des finitions mates suggérant sa précision, sa fiabilité et son haut niveau technologique par de larges surfaces sablées, agrémentées de détails colimaçonnées ou soleillées et par un rotor central ajouré.
◀▶ VULCAIN Aviator CricketUn mouvement manufacture enrichi d'un réveil...❏❏❏❏❏ 2014 a été marqué par le lancement de la nouvelle Aviator Instrument Chronograph. Cette année, Vulcain se voit enrichir cette gamme en développant une collection Aviator Cricket basée graphiquement sur le modèle 2014, mais additionné d’un mouvement réveil manufacture V-11.
◀▶ MANUFACTURE ROYALE 1770 Or Rose Cadran ajouréUn tourbillon dans la tradition de la haute horlogerie suisse...❏❏❏❏❏ Baptisé 1770, date de fondation de Manufacture Royale, ce modèle incarne l’exigence d’audace et d’excellence qui la définit. Ses formes sobres et finement réfléchies perpétuent un style généreux et créatif. Toutefois, elles sont ici adoucies et remodelées pour composer un garde-temps contemporain aux lignes épurées. Développé et réalisé exclusivement par la Maison, son calibre de haute horlogerie intègre un splendide tourbillon volant. Cette année, Manufacture Royale dévoile une version en or rose avec un cadran ajouré disponible en deux couleurs, argenté ou or noir. Depuis sa fondation, Manufacture Royale conçoit, réalise et décore l’intégralité de ses mouvements dans la plus grande tradition horlogère suisse. Baptisé MR03, le calibre animant la 1770 met en scène l’un des raffinements techniques les plus sophistiqués : le tourbillon volant. Cette construction esthétique et spectaculaire permet en effet d’admirer dans toute sa splendeur le jeu de l’échappement et les finitions exceptionnelles de ses composants. Organe crucial de la montre, puisque sa précision en dépend, l’échappement intègre ici le meilleur de l’innovation puisque son ancre et sa roue d’ancre sont en silicium. Résistant notamment aux variations de température et aux champs magnétiques, le silicium offre une plus-value importante aux performances du mouvement. Le calibre est également doté d’un roulement à billes en céramique qui permet de réduire les frictions et d’optimiser sa résistance aux chocs. Il enrichit en outre ce modèle d’un balancier à vis et d’un spiral plat. Effectuant une révolution en 60 secondes, le tourbillon volant est placé asymétriquement à 7h. Ce positionnement inhabituel crée ainsi une tension visuelle unique donnant toute sa personnalité au garde-temps. En dehors des heures, des minutes et des secondes, la 1770 dispose également d’une réserve de marche de 108 heures, soit quatre jours et demi, matérialisée par un indicateur sur le cadran. Comptant 208 composants, le MR03 se remonte manuellement. Dans sa version ajourée, le cadran de la 1770 se veut graphique et contemporain. Ses différents niveaux lui confèrent un esprit technique et dévoilent par endroits le mouvement. De forme glaive, les aiguilles présentent une partie satinée et une autre polie afin d’assurer une bonne lisibilité. Manufacture Royale est également célèbre pour ses habillages complexes, réalisés dans un style immédiatement identifiable. Constitués d’un nombre élevé d’éléments finement exécutés et perfectionnés à la main, ils répondent à un principe de construction prédéfini : le mouvement est logé dans un boîtier, lui-même intégré dans une structure, parfois mobile. Signature de Manufacture Royale, ce procédé révèle tout son potentiel avec la 1770. La boîte est ainsi dessinée pour accueillir deux brancards parfaitement proportionnés venant enlacer l’ensemble. Maintenus par des vis fonctionnelles et visibles, ils se prolongent à chaque extrémité avant de s’incliner doucement pour former les cornes. Sur le côté, la couronne est polie et porte l’inscription « MR » gravée au centre. Quant au fond, il est intégralement ouvert pour dévoiler la magnificence du calibre. Alternant des finitions polies, étirées et satinées, le boîtier de la 1770 synthétise l’art de l’habillage de haute horlogerie suisse, tant par la qualité du dessin, réalisé par le célèbre designer horloger Eric Giroud, que par l’exécution irréprochable des éléments et de leurs finitions. Comptant 20 composants, le boîtier en or rose mesure 43 mm de diamètre. 
◀▶ MB&F Starfleet Machine (L'Épée 1839)La mécanique horlogère des fans de science-fiction...❏❏❏❏❏ Une horloge suisse, signée L’Epée 1839, volant à deux fois la vitesse du son au-dessus de l’Atlantique, ce n’est pas nouveau : en 1976, quand le Concorde a commencé ses premiers vols commerciaux, L’Epée avait été choisie pour équiper les cabines de superbes horloges murales. Le Concorde ne vole hélas plus, mais une autre horloge « supersonique » s’apprête à traverser la stratosphère et à s’aventurer dans l’espace lointain, voire au-delà : la Starfleet Machine imaginée par l’équipe de design aéro-horloger de MB&F. La Starfleet Machine est réalisée par L’Epée 1839. La manufacture fondée en 1839 est aujourd’hui la dernière entreprise spécialisée dans la production d’horloges haut de gamme en Suisse. La Starfleet Machine est une horloge de table en forme de vaisseau intergalactique qui affiche les heures, les minutes, la double seconde rétrograde et la réserve de marche. Largement dévoilé et finement décoré, son superbe mouvement manufacture dispose d’une autonomie exceptionnelle de 40 jours (les longs voyages dans l’espace nécessitent beaucoup de carburant). Le design de la Starfleet Machine a été imaginé par MB&F, laboratoire micromécanique reconnu. Les heures et les minutes sont indiquées par des aiguilles polies à la main qui épousent les contours du dôme central noir. En arrière-plan, un dôme plus petit et une antenne parabolique tournent pour afficher la réserve de marche, de manière intuitive : cinq barres correspondent à un remontage complet du mouvement (40 jours d’autonomie) ; une barre annonce que la Starfleet Machine commence à manquer d’énergie (8 jours encore disponibles)… donnée très relative comparativement à la plupart des horloges de table qui ne disposent que de 8 jours au maximum. En contrebas de 12 heures sur le dôme central des heures et minutes, la double seconde rétrograde se présente sous la forme de canons lasers montés dans des tourelles. D’abord parallèles, les canons mettent 20 secondes à se croiser avant de revenir instantanément à leur position de départ. Leurs extrémités rouges produisent un effet saisissant, tout en servant – de manière tout aussi importante – à repousser les attaques ‘ennemies’ contre le cœur du vaisseau logé juste dessous : le régulateur, bien en vue pour que l’on puisse l’admirer. Configurer le mouvement conformément au design voulu par MB&F fut l’un des plus grands défis à relever pour L’Epée. Le calibre doté de cinq barillets (montés en série pour une performance optimale) anime généralement des horloges verticales. Ici, il se présente à plat et il a donc fallu aussi placer le pont de l’échappement à l’horizontale, afin qu’il apparaisse protégé par les canons-laser montés dans des tourelles. Bien entendu, le mouvement atteint une précision dont la Starfleet aurait été fière, avec un réglage de -2/+2 minutes sur 40 jours ! Tous les composants du mouvement (excepté les 48 rubis) ont été dessinés et manufacturés dans du laiton traité au palladium aux finitions impeccables, au sein de l’atelier suisse de L’Epée. Les rouages et barillets sont complètement visibles grâce à la platine squelettée et à la structure concentrique externe, façonnée en forme de C dans de l’acier. La Starfleet Machine peut reposer sur ses supports verticaux des deux côtés, ce qui s’avère utile quand on la retourne pour armer le ressort de barillet ou régler l’heure. En concevant la Starfleet Machine, le fondateur de MB&F Maximilian Büsser voulait aller là où aucun designer d’horloge n’est allé auparavant, « au mépris du danger, reculer l’impossible » selon le mot d’ordre de la mission Startrek. L’Epée l’a suivi avec enthousiasme. « Le concept m’a époustouflé », déclare le CEO Arnaud Nicolas. « Comme Max, je suis fan de science-fiction. Quand MB&F nous a approchés, il était évident d’accepter le challenge. L’équipe a été vraiment emballée par cette pièce, d’autres le seront certainement aussi. » La Starfleet Machine est limitée à 175 exemplaires et disponible en version « light » ou en version « dark » avec des composants traités ruthénium. 
◀▶ OMEGA Constellation PlumaUne montre pour le retour des beaux jours de l'été…❏❏❏❏❏ Après son lancement en 2014, la ligne Constellation Pluma accueille un séduisant modèle pourvu d'un cadran nacré inédit. La gamme Constellation suscite depuis longtemps l'admiration pour son design à la fois discret et élégant. Elle se distingue par ses modèles dernier cri conjuguant style et innovation. En 2014, Omega a inauguré la ligne Constellation Pluma dont les cadrans nacrés sont ornés d'un motif bien caractéristique. Cette ligne tire son appellation du terme Pluma, qui signifie « plume » en latin, en référence au design soyeux du cadran. Cette année, Omega propose une lecture suggestive de l'esprit Constellation Pluma : un cadran corail clair évoque la douce chaleur des journées d'été. À l'instar des autres modèles de la gamme, cette montre de 27 mm est ornée de 11 index en diamants sertis sur chatons en or 18 K et des ondulations se dessinent sur le cadran entre les deux griffes emblématiques. Les aiguilles centrales des heures, des minutes et des secondes en or 18 K polies et facettées sont revêtues de Super-LumiNova blanc, pour une lecture facile de l'heure, y compris dans l'obscurité. La lunette en or rouge 18 K de cette montre féminine est pavée de 32 diamants taille brillant, pour un style encore plus sublime. Ce modèle Constellation Pluma est monté sur un bracelet avec maillons en acier inoxydable et barrettes en or rouge 18 K. Le calibre Omega Co-Axial 8520 est visible à travers le fond en verre saphir bombé résistant aux rayures. Grâce à sa précision et à sa fiabilité, ce mouvement mécanique bénéficie d'une garantie complète de quatre ans.
◀▶ SWAROVSKI Piazza Collection HommeLa pureté des formes d'une architecture contemporaine…❏❏❏❏❏ Décontractée, urbaine, intemporelle... Swarovski propose également une collection de montres pour hommes qui peuvent s’adapter à tous les moments et à tous les looks. Ronde et raffinée, la montre Piazza grande est à la fois élégante et moderne. Les amoureux des montres apprécieront le fond de boîtier transparent qui laisse apparaître le mouvement mécanique avec son remontage automatique et le rotor avec une décoration « Côtes de Genève ». Dans sa version quartz, la montre Piazza grande illustre à merveille la pureté de la forme influencée par l’architecture contemporaine. Disponible dans une variété de designs, matériaux et couleurs, la collection Swarovski de montres pour hommes est idéale pour les hommes modernes qui souhaitent rehausser leur style avec une touche masculine de l’éclat unique de Swarovski.
◀▶ ZENITH El Primero SportL'essence sportive d'un chronographe essentiel…❏❏❏❏❏ Avec le modèle El Primero Sport, Zenith présente un nouveau chronographe dans son iconique collection. Décliné en trois variantes classiques et racées, ce garde-temps s’inscrit dans la grande tradition des chronographes sportifs. Son boîtier en acier de 45 mm de diamètre abrite le fameux calibre automatique El Primero 400 B fréquencé à 36 000 alternances/heure. La collection iconique El Primero accueille une nouvelle gamme de chronographes racés qui s’inscrivent d’emblée dans la plus belle tradition des chronographes sportifs. Présenté en trois déclinaisons initiales, le nouveau modèle El Primero Sport revendique un caractère masculin affirmé, renforcé par les dimensions généreuses de son boîtier en acier et les propriétés éminemment sportives de ses fonctions. Son caractère affirmé le relie à l’essence même des montres sportives et l’inscrit naturellement dans une lignée de garde-temps intemporels. Animé du calibre El Primero 400B, mouvement chronographe de construction intégrée avec roue à colonnes, fréquencé à 36 000 alternances/heure, le nouveau modèle El Primero Sport s’imprègne de l’ADN de l’illustre chronographe El Primero de 1969, dont il est l’un des plus dignes héritiers. Proposé dans un robuste boîtier au diamètre imposant de 45 mm, le nouveau chronographe El Primero Sport est façonné dans de l’acier inoxydable – matériau de prédilection des garde-temps sportifs de haut rang. Sa couronne et ses généreux poussoirs crantés permettent une prise en main optimale ainsi qu’une sécurité renforcée. Vissés, ils garantissent une étanchéité à 200 mètres. Surmontée d’une glace saphir bombée, la carrure d’athlète du modèle El Primero Sport se prolonge sur des cornes ergonomiques, inclinées afin d’épouser parfaitement le poignet. En transparence, le fond saphir révèle la fascinante mécanique du calibre El Primero 400B et de sa masse oscillante décorée de Côtes de Genève. ❏❏❏❏❏ Côté cadran, le caractère dynamique du chronographe El Primero Sport se dessine sous des traits virils et puissants. Se détachant distinctement du cadran argenté ou ardoise lamé à la main – une ancienne technique remise ici au goût du jour – de larges index facettés, rhodiés et recouverts de Super-LumiNova® permettent une lecture aisée des heures et des minutes centrales, révélées par d’imposantes aiguilles « glaive ». Cette esthétique se retrouve sur les petites aiguilles des compteurs – également facettées – et dont la disposition a été patiemment étudiée afin d’optimiser le confort de lecture. Une échelle tachymétrique sur le rehaut complète l’ensemble. La trotteuse du chronographe, ornée de l’emblème étoilé, marque quant à elle sa distinction en se parant d’un rouge intense auquel fait écho la mention « 36’000 VpH » peinte en carmin sur le haut du cadran. Recelant un potentiel infini de variations, le nouveau-venu de la Collection El Primero est proposé en deux teintes de cadrans – argenté et ardoise lamés à la main – auxquelles s’accordent trois exécutions de bracelet distinctes. La première variante, sobre et classique, se pare d’un élégant bracelet en cuir d’alligator marron foncé. Le deuxième modèle, pourvu d’un cadran ardoise, épouse un confortable bracelet en acier, dont les maillons centraux ont été brossés et les extérieurs polis, dans un esprit viril et sportif. Troisième référence présentée cette année, une ultime interprétation accorde son visage charbonneux à un bracelet en caoutchouc de la même nuance. Offrant un confort absolu doublé d’une sécurité optimale, les bracelets en acier sont dotés d’un nouveau fermoir sophistiqué. Impossible de citer les qualités du calibre El Primero 400 B animant ces trois modèles sans évoquer sa prestigieuse filiation au chronographe de série le plus précis au monde, le légendaire chronographe El Primero, conçu par Zenith en 1969. Des attributs mythiques, dont ce mouvement chronographe classique perpétue les atouts essentiels. À l’instar de sa construction intégrée, dotée d’une roue à colonnes, ainsi que sa cadence de 36 000 alternances par heure, lui garantissant une précision au 1/10e de seconde. Conjuguant la haute fréquence avec une remarquable réserve de marche de plus de 50 heures, le mouvement El Primero 400 B propose les indications heures et minutes centrales, petite seconde à 9 h, chronographe et date à 6 h.
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