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PICTOCHRONIQUES #248
« Je vous l'ai dit : des armes et des mots, c'est pareil, ça tue pareil. Il faut tuer l'intelligence des mots anciens »

Pour bien entamer ce printemps 2025, voici le 248e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand auteur-compositeur et chanteur français Léo Ferré (1916-1993) pour ce vers de sa chanson emblématique « Le Chien » (1970) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…


Nous entamons le second trimestre 2025 
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