PICTOCHRONIQUES #192
« Les hommes se lassent d'aimer, mais ne se lassent pas de se haïr »
192e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et qui décodent le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme... Merci au grand écrivain, pamphlétaire et moraliste français Antoine de Rivarol (1753-1801) pour la citation de ses « Pensées inérdites » (1836) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…