ATLANTIC-TAC #100 (accès libre) : Quand le vaisseau de Star Trek égrène la Marche impériale de Star Wars et quand le Soleil règle les heures du bout du doigt...
Le 29 / 08 / 2014 à 11:54 Par Le sniper de Business Montres - 1418 mots
Et aussi l’élégance voltairienne d’une montre néo-classique, l’argument du bracelet interchangeable qui l’est vraiment, la mise en orbite internationale d’une Chinoise futée et le bleu qui refuse les idées noires… C'est l'actualité des montres...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail d'informations horlogères en liberté (un pure player de l'information, avec 3,8 millions de visiteurs mensuels – données Google Analytics). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, …
Et aussi l’élégance voltairienne d’une montre néo-classique, l’argument du bracelet interchangeable qui l’est vraiment, la mise en orbite internationale d’une Chinoise futée et le bleu qui refuse les idées noires… C'est l'actualité des montres...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail d'informations horlogères en liberté (un pure player de l'information, avec 3,8 millions de visiteurs mensuels – données Google Analytics). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, pour parler des marques, des montres et de ceux qui les font. Cette semaine, au sommaire de ce centième épisode d'Atlantic-tac (page en accès libre, résumé ci-dessous) : ►►► MB&F : Une Musicmachine 2 qui remarie la science-fiction et le rock’n’roll… L’histoire européenne de l’horlogerie mécanique est consubstantielle à celle des boîtes à musique mécaniques, qui passionnaient déjà les empereurs chinois du XVIe siècle. Il était donc logique, pour la jeune marque MB&F (Maximilian Büsser & Friends), vedette de l’avant-garde horlogère contemporaine, d’en venir à créer des « boîtes à musique » rétro-futuristes comme cette MusicMachine 2, sculptée dans l’aluminium et dans l’acier comme un vaisseau spatial [tout le monde aura reconnu le style Star Trek], mais capable de reproduire, sur ses deux cylindres à picots, six mélodies comme la Marche impériale de Star Wars ou Stairway to Heaven de Led Zeppelin. Réconcilier sur une même « machine » le thème de Star Trek et celui de... ►►► EBOHR : Des complications mécaniques de luxe qui n’ont plus rien de banales « chinoiseries »… Côté suisse, comptez au minimum 30 000 euros pour un tourbillon (complication mécanique considérée à tort comme superlative) qui sera, à ce prix-là, en acier et nettement basique. Côté asiatique, ce tourbillon Ebohr – aux finitions comparables à celles du luxe suisse – ne vous coûtera qu’un peu plus de 10 000 euros, pour une pièce en or avec un style avant-gardiste qui place le tourbillon en orbite autour du cadran (un tour complet toutes les douze heures pour l’Infinity ci-dessous). Ne cherchez pas l’erreur : il n’y en a pas. Maintenant qu’ils maîtrisent à peu près le design de leurs montres [confié à des designers suisses] et la qualité de fabrication de celles-ci [grâce à des machines suisses opérées par des ingénieurs suisses], les marques chinoises s’attaquent... ►►► ORIS : Des heures bleues qui refusent de s’abandonner aux idées noires… Si le bleu est le nouveau noir, il arrive que ce bleu soit tellement profond qu’il en devienne noir, un peu comme un ciel nocturne d’été qui aurait perdu ses étoiles : tout dépend de la lumière ambiante, mais, passé minuit, qui se soucie de la couleur d’un cadran ? Reste la suprême élégance de ce bleu qui refuse de s’abandonner au noir et d’un style intemporel que souligne le guillochage circulaire d’un cadran on ne peut plus classique, logé dans... ►►► MOOG : Puisqu’on vous dit que les femmes regardent d’abord la couleur du bracelet… Pas encore très connue, Moog est une petite marque française – mais oui ! – qui monte, notamment en Asie où les consommatrices sont moins traumatisées par la notoriété des marques qu’en Europe. Moog, c’est une indéniable French Touch, avec ce petit je ne sais quoi qui pimente une proposition enrobée de mode aux allures pourtant plutôt conventionnelles. Le secret, c’est le plaisir de changer très facilement de bracelet de montre pour donner à celle-ci une toute autre allure. Ce concept... ►►► MANUFACTURE ROYALE : L’élégance philosophique d’une montre voltairienne… Officiellement, la manufacture royale dont il est question ici – celle de Voltaire, qui vendait ses montres aux cours du monde entier – est née en 1770, aux portes de Genève, mais en territoire français. Intéressons-nous plutôt à la renaissance de la Manufacture royale, qui a rebaptisé 1770 cette montre de stricte facture néo-classique (43 mm pour le boîtier rond en acier, mouvement mécanique « manufacture », c’est-à-dire entièrement fait maison, valorisation visuelle du tourbillon volant et de ses éléments en silicium à 7 h, aiguilles « glaive »), que le choix du cadran ardoise rend encore plus élégant. La réserve de marche est de... ►►► TISSOT : Toucher, c’est gagner pour rester dans les temps du Soleil… La montre T-Touch est une des seules vraies légendes horlogères du XXIe siècle. C’était même la première bonne surprise dans les vitrines du nouveau millénaire. Au départ, personne – pas même la marque – ne croyait à cette technologie tactile, qui anime du bout d’un doigt les différentes fonctions de la montre : il suffit de toucher le cadran au bon endroit pour afficher le calendrier du jour, du mois et de l’année, l’alarme, le double fuseau horaire, le baromètre pour la météo, l’altimètre, le chronographe ou la boussole. Presque dix millions de montres plus tard, cette avancée tactile – qui annonçait les prochaines smartwatches – s’offre le renfort de l’énergie solaire pour renforcer... CETTE SEMAINE,POUR UNE NOUVELLE SÉQUENCEATLANTIC-TAC EN TEXTE INTÉGRAL,IL FAUT CLIQUER SUR LE RÉACTEUR GAUCHEDE LA MUSICMACHINE 2 (ci-dessous)... D'AUTRES SÉQUENCES ATLANTIC-TAC...