LE SNIPER DU LUNDI
L’industrie horlogère aurait bien besoin d’une cellule d’assistance psychologique
Derrière les cloches de Pâques, les azymes de Pessah ou les lièvres d’Ostara, une même espérance dans le retour de la fertilité et de l’abondance. Pour l’industrie des montres, ce printemps est peut-être aussi celui d’une prospérité rêvée à défaut d’être vraiment retrouvée : on voudrait seulement savoir si nous avons tout fait – créativement, commercialement, médiatiquement – pour mériter un tel retour à un nouvel âge et si nous avons bien appris de nos fautes passées. Pas sûr…