PICTOCHRONIQUES #65
« Ce qui s’offre à nous dans la lumière de l’étoile, ce qui s’offre à nous, saisis-le comme monde dans ton regard, ne le prends pas à la légère »
Soixante-cinquième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand poète Rainer Maria Rilke (1875-1926) pour la citation de ses « Poèmes épars » (2015) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…