PICTOCHRONIQUES #204
« Ils nous font point tant ch... qu’on les emm... »
En ce jour de solstice d’hiver, 204e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à la rugueuse et lumineuse sagesse populaire pour la maxime définitive (à prononcer avec un accent du terroir) qui compose le titre de cette pictochronique, en exprimant une sorte de détachement stoïcien face à un ordre des choses déplaisant. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…