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CHAISES MUSICALES (accès libre)
Alors, déjà partie ou pas encore partie ?

Un gros mystère autour du départ de notre chère amie SuperDRH, prête à bondir ailleurs pour y développer d’urgents projets personnels…


Black-out total dans les sphères dirigeantes du groupe en question, où règne une effervescence anormale autour de notre chouchoute, cette « SuperDRH avec un S comme… » (Business Montres du 3 juin en accès libre). On attend une communication officielle imminente.

Pourquoi ne publions-nous pas, en clair et sans filtre, une information dont nous sommes sûrs à 99 % [l’impondérable est un aléa horloger bien connu], puisqu’elle nous a été confirmé par l’entourage directe de l’actionnaire, qui serait personnellement intervenu pour éjecter cette indésirable ? Pour deux raisons…

• Tout simplement parce que chat échaudé craint l’eau froide, comme dit la sagesse populaire : voici quelques années, nous avions annoncé le départ d’un patron de marque dont nous savions pertinemment qu’on lui avait coupé la tête sans le prévenir [depuis, il a fait une belle et profitable carrière à un autre poste], mais cette annonce prématurée avait permis à ce patron d’allumer un contrefeu, de plaider sa cause (« Vous n’allez tout de même pas donner raison à Business Montres ») et de sauver sa tête in extremis. Il n’y a à cette heure aucune raison de se presser pour annoncer l’inéluctable : de toute façon, tout le monde a compris, tout le monde sait et tout le monde attend que la confirmation de cette éjection que tout le monde considère comme inévitable après les bêtises accumulées au cours de ces derniers mois [entre nous, il était temps : si quelqu’un au sein du groupe avait consulté Google sur le passé de SuperDRH, on aurait été tout de suite édifié !]

• Ensuite, on ne peut pas exclure, malgré tout, une cabale interne des managers et des cadres supérieurs dont les intérêts personnels ont été gravement lésés par SuperDRH (« avec un S comme… ») – et donc une jolie intox médiatique pour accélérer la chute de celle qui aurait eu une influence déplorable sur la direction du groupe et que personne ne pleurera [surtout pas les concurrents des autres groupes, qui l'avaient éjectée pour incompétence notoire]

Pour l’instant, laissons SuperDRH mijoter dans son jus, ranger ses petites affaires dans une boîte en carton et attendre le communiqué officiel qui déconnectera son adresse e-mail. Elle va enfin pouvoir porter librement les faux bijoux des marques dont elle avait la responsabilité « humaine »…



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