PICTOCHRONIQUES #252
« On compare parfois la cruauté de l’homme à celle des fauves : c’est faire injure à ces derniers »
Pour bien entamer ce second trimestre 2025, voici le 252e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain russe Fiodor Dostoïevski (1821-1881) pour la citation de ses « Frères Karamazov » (1879) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et à la sociologie de la communauté des montres ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
