LE SNIPER DU MARDI
Expulsée de sa zone de confort, l’industrie des montres peine à retrouver le moral, alors que c’est maintenant qu’on devrait passer aux choses sérieuses…
L’emphysème créatif des uns se conjugue à la cataracte stratégique des autres : plus ou moins virée des poignets par une adversité jamais anticipée (par déni de réalité), l’horlogerie suisse perd pied alors qu’elle n’a jamais eu autant de chances de faire entendre l’originalité de sa polyphonie créative. C’est peut-être l’hiver sur les marchés, mais c’est déjà l’amorce du printemps dans les coulisses…