> 


ATLANTIC-TAC #64 (accès libre) : La bulle Daytona qui fait s’envoler Belmondo, le cadran qui vient du fin fond des étoiles et la caravelle des conquistadors du temps

Et aussi le retour en selle d’Emile Péquignet, la soixante-huitarde au carré de Longines et le Panthéon des grands hommes mérité par M. Abraham Louis Breguet…   ◉◉◉◉  ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail d'informations horlogères en liberté (2,7 millions de visiteurs mensuels). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, pour parler des marques, des montres et de ceux qui les font. Cette …


Et aussi le retour en selle d’Emile Péquignet, la soixante-huitarde au carré de Longines et le Panthéon des grands hommes mérité par M. Abraham Louis Breguet… 

 
◉◉◉  ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail d'informations horlogères en liberté (2,7 millions de visiteurs mensuels). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, pour parler des marques, des montres et de ceux qui les font. Cette semaine, au sommaire de ce trente-cinquième épisode d'Atlantic-tac (résumé ci-dessous) :   
 
 
►►►  CORUM : Un cadran âgé de quatre milliards d’années… Pendant des siècles, les guerriers Namaquas des confines namibiens ont utilisé des fragments d’une météorite polymétallique – aujourd’hui rebaptisée Gibeon, du nom de la ville la plus proche de son impact, qui s’est produit il y a plusieurs millions d’années – pour se créer des pointes de flèches, des lances et des bijoux. L’âge de la météorite est lui-même estimé à quatre milliards d’années : c’est donc un symbole d’éternité – venu des confines de l’espace – que Corum...
 
►►► PÉQUIGNET : Quarante ans d’horlogerie « à la française »… En 1973, alors que s’amorçait la future crise du quartz, qui allait emporter et pratiquement renverser toute l’horlogerie européenne, et alors que les montres françaises agonisaient, un jeune Jurassien avait l’audace de créer sa propre marque, sous son propre nom (Émille Péquignet). En quelques années, elle allait conquérir le monde et redonner à l’horlogerie française ses lettres de noblesse, axées autour d’un certaine élégance dans le design et d’une « touche » française inspirée par la mode et l’air du temps. Grand cavalier lui-même, Emile Péquignet devait dédier aux beaux-arts de l’équitation une collection Equus qui prouvait les affinités entre les...
 
 
►►► LONGINES : L’élégance d’une tête de montre au carré… L’avantage des grandes marques, c’est qu’elles peuvent compenser leurs lacunes créatives pour la descente dans les rayons de leur musée : pour ne pas se tromper, rien ne vaut un coup d’œil dans le rétroviseur ! La nouvelle Heritage 1968 ne se cache d’ailleurs de son inspiration vintage, dans le goût d’un temps où le carré était chic, audacieux et parfois même avant-gardiste. La nouvelle « soixante-huitarde » de la manufacture suisse...
 
►►► ZENITH : « Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal »… Il n’est pas fréquent qu’on vous présente une montre par son verso, mais l’envers de la Christophe Colomb de Zenith mérite un regard approfondi. La manufacture a déployé différentes micro-techniques de décoration (émaillage, gravure, miniature) pour célébrer l’esprit d’une montre dédiée aux voyages. On reconnaît au revers, en plus de la « bulle » qui abrite le système de contrôle de la gravité (une sorte de gyroscope, comme dans les anciens chronomètres de marine), les caravelles de Christophe Colomb, lui-même nanosculpté, et toute une ambiance de gréements, d’embruns et de tropiques qui rappelle...
 
►►► ROLEX : La bulle Daytona commence à enfler très très fort… Pour comprendre ce que signifie le cliché du fameux « feu des enchères », il faut avoir vécu la vente de 50 Rolex Daytona organisée par Christie’s pour le cinquantième anniversaire de ce modèle iconique. Au marteau, Aurel Bacs, la star absolue des enchères de montres : il a réussi à tenir 120 minutes pour disperser ces cinquante lots, en adjugeant 100 000 CHF par minute (12 millions de francs suisses au total, soit 10 millions d’euros). Soit 240 000 francs suisses de prix moyen par lot (190 000 euros), à peu près dix fois de ce que vaut une Daytona de collection et vingt fois ce que vaut une Daytona neuve chez un concessionnaire Rolex. Le record a été battu par une référence 6263 de 1969 (ci-dessous), adjugée à plus d’un million de dollars (800 000 euros) à un amateur exotique. Une pluie de records du monde et des prix de « bulle », qui annonce...
 
►►► BREGUET : Et si on panthéonisait notre « grand horloger » ? Quand l’horlogerie française dominait le monde, entre le XVIIIe et le XIXe siècle, elle portait la marque Breguet et elle imposait le français dans tous les métiers de l’horlogerie. Il est resté quelque chose de cette splendeur passée. Atlantic-tac a raconté la semaine la légende noire de la montre de Milord L’Arsouille (image ci-dessous). Vendue 7 000 francs (français) à Lord Seymour en 1831, ce qui était une somme considérable pour l’époque, elle vient d’être revendue par Sotheby’s Genève un peu plus d’un million de francs suisses (833 000 euros). On retrouvera bientôt...
 
 
CETTE SEMAINE,
POUR UNE NOUVELLE SÉQUENCE
ATLANTIC-TAC EN TEXTE INTÉGRAL,
IL FAUT CLIQUER SUR LE SECOND FUSEAU DE LA CORUM (ci-dessous)...    
 
 
 
D'AUTRES SÉQUENCES ATLANTIC-TAC...
Partagez cet article :

Restez informé !

Inscrivez-vous gratuitement à notre newsletter et recevez nos dernières infos directement dans votre boite de réception ! Nous n'utiliserons pas vos données personnelles à des fins commerciales et vous pourrez vous désabonner n'importe quand d'un simple clic.

Newsletter