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PICTOCHRONIQUES #258
« Là où finit le ciel, je veux partir, pour décrocher le soleil avant de mourir »

Pour bien profiter de ce printemps horloger 2025, voici le 258e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci aux fameux et bien oubliés interprètes français Les Compagnons de la chanson pour la citation de leur « Là ou finit le ciel » (1963, musique de Jean-Pierre Calvet et paroles d' Eddy Marna) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…


Nous avons entamé le second trimestre …
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