PICTOCHRONIQUES #245
« Il n'y a ni bon, ni mauvais usage de la liberté d'expression : il n'en existe qu'un usage insuffisant »
Pour mieux résister » à la morosité terminale de ce premier trimestre 2025, voici le 245e épisode de nos pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, penseur et philosophe belge Raoul Vaneigem (né en 1934) pour la citation de son « Rien n’est sacré, tout peut se dire » (2003) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
