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« Le sport national suisse, c’est la chasse au pigeon chinois »
« Qui veut vraiment d’un patron chinois ? » : apparemment, pas grand-monde en Suisse. Dans l’émission « Mon patron est chinois » sur la RTS suisse, Grégory Pons (Business Montres) répond aux questions des enquêteurs de l’émission Temps présent.
••• À PROPOS DE L’AFFAIRE CORUM
L’intervention de Business Montres (vidéo ci-dessous) commence à la minute 15:33. On vous raconte l’affaire du rachat de Corum par CityChamp comme si vous y étiez. « Il n’y a pas un seul – un seul ! ‑ exemple de réussite d’un investisseur chinois dans l’horlogerie suisse : ils n’ont pas le bon logiciel économique dans la tête ». Confirmation avec les tribulations de Technotime et d’Isa Swiss : « Leur management est imprévisible »…
La défense des Chinois par Davide Traxler (ex-CEO de Corum) est d’autant plus pathétique qu’il a lui-même été, depuis l’enregistrement de cette émission, proprement viré par les actionnaires chinois de Corum dont il prenait la défense en incriminant le « racisme » et la « xénophobie » latente des Suisses – lesquels sont ridiculement qualifiés par lui de « visages pâles » ! Comme quoi, il suffit parfois de s’asseoir au bord de la rivière et d’y pêcher à la ligne pour voir passer, un jour ou l’autre, ses anciens contradicteurs : 他笑得最好谁笑到最后。(1)
(1) « Rira bien qui rira le dernier » (chinois simplifié)