ATLANTIC-TAC #125 (accès libre) : Quand la belle fille des étoiles double les heures, quand le bleu de cobalt décompte les secondes et quand le tigre sort du cadran...
Le 29 / 05 / 2015 à 15:28 Par Le sniper de Business Montres - 1306 mots
Mais aussi des jeux de lumière à l’italienne, l’aiguille qui peut afficher trois indications simultanées et une très grande envie de simplicité… L'actualité des montres comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte sans jamais oser le demander...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail des informations en liberté, un pure player de l'information, avec 6 millions de visiteurs uniques mensuels (données …
Mais aussi des jeux de lumière à l’italienne, l’aiguille qui peut afficher trois indications simultanées et une très grande envie de simplicité… L'actualité des montres comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte sans jamais oser le demander...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail des informations en liberté, un pure player de l'information, avec 6 millions de visiteurs uniques mensuels (données Google Analytics). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, pour parler des marques, des montres et de ceux qui les font. Cette semaine, au sommaire de ce 125e épisode d'Atlantic-tac (page en accès libre, résumé ci-dessous) : ►►► BVLGARI : Et la lumière fut… Lvcea – notez le U écrit en V, à la romaine – est le nom de la nouvelle arme secrète de Bvlgari pour (re)conquérir le cœur des femmes, sur tous les continents. Taille raisonnable (33 ou 36 mm), rondeur classique, design apaisé, index aux chiffres romains stylisés, éclat de l’or, lumière des pierres, idée géniale de la couronne de remontage en rubis de culture, couleurs italiennes du bracelet : en version sertie ou dans un registre plus sobre, de la ville au bureau, la Lvcea donne le ton d’une nouvelle génération de montres capables d’avouer sans provocation leur sensualité, tout comme elles... ►►► SPEAKE-MARIN : La belle fille des étoiles… Peter Speake-Marin est un des créateurs indépendants les plus intéressants à suivre. Britannique transplanté en Suisse par passion pour l’horlogerie mécanique, il y distille un goût très particulier pour des montres faussement traditionnelles qui savent décaler le regard par un détail insolite. Sa collection féminine, Shenandoah [un nom qui parlera à tous les nostalgiques de l’art de vivre sudiste], est inspiré par une rivière de Virginie dont le nom indien signifie « la belle fille des étoiles ». Quel plus joli nom de baptême imaginer pour ces montres aux formes très fluides, toutes en galbes, qui... ►►► SAINT HONORÉ : Le vrai chic masculin à la française… Cette maison purement tricolore – qui n’utilise des mouvements suisses que parce qu’on n’en trouve pas en France (d’où le Swiss Made du cadran) – a l’art de marier une certaine élégance « à la française » à un rigoureuse qualité horlogère « à la suisse ». Pour cet été, le nouveau chronographe Artcode (42 mm) s’habille en bleu de cobalt, avec une carrure en acier façon titane, des poussoirs de... ►►► ARNOLD & SON : Mettez un tigre dans votre cadran… Les horlogers suisses ne jurent plus que par les « métiers d’art », manie un peu bizarre qui consistent à faire appel à des artisans d’art (graveurs, émailleurs, lapidaires, miniaturistes, micro-sculpteurs) pour créer des effets décoratifs spectaculaires sur les cadrans. Du XVIIIe siècle à la fin du XIXe siècle, l’Europe a inondé la cour impériale chinoise de tels objets du temps. L’habitude s’était perdue, mais l’attrait du nouveau marché chinois attise les convoitises. La maison Arnold & Son, dont le nom s’inspire d’un célèbre horloger britannique du XVIIIe siècle, s’inscrit dans cette tradition pour sa montre TB Tiger. TB pour « True-Beat », ou « seconde morte », une... ►►► MEISTERSINGER : Une seule aiguille, sinon rien… Pourquoi se compliquer la vie avec deux aiguilles quand une seule peut faire le bonheur de ceux qui regardent passer le temps ? L’affichage mono-aiguille, c’est la spécialité de la maison allemande MeisterSinger, qui réussit l’exploit d’afficher les heures, les minutes et même la date d’un seul élan. Pour la date, c’est le disque des trente-et-un jours qui tourne pour afficher le quantième du mois en face d’un index rouge. Une montre un peu déroutante au... ►►► BAUME & MERCIER : Finalement, la simplicité a du bon… Après des années de concepts horlogers plus ébouriffants les uns que les autres, on se prend à céder à de nouvelles envies de simplicité. C’est là que Baume & Mercier nous attend au tournant, avec sa ligne Hampton, d’un sobriété parfaitement épurée de tout détail inutile : un boîtier rectangulaire pour le style, remarquablement mince pour se faire oublier au poignet, des chiffres presque fondus dans le décor et une simple date. Même le mouvement électronique pardonnera, en restant à la bonne heure, ceux qui... CETTE SEMAINE, POUR UNE SÉQUENCE ATLANTIC-TAC EN TEXTE INTÉGRAL, IL FAUT CLIQUER SUR L'AIGUILLE DES MINUTES (ci-dessous)... D'AUTRES SÉQUENCES ATLANTIC-TAC...