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BAROMONTRES MARS 2014 : Les tendances météo de l'horlogerie pour le premier mois d'un printemps qui se reprend à espérer

Les hommes, les marques et les faits de mars 2014, scannés en direct par les barorécepteurs du Quotidien des Montres. Un classement en vingt coups de projecteur sur les évolutions de la météo horlogère après un Baselworld commercialement peu mémorable, mais mentalement très fort... ◀▶ BAROMONTRES MARS 2014Un printemps de réarmement moral... ▶▶▶ Ah, cette fantastique ambiance des salons horlogers ! On ne parle que des sujets qui ne fâchent pas [donc, on ne parle pas des stocks, des smartwatches, du …


Les hommes, les marques et les faits de mars 2014, scannés en direct par les barorécepteurs du Quotidien des Montres. Un classement en vingt coups de projecteur sur les évolutions de la météo horlogère après un Baselworld commercialement peu mémorable, mais mentalement très fort...

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◀▶ BAROMONTRES MARS 2014
Un printemps de réarmement moral...
 Ah, cette fantastique ambiance des salons horlogers ! On ne parle que des sujets qui ne fâchent pas [donc, on ne parle pas des stocks, des smartwatches, du prix trop élevé des montres suisses, de l'avenir de la distribution, de la stigmatisation des montres de luxe, de l'insécurité, et on en oublie] pour ne parler que ce qui est supposé très bien : vous aurez cependant remarqué la discrétion des communiqués d'après Baselworld ! Pas un chiffre [hormis les 150 000 visiteurs, qui étaient déjà annoncés le jour de l'ouverture : extralucidité ?], seulement des sensations positives : de la qualité, plus de quantité ! La vérité, c'est que Baselworld a été plutôt médiocre, globalement, si on comparait 2014 aux trois années précédentes – même si certaines marques, généralement de petite taille, ont bien tiré leur épingle du jeu. La consolidation est évidente, mais elle ne peut qu'amorcer une décroissance entamée depuis le printemps dernier. La crise est là, tout le monde le sait et s'y prépare fébrilement, mais on préfère ne pas la voir : encore une minute de répit, Monsieur le bourreau !
 
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GRAND BEAU
(par ordre alphabétique et sans idée de classement)
 
1] JEAN-CHRISTOPHE BABIN (Bvlgari)
 On l'attendait au tournant de Baselworld : non seulement il avait pris la corde, mais, en plus, il affichait pour son premier Bâle sous pavillon Bvlgari une forme et des ambitions insolentes. Collections impeccablement remises en ordre et clarifiées, nouveautés fortes (deux des montres les plus plates du monde, sans renoncer à son boîtier Octo), mise en place d'un pilier féminin à prix accessible, manufacture de mouvements prête à monter en puissance : tout est prêt pour la renaissance dont Bvlgari rêve [et mérite] depuis des années...
 
2] NICOLAS BEAU (Chanel)
 Sa nouvelle J12-365 (pour les jours du calendrier comme pour la taille : 36,5 mm) est la réussite qui devenait nécessaire pour donner un second souffle à l'icône qui porte les espoirs de l'horlogerie Chanel. Tout est juste dans cette montre, le produit, le prix, mais aussi la campagne de communication numérique, qui consonne intelligemment avec la nouvelle campagne publicitaire de Chanel, sur le thème créatif de L'Instant Chanel...
 
3] BRUNO BELAMICH (Bell & Ross)
 On lui doit la plus belle Harley-Davidson de la décennie, celle dont rêvent tous les amoureux de la marque – et il y a de très nombreux amateurs de montres parmi eux. Le designer star et co-fondateur de Bell & Boss en a profité pour créer une nouvelle série de montres B-Rocket, mais il a aussi lancé, en parallèle, une magnifique montre de poignet inspirée par une montre de poche qui aurait pu être celle des équipes de l'escadrille des Cigognes, avec le portrait gravé de Guynemer au dos de la montre. Bref, san rien céder sur les codes de la marque, il en a approfondi le territoire naturel (la vitesse, le ciel, la guerre, les moteurs) pour nous faire rêver toujours plus loin...
 
4] CHRISTOPHE CLARET (Christophe Claret)
 Et si c'était lui l'horloger de l'année ? On ne le savait pas romantique au point de dédier aux femmes amoureuses la seule montre dont elles avaient toujours rêvé sans jamais oser la demander à l'élu de leur coeur : une Margot pour effeuiller la marguerite. Il m'aime, un peu, beaucoup ! Voici le temps des mécaniques amoureuses et des complications botaniques. Dans le domaine purement mécanique, Christophe Claret semble avoir réussi là tout le monde avait échoué, en logeant un échappement à détente sécurisé – donc défragilisé – dans une montre-bracelet : si sa Maestoso tient ses promesses et si son échappement à force constante [disons, pour être précis, à remontoir d'égalité] tient le coup au porter, l'horlogerie mécanique aura fait un grand pas en avant...
 
5] XAVIER DIETLIN (Dietlin)
 Le magicien des vitrines a encore frappé très fort à Baselworld, en réussissant à miniaturiser un dispositif de motion mapping adapté aux vitrines horlogères : le registre des animations par ce procédé est infinie. Il va enfin se passer quelque chose de fort dans les vitrines horlogères, en termes de projection de motifs, de formes, de sujets ou d'animations. Business Montres avait déjà fait de lui le... vitriniste le plus doué de sa génération ! C'est peut-être le plus doué de toute l'histoire du commerce des montres ! C'est en tout cas un créatif multi-supports auquel pas une nouvelle technologie n'échappe dès qu'il pressent qu'il peut les mettre au service des émotions que sait créer l'horlogerie...
 
6] GROUPE FOSSIL (Swiss Made)
 Très décrié par les conservateurs de la mécanique horlogère romande, le groupe texan Fossil poursuit son petit bonhomme de chemin vers le Swiss Made intégral [composants, mouvements et habillages Made in Switzerland : on parle ici des pièces, pas de la valeur !]. On n'en est pas encore tout-à-fait là, mais les premiers mouvements sont disponibles : on a les a vus à Baselword dans des montres Fossil, Burberry ou Armani. La fabrique Fossil de Glovelier (Jura) a déjà ouvert ses premiers ateliers : à terme, ce sera aussi moderne, sur le plan industriel, que les usines dernier cri de Rolex et on découvrira que les tricheurs du Swiss Made – ceux qui se contentent d'assembler en Suisse des composants asiatiques dans des boîtiers asiatiques – sont précisément ceux qui en parlent le plus et qui le pratiquement le moins...
 
7] JEAN-PIERRE LUTGEN (Ice Group)
 Libéré de ses démêlés juridiques avec le Swatch Group [apparemment, il est désormais libre de ses mouvements et de l'utilisation du nom Ice-Watch], Jean-Pierre Lutgen accélère de façon spectaculaire : il a recadré sa distribution en Europe et il s'est allié au réseau Chalhoub pour conquérir le Proche-Orient, son offensive sur le marché chinois (où il n'avait pas pu déposer sa marque, bloquée par le Swatch Group) ne saurait tarder, il a également acquis la marque Patton et il a lancé à Baselworld, dans son nouveau stand du Hall 1, une collection Ice Swiss qui prélude certainement à un repositionnement marketing de son offre. 5 millions de montres en 2014 ?
 
8] EDOUARD MEYLAN (H. Moser & Cie)
 On attend le nouveau CEO de H. Moser & Cie au pied du mur, à Baselworld, pour la première collection depuis la reprise de la marque par le groupe familial MELB (famille Meylan). On n'a pas été déçus, avec une industrialisation totalement repensée dans une logique de production, une remise à plat des collections, rebaptisées et affûtées, sinon restylées avec beaucoup de minutie dans les détails, un branding digne de ce nom (nouvelle campagne de communication) et une perspective enfin tracée pour une marque qui tâtonnait depuis dix ans en perdant des montagnes d'argent. Sur le créneau des montres néo-classiques de nouvelle génération, H. Moser & Cie vient de reprendre la tête, en mettant plusieurs longueurs dans la vue de ses concurrents...
 
9] LUC PERRAMOND (La Montre Hermès)
 Même si l'horlogerie Hermès ne représente pas encore une part très significative des activités de la maison, les propositions présentées à Baselworld se distinguaient par leur adéquation profonde aux valeurs Hermès, qu'on parle ici des métiers traditionnels de la décoration horlogère (gravure, émaillage innovant, etc.) ou de la mécanique, avec cette impertinente Heure masquée, qui se permet d'effacer l'aiguille des heures pour nous la rendre, à la demande, dans deux fuseaux horaires. La requalification de l'offre Hermès est évidente depuis plusieurs saisons : Luc Perramond, qui conduit les opérations, a décidé de prendre son temps pour redonner au temps Hermès ses vraies couleurs...
 
10] MICHEL PITTELOUD (Graff)
 Pour son premier passage à Baselworld, où il ne venait jusqu'ici que dans une suite du Ramada, Michel Pitteloud a frappé très fort. Un nouveau stand, magnifiquement décoré, qui était le vrai événement architectural du salon. Une collection de montres d'une profondeur et d'une consistance incroyable, dans les sertissages comme dans les complications, avec plusieurs world premieres – ce qui n'était pas forcément le cas de son tourbillon ultra-plat, battu in extremis par Bvlgari. Une collection de haute joaillerie d'une qualité exceptionnelle [les prix l'étaient aussi : rien à moins de 100 000 CHF], avec des pierres probablement uniques qu'on ne reverra jamais en vitrine. Bref, une offre joaillière et mécanique qui a éclipsé celle d'Harry Winston, dont c'était habituellement le pré carré à Bâle. 
 
11] ROLEX (Fondation Wilsdorf)
 Il n'y aura pas de meilleur démenti à ceux qui taxent Rolex d'immobilisme que ce millésime 2014. Si elle reprend un nom emblématique dans la maison à la couronne, la nouvelle collection Cellini est une vraie série de nouveautés, avec des montres superbement dessinées qui renouent sans peine avec l'ancienne tradition des montres habillées [c'était une anticipation pré-Baselworld de Business Montres, seul média à avoir analysé ce relancement des Cellini]. Autre preuve que Rolex bouge, mais à son rythme : le premier dîner presse organisé pendant Baselworld pour 130 journalistes venus du monde entier. Si elle a retrouvé un peu de mobilité, la Grande Muette n'a cependant pas renoncé à toutes ses habitudes d'omerta. Ce sera peut-être pour Baselworld 2015...
 
12] VINCENT PERRIARD (HYT)
▶▶▶ Une nouvelle boutique sur le quai du Mont-Blanc, à Genève, une nouvelle collection qui joue avec les fluides colorés de son concept hydro-mécanique, une logistique enfin mûre pour assurer la production mensuelle de cinquante à soixante pièces, un carnet de commandes confortable, un marketing qui adore la provocation, mais qui privilégie les opérations directes sur le terrain : Vincent Perriard aborde la seconde séquence du parcours de HYT avec une enthousiasmante confiance. Son actionnaire semble comprendre et jouer le jeu, ses clients aussi. Pas belle, la vie ?
 
13] PETER SPEAKE-MARIN (Speake-Marin)
 Pour l'édition 2014 de Baselworld, il a quitté la réserve d'Indiens des indépendants (le Palace) pour rejoindre le premier étage du Hall 1, un peu à l'ombre des plus grandes marques mais néanmoins parmi elles : Peter Speake-Marin témoigne ainsi de sa volonté de se poser en marque, et non plus en créateur, et en maison plus qu'en atelier créatif. Ses collections ont été repensées et repositionnées. Son offre reste alternative, mais néanmoins classique, qu'on parle de montres simples, de pièces décorées ou de complications. Il a désormais tout pour réussir, mais c'est le marché qui arbitrera...
 
14] CÔME DE VALBRAY (Valbray)
 Son concept de montre à diaphragme et sa passion pour la photographie ont convaincu la  maison Leica de lui commander une centaine pour fêter le centième anniversaire de la plus légendaire marque internationale d'appareils photos. Leica, c'est la Rolls-Royce de l'argentique. Valbray, c'est encore le Petit Chose du luxe horloger. Leica + Valbray : l'association était inattendue, mais le parrainage idéal pour Côme de Valbray, qui voit ainsi légitimer tous ses efforts pour créer une marque à la frontière de l'horlogerie et de la photographie. 
 
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VARIABLE
(par ordre alphabétique et sans idée de classement)
 
15] NICK HAYEK (Swatch Group)
 S'il faut se féliciter de sa spectaculaire habileté financière et de son art de pousser ses marques les plus profitables en avant (Business Montres du 20 mars), en éliminant tout sur son passage, on ne peut cependant que s'inquiéter des perspectives d'un Swatch Group désormais de plus exposé internationalement [la majorité de son personnel n'est plus en Suisse], du niveau plus qu'alarmant de ses stocks et de son absence de pertinence stratégique, tant sur le terrain-clé de la joaillerie [à Baselworld, Harry Winston n'a convaincu personne] et sur celui des montres connectées, dont le danger a été trop longtemps nié par la direction d'un groupe pris à revers par le dégonflement sans doute définitif de la bulle chinoise qui dopait ses résultats. L'avenir n'est pas forcément rose...
 
16] INSÉCURITÉ HORLOGÈRE (personnes et boutiques)
 On peut estimer trop alarmistes les interventions de Business Montres sur le thème de l'insécurité galopante qui menace à la fois les boutiques et les poignets de leurs clients. On se fait braquer et dépouiller en plein Paris comme dans beaucoup d'autres villes, pour une montre en or ou une pièce de haute horlogerie vite revendues sur des marchés exotiques pas trop regardants. La police fait ce qu'elle peut, mais, au-delà de cette question de sécurité, c'est tout le statut des montres de luxe qui est remis en cause : pourquoi acheterait-on des montres qu'on ne pourrait plus porter sans risquer des agressions violentes ?
 
17] MONTRES DE COLLECTION (John Mayer vs Bob Maron)
 Deux Américains (l'un collectionneur, l'autre vendeur spécialisé) qui se disputent sur l'authenticité d'une série de Rolex vendues par l'un à l'autre, et il n'en faut pas plus pour que les amateurs doutent. D'autant que les deux protagonistes baignent dans les paillettes d'Hollywood et du show-biz, l'un comme vedette [c'est aussi une des personnalités du jury du F-grand Prix d'Horlogerie de Genève], l'autre comme fournisseur et conseil en montres de quelques stars du cinéma américain. Un parfum de scandale qui éclabousse toute l'écosphère des amateurs de montres de collection, soudain frappés par la crainte que leurs trésors ne soient pas aussi authentiques qu'ils le pensaient – et c'est trop souvent vrai...
 
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AVIS DE TEMPÊTE
(par ordre alphabétique et sans idée de classement)
 
18] ANTONIO CALCE (Corum)
 Son départ était une des rumeurs les plus insistantes de Baselworld, mais il aura su faire bonne figure jusqu'au bout en dépit du fossé qui n'a cessé de se creuser avec son actionnaire de China Haidian : question d'approche culturelle de l'entreprise et question de sensibilité à l'image d'une marque qui aura absorbé toutes ses forces, et au-delà, depuis un peu moins de dix ans. Son bilan est on ne peut plus honorable, mais à l'impossible nul n'est tenu. Si Antonio Calce n'y est pas arrivé, qui pourra le faire pour Corum ?
 
19] HARRY WINSTON (Swatch Group)
 Le roi du diamant est-il toujours sur son trône ? On attendait beaucoup de cette première édition de Baselworld passée au sein de Swatch Group City, mais le feu d'artifice promis a fait pschitt : pas d'Opus 14, et il n'y aura sans doute d'autres Opus dans l'avenir, pas de nouvelle collection consistante, ni en horlogerie, ni en joaillerie, des tensions internes très palpables, une nervosité inaccoutumée côté Swatch Group, où l'apprentissage du métier de grand joailler n'est apparemment un long fleuve tranquille...
 
20] GROUPE RICHEMONT (censure YouTube)
 Lancée sournoisement (sans avertissement, ni contact préalable) et désamorcée honteusement (on a vaguement incriminé un excès de zèle juridique), la tentative de censure de notre canal images Business Montres Vision a échoué piteusement (Business Montres du 22 mars). Prétexte : une obscure querelle sur des droits d'auteur, alors que les vidéos diffusées étaient proposées dans les dossiers de presse de Piaget. À la veille de Baselworld, l'initiative de Richemont était vicieuse. Nous n'étions que les premiers de la liste des médias indépendants à rectifier d'urgence [c'est la rançon de la notoriété]. À qui le tour, la prochaine fois ? Si la tentative est minable, la volonté des marques de reprendre en main le contrôle intégral de leur communication est évidente : plus de contenus textes ou images incontrôlés, seuls les sites officiels feront référence ! Ce qui met toute l'écosphère horlogère en danger et ce qui est totalement contraire au respect du droit à l'information et à l'indépendance éditoriale...
 
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••• RAPPEL (année 2013-2014) •••
 
••• Le précédent Baromontres février 2014 de Business Montres (2 mars 2014) :
GRAND BEAU • Jacob Arabov • Pierre Bouissou • Bernard Favre • Eric Giroud • Thomas Prescher • Alessandro Savelli • Cyrus Zeinal-Zade • Business Montres Vision •
VARIABLE • Nick Hayek •
AVIS DE TEMPÊTE • Movado (MGI) • 
 
••• Le précédent Baromontres janvier 2014 de Business Montres (4 février 2014) :
LÉGENDES DU TEMPS • Raymond Weil • 
GRAND BEAU • Yvan Arpa • Jean-Claude Biver • Nicolas Bos • Christophe Claret • Thierry Fritsch • Jean-Pierre Lutgen • Bruno Grande • Richard Watkins •
VARIABLE • SIHH • 
AVIS DE TEMPÊTE • Métiers d'art • 
 
••• Le précédent Baromontres décembre 2013 de Business Montres (7 janvier 2014) :
LÉGENDES DU TEMPS • Dominique Tadion • 
GRAND BEAU • Alexandre David • BFMTV • Philippe Leopold-Metzger • Jean-Marc Pontroué • Karl-Friedrich Scheufele • 
VARIABLE • Antonio Calce • Hanhart • 
AVIS DE TEMPÊTE • Année du cheval • 
 
••• Le précédent Baromontres novembre 2013 de Business Montres (30 novembre 2013) :
GRAND BEAU • Aurel Bacs • Chanel •  Gouten & Guten • Grand Prix d'Horlogerie de Genève • Osvaldo Patrizzi •
VARIABLE • Louis Vuitton • Touristes chinois •
AVIS DE TEMPÊTE • Cuir humain • Nick Hayek • Stop Piracy •
 
••• Le précédent Baromontres octobre 2013 de Business Montres (12 novembre 2013) :
GRAND BEAU • Bruno Belamich • L. Leroy • Laurent Katz • Edouard Meylan • 
VARIABLE • Comco • François-Paul Journe • Precious Time • Richard Mille • 
AVIS DE TEMPÊTE • Antiquorum • Christies • 
 
••• Le précédent Baromontres septembre 2013 de Business Montres (1er octobre 2013) :
LÉGENDES DU TEMPS • Dominique Loiseau • 
GRAND BEAU • Maximilien Büsser • Philippe Dufour • Manuel Emch • Xavier Gauderlot • Stéphane Linder • 
VARIABLE • Patrick Jaton • Jean-François Ruchonnet • Samsung Galaxy Gear •
AVIS DE TEMPÊTE • Only Watch • 
 
••• Le précédent Baromontres juillet-août 2013 de Business Montres (1er septembre 2013) :
GRAND BEAU • Calendrier écossais • Felix Baumgartner et Martin Frei (Urwerk) • Ferdinand Berthoud • Louis Cottier • Rock'N'Horl • Victorinox • 
VARIABLE • A. Manzoni & Fils (Oliver Ike)  • Jacques-Philippe Auriol (TechnoMarine) • Créateurs indépendants • Laurent Ferrier (Sylvère Demonsais) • Livraisons de mouvements • Milliardaires chinois • Zhang Yuping (Hengdeli) • 
AVIS DE TEMPÊTE • Genève, berceau de la haute horlogerie • Sécurité des détaillants • Jacques Séguéla • Shopping touristique • Smartwatch • 
 
••• Le précédent Baromontres juin 2013 de Business Montres (3 juillet 2013) :
GRAND BEAU • Marc Alfieri (Rotary International) • Antonio Calce (Corum) • Jacques von Polier & Davi Henderson-Stewart (Raketa) • Richard Mille (Richard Mille) • André & Anthony Saunier (AJS) • Vartan Sirmakes (Franck Muller) •
VARIABLE • Alain Faust (Belles Montres) • COSC (Suisse- • 
AVIS DE TEMPÊTE • Nouvelle ligne de masse (Chine- • Samaritaine Paris (LVMH) •
 
••• Le précédent Baromontres mai 2013 de Business Montres (1er juin 2013) :
GRAND BEAU • Aurel Bacs (Christie's) • Business Montres Vision • Grand Prix d'Horlogerie de Genève • Vianney Halter (Vianney Halter) • Nayla Hayek (Swatch Group) • Jérôme Lambert (Jaeger-LeCoultre) • Stéphane Linder (TAG Heuer) •
VARIABLE • Bucherer Paris • Sotheby's •
AVIS DE TEMPÊTE • Comco (Commission suisse de la concurrence) •
 
••• Le précédent Baromontres avril 2013 de Business Montres (3 mai 2013) :
GRAND BEAU • Jacob Arabov (Jacob & Co) • Xavier Dietlin (Dietlin) • Nick Hayek (Swatch Group) • Louis de Meckenheim (Boucheron) • Sylvie Ritter (Baselworld) • Guy Sémon (TAG Heuer) • 
VARIABLE • Antonio Calce (Corum) • Jan Edöcs (Hanhart) • Laurent Katz (Péquignet) •
AVIS DE TEMPÊTE • Smartwatch (industrie suisse) •
 
••• Le précédent Baromontres mars 2013 de Business Montres (6 avril 2013) :
GRAND BEAU • Baselworld • Business Montres Vision • Mathias Buttet (Hublot) • Vincent Perriard (HYT) • Pierre Salanitro (Salanitro) • Jean-Marie Schaller (Louis Moinet) • Michele Sofisti (Gucci-Sowind) • 
VARIABLE • Montblanc • Sotheby's •  
AVIS DE TEMPÊTE • Swiss Timing (Swatch Group) •
 
••• Le précédent Baromontres février 2013 de Business Montres (5 mars 2013) :
GRAND BEAU • Jean-Christophe Babin (TAG Heuer) • Manuel Emch (RJ-Romain Jerome) • Alain Mouawad (groupe Mouawad) • Philippe Mougenot (Chanel) • Gérald Roden (groupe Festina) •
VARIABLE • Les montres suisses interdites à la télé chinoise • Genève, capitale de l'horlogerie mondiale • Karl Lagerfeld (styliste) • 
AVIS DE TEMPÊTE • iWatch (Apple) • Lausannetec •
 
 
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