POST LUXE, TENEBRAS...
La vraie question centrale, c’est celle de notre rapport à l’argent (hier, aujourd’hui et demain) !
Ceux qui ont créé le problème ne sont jamais – jamais ! – ceux qui peuvent trouver la solution. Par facilité autant que par arrogance, l’horlogerie suisse a trop dérivé côté fric pour ne pas être punie par là où elle a trop péché. Post luxe, tenebras... Après le fric frac, il faut donc se reposer autrement la question du rapport des montres à l’argent et repenser de façon alternative le devenir créatif de l’industrie des objets du temps. Après la bulle, c’est au ras du terrain, dans l’exubérance imaginative de ses discrets ateliers et dans l’enthousiasme de ses amoureux qu’elle retrouvera son âme en même temps qu’un nouveau destin…