LE SNIPER DU LUNDI
Combien de CEO horlogers devront-ils se faire alpaguer par les douanes européennes pour qu'on dénonce ce mauvais coup porté aux montres suisses ?
Décidément, si personne n'en veut vraiment aux montres suisses, tout le monde les considère comme une variable d'ajustement très commode et facile à sacrifier au nom d'intérêts supérieurs. C'est ce qui se passe avec cette sombre histoire de nouvelle réglementation européenne. On attend avec impatience les réactions officielles de la FH suisse : qu’en pense notre « édredon exterminateur » ?