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PICTOCHRONIQUES #88
« On a peine à haïr ce qu'on a bien aimé / Et le feu mal éteint est bientôt rallumé »

88e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’immense dramaturge français Pierre Corneille (1606-1684) pour la citation de sa tragédie « Sertorius » (1662, Acte I, scène 3) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…


Nous voici à l'aube de 2024. Pour …
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