ATLANTIC-TAC #131 (accès libre) : Quand les Incas font sauter les heures, quand les Saxons châtonnent les rubis et quand le Cobra s’habille d’aluminium...
Le 10 / 07 / 2015 à 11:00 Par Le sniper de Business Montres - 1344 mots
Mais aussi l’insoutenable légèreté d’un été sans Briston, la médaille d’argent des petits Français qui font des secrets et le bleu comme nouvel arbitre de la carpo-élégance… C'est l'actualité des montres comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte sans jamais oser le demander...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail des informations en liberté, un pure player de l'information, avec 6 millions de visiteurs uniques mensuels (données …
Mais aussi l’insoutenable légèreté d’un été sans Briston, la médaille d’argent des petits Français qui font des secrets et le bleu comme nouvel arbitre de la carpo-élégance… C'est l'actualité des montres comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte sans jamais oser le demander...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail des informations en liberté, un pure player de l'information, avec 6 millions de visiteurs uniques mensuels (données Google Analytics). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, pour parler des marques, des montres et de ceux qui les font. Cette semaine, au sommaire de ce 131e épisode d'Atlantic-tac (page en accès libre, résumé ci-dessous) : ►►► ULYSSE NARDIN : De chiffres romains pour une montre de marine suisse… Quand on s’appelle Ulysse Nardin (nom d’un lointain ancêtre éponyme, qui vendait des chronomètres de bord à la marine du tsar de toutes les Russies), quoi de plus normal pour une manufacture suisse que de lancer des montres de voyageurs au long cours. Cette Classico reprend les codes graphiques épurés des montres de marine traditionnelles, mais en logeant sous le cadran un mouvement « manufacture » de nouvelle génération (ancre et échappement en silicium), développé en exclusivité par... ►►► BRISTON : Un été sans Briston, c’est une piscine sans eau… Dans la série des montres de l’été qui ne vous prendront pas la tête, mais qui vous feront relever la tête tellement on vous en complimentera, ne manquez pas la nouvelle série des Briston Sport, avec leur boîtier en acétate de cellulose (pour la légèreté et pour le style « coussin », décidément très classe), leur mouvement électronique (pour la fiabilité sans souci) et leur affichage non seulement des heures-minutes, mais aussi du jour et de... ►►► NOMOS : L’élégance subtile d’une manufacture saxonne… De quoi cette Nomos Lambda est-elle le nom, elle qui ne revendique qu’une identité lambda ? Elle symbolise à la fois la qualité du design horloger germanique (difficile de faire plus épuré dans la stylisation de l’affichage du temps) et la qualité des manufactures saxonnes de Glasshütte (la Watch Valley allemande, près de la frontière tchèque), où les montres sont parfois mieux finies qu’en Suisse, avec des mouvements « manufacture » moins industriels et mécaniquement plus subtils. On pourrait également convenir que cette Lambda, relancée... ►►► FRÉDÉRIC JOUVENOT : Sous le cruel soleil des Incas… Jeune horloger indépendant, Frédéric Jouvenot poursuit son rêve de « montre solaire » : une montre qui affiche l’heure grâce aux rayons du « soleil » de son cadran. À chaque changement d’heure, ce rayon « saute » et change de couleur, en passant de l’or au noir et du noir au rose selon que ces heures sont de jour ou de nuit. Les minute se lisent sur un disque en rotation au cœur du cadran, avec une pointe noire pour les indiquer. Frédéric Jouvenot multiplie ainsi les hommages aux grands cultes solaires de l’humanité : c’est sans doute la collection la plus originale et la plus culturellement héliocentrée... ►►► Xme COMPANY : Un message secret gravé sur la médaille d’argent… Dans la série de nouvelles « petites marques françaises », voici la Xe Company, abrégée en Xme, à prononcer « dixième ». Pas simple d’avoir un nom verbal aussi différent du nom écrit ! Pas de quoi inquiéter les animateurs de la marque, qui ont voulu créer des montres qui soient à la fois émotionnelles, féminines (mais pas que), colorées, personnalisables et très « françaises » – c’est-à-dire pétries de style français (cette French Touch que le monde semble nous envier) et « fabriquées » en France. Précision pour l’ancien ministre socialiste Montebourg, qui confond tout : « Fabriqué en France » signifie seulement que la montre a été terminée en France, l’ensemble de ses composants pouvant provenir d’ailleurs, d’Europe ou d’Asie. Donc, Xme, avec des montres assemblées en... ►►► FRANC VILA : Le Cobra hispano-suisse crache son venin mécanique… Savez-vous seulement ce qu’est le texalium ? Regardez bien le matériau rouge de cette montre : c’est de la fibre de carbone tissée, puis compressée et forgée, mais elle est enduite d’un composé en aluminium quasiment pur (épaisseur : un dix-millionième de mètre !) qui lui apporte brillance, résistance et esthétique métallisée dans des couleurs franches. Le créateur indépendant Franc Vila (Espagnol de naissance, mais Helvète d’adoption) a toujours aimé jouer avec... CETTE SEMAINE, POUR UNE SÉQUENCE ATLANTIC-TAC EN TEXTE INTÉGRAL, IL FAUT CLIQUER SUR LA TALISMA DE Xme (ci-dessous)... D'AUTRES SÉQUENCES ATLANTIC-TAC...