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PICTOCHRONIQUES #221
« Il n'y a pas de limites à l'humour qui est au service de la liberté d'expression. Là où l'humour s'arrête, bien souvent, la place est laissée à la censure ou à l'autocensure »

Pour mieux accompagner la rentrée de janvier 2025, 221e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand dessinateur et caricaturiste assassiné français Cabu (1938-2015) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique (citation tirée d’une de ses interviews à « L’Express », en 2012). C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…


Nous abordons 2025 sans vraie joie …
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