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FORMULA E
Beaucoup d’horlogers se sont penchés sur le berceau de ce premier Grand Prix automobile couru au cœur de Paris sur des bolides électriques…

HYT Watches en embuscade ? Normal, pour des pros de l’« ambush marketing » – cette maladie infantile des jeunes marques indépendantes. Richard Mille en vedette sur les voitures de l’écurie Renault ? Logique, pour une marque franco-suisse qui s’affiche depuis des années sur tous les circuits de la planète. TAG Heuer comme partenaire officiel de ce circuit (championnat du monde de Formule E, avec un E comme Electricité) ? Inévitable, alors que la marque opère un virage massif vers la connexion et les nouvelles technologies. D’autres parrainages horlogers, aussi ponctuels que personnels (pilotes ambassadeurs) et opportunistes ? Sans parler du tout-Paris horloger, qui avait tenu à se montrer dans le « village » de ce Paris ePrix, alors que Zenith bouclait en France son Tour Auto ? Parfaitement explicable, puisque Paris vaut bien une messe mécanique : ce week-end glacial de printemps était décidément une fête de l’automobile…


Axiome inlassablement répété : la voiture électrique, c’est le futur ! Inutile de discuter l’intérêt très relatif d’une démonstration de vitesse (200 km/h autour des Invalides, ce n’est pas banal) qui vide les batteries à une telle vitesse qu’il faut changer de …
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