MÉDIACHRONIQUES
Les « journalistes » horlogers sont-ils des « lobbyistes » comme les autres ?
Il y a quelque chose de pourri dans les médias – sociaux ou traditionnels – du paysage horloger : les lecteurs ont fui et les followers sont faux, tandis que les robots achetés en supermarché « likent » à la place des humains. Au secours, la communication horlogère devient folle. Pire, elle est profondément malhonnête et viciée : vivement, le grand dégagement ! Faudra-t-il demain « outer » les journalistes indélicats ?