ATLANTIC-TAC #137 (accès libre) : Quand on manque de muscle pour tout remonter, quand passent les chars d’assaut et quand la petite bronzée fait des vagues...
Le 04 / 09 / 2015 à 03:07 Par Le sniper de Business Montres - 1291 mots
Mais aussi la fin de la « bulle horlogère » suisse, le coup de biseau néo-classique et la séduction problématique du carbure de tungstène… C'est l'actualité des montres dont vous avez toujours rêvé sans jamais oser demander qu'on vous la raconte...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail des informations en liberté, un pure player de l'information, avec 6 millions de visiteurs uniques mensuels (données Google Analytics). Une …
Mais aussi la fin de la « bulle horlogère » suisse, le coup de biseau néo-classique et la séduction problématique du carbure de tungstène… C'est l'actualité des montres dont vous avez toujours rêvé sans jamais oser demander qu'on vous la raconte...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail des informations en liberté, un pure player de l'information, avec 6 millions de visiteurs uniques mensuels (données Google Analytics). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, pour parler des marques, des montres et de ceux qui les font. Cette semaine, au sommaire de ce 137e épisode d'Atlantic-tac (page en accès libre, résumé ci-dessous) : ►►► HUBLOT : Que faire quand on a un million de dollars à gaspiller ? Imaginons – soyons fous – que vous ayez un million de dollars à flamber… Comme tout bon oligarque néo-milliardaire asiatique, vous veilleriez à vous offrir une de ces montres improbables, issue de quelque cerveau dément et sertie à outrance – si possible avec un détail qui surconnoterait l’ambition ostentatoire de ce fétiche statutaire. C’est là que vous tomberiez sur la nouvelle montre LaFerrari que la maison suisse Hublot a dédié à la marque italienne de bolides mécaniques. Cette MP-05 LaFerrari est facturée... ►►► HORLOGERIE SUISSE : Pour qui sonne le glas ? Installée dans une « bulle » gonflée par dix ans de croissance sur les marchés émergents, l’horlogerie suisse vient d’entrer dans une zone de turbulences qui voit son activité se contracter à des niveaux inquiétants : les exportations de montres ont chuté de 9,3 % en juillet, avec une décroissance moyenne de 1,2 % sur les douze derniers mois. Une telle baisse ne s’était pas produite depuis la crise financière de 2009. En soi, ce ne serait pas dramatique – sauf que les deux principaux moteurs... ►►► VICTORINOX : Mieux qu’un couteau suisse, une I.N.O.X. en acier ? La marque emblématique des couteaux suisses – les vrais, ceux qui sont réglementaires dans les régiments de la Confédération – propose également des montres travaillées dans le même esprit de robustesse et de fiabilité. Témoin, cette collection I.N.O.X. dont la simplicité apparente cache une résistance hors du commun : ces montres ne sont qualifiées (bracelets en acier compris) qu’à l’issue d’une série de 130 tests destructifs comme jamais aucune marque de montres n’avait osé en pratiquer. Exemples : dix mètres de chute sur une surface en béton ou pression au passage d’un char d’assaut de 64 tonnes. Cette I.N.O.X. en acier (43 mm), désormais... ►►► BREITLING : Le carbure de tungstène comme nouveau métal précieux féminin ? Trop de marques horlogères « machistes » oublient que l’autre moitié de l’humanité est composée de femmes, qui constituent donc un fabuleux gisement commercial. 9a, c’est la bonne intuition de départ. C’est après que ça se gâte : comme Breitling ne vend plus très bien ses Chronomat trentenaires, au design un peu ringard et pas encore assez vintage, autant les refiler à ces dames. 38 mm, c’était une taille masculine avant l’an 2000, mais c’est aujourd’hui une taille féminine. Le Chronomat 38 Sleek T affirme... ►►► JAQUET DROZ : La modernité sans agressivité, en deux coups de biseau ? Rien de plus (néo)classique que cette Grande Heure Minute Quantième de Jaquet Droz, qui abandonne un instant sa traditionnelle Grande Seconde décentrée pour replacer au centre toutes les aiguilles, qui reprennent les codes identitaires de la marque. Le boîtier a été légèrement redessiné : toujours en 43 mm, il a pris du muscle sans perdre sa couronne de remontage facettée, mais en sacrifiant au passage une partie de son élégance intemporelle. La touche de... ►►► EBEL : Le bronzage nostalgique d’une splendeur (dé)passée ? Peut-on être et avoir été ? C’est la question lancinante que se posent les marques qui ont été des fétiches générationnels – pour Ebel, c’était dans les années 1980 – avant de retomber ensuite dans une débine douloureuse et chaotique. Jamais remise du succès fulgurant de ses icônes désormais quasi quadragénaires, la maison Ebel se demande comment faire reporter aux filles les montres de leurs mères. Pas sûr que ce soit une bonne idée, même si cette Wave – un des meilleurs best-sellers horlogers des années Giscard-Mitterrand – en version Lady Bronze ne manque pas... CETTE SEMAINE, POUR UNE SÉQUENCE ATLANTIC-TAC EN TEXTE INTÉGRAL, IL FAUT CLIQUER SUR LA RÉSERVE DE MARCHE (ci-dessous)... D'AUTRES SÉQUENCES ATLANTIC-TAC...