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RALPH LAUREN
La fin du premier chapitre s’ouvre sur une nouvelle page et sur de nouveaux horizons horlogers

Née à l’orée de la crise de 2008, la joint-venture entre les montres Ralph Lauren et le groupe Richemont aura duré dix ans. Un divorce à l’amiable et sans drame met fin à cette vie commune, mais l’aventure aura coûté une bonne grosse centaine de millions. C’est parti pour un second chapitre, avec une approche beaucoup plus réaliste du marché – et surtout beaucoup moins dépendante de la machine et de la culture Richemont…


Johann Rupert (l’actionnaire de Richemont) et Ralph Lauren (le fondateur de la marque) continuent à bien s’aimer, mais la joint-venture qu’ils avaient signée voici dix ans venant à expirer, ils ont estimé préférable de repenser la stratégie horlogère qui leur avait permis d'utiliser un « véhicule commun » …
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