LUNDI (accès libre) : Le sniper a détecté quelques signaux faibles du côté de la « repatriation » chinoise et fredonné un hymne à la joie en mode Allegra...
Le 28 / 04 / 2014 à 08:28 Par Le sniper de Business Montres - 5225 mots
Allegra, c'est la fille de Fawaz Gruosi et c'est le nom d'une des collections de bijoux lancées voici dix ans par De Grisogono. Allegra, c'est désormais une collection de montres qui exprime une vraie joie de vivre, contenue dans le nom. Un bouquet de couleurs nécessaire par ces temps de morosité horlogère...
▶▶▶ ces jours-ci, LE SNIPER A...
Allegra, c'est la fille de Fawaz Gruosi et c'est le nom d'une des collections de bijoux lancées voici dix ans par De Grisogono. Allegra, c'est désormais une collection de montres qui exprime une vraie joie de vivre, contenue dans le nom. Un bouquet de couleurs nécessaire par ces temps de morosité horlogère...
▶▶▶ ces jours-ci, LE SNIPER A... ▶▶▶ NOTÉ QUELQUES IN–10–CRÉTIONSà la volée, en bref, en vrac et en toute liberté... ◉◉◉◉ CHAISES MUSICALES (1) : chez Audemars Piguet, le poste de directeur industriel est un métier à risques, surtout depuis le départ – volontaire – de Bruno Moutarlier, qui n'avait pas vraiment été remplacé [il opère aujourd'hui chez Dubois-Dépraz], même par son successeur, Pascal Narbeburu. Lequel vient de sauter sans plus de ménagements que d'habitude, alors que les problèmes de SAV restent on ne peut plus lancinants, au point de ralentir aujourd'hui la croissance de la manufacture et de peser sur son avenir... ◉◉◉◉ CHAISES MUSICALES (2) : départ surprise (apparemment non consensuel) d'Antonio Martinez, le patron de Festina France, qui était pourtant un des plus anciens compagnons de route de Miguel Rodriguez, le fondateur du groupe Festina (Espagne). Pas d'explication officielle, mais quelques troubles dans le réseau français de la marque, d'autant qu'il se murmure à Barcelone que le « ménage » pourrait continuer dans la filiale française de l'empire Rodriguez [la France pèse à peu près 25 % des ventes globales du groupe]... ◉◉◉◉ DE GRISOGONO : depuis dix ans, la collection Allegra exprime l'impertinence d'une joaillerie qui ne se prend pas au sérieux dans l'univers De Grisogono. Fawaz Gruosi l'avait ainsi baptisée du nom de sa fille, Allegra (ci-contre, avec son père), qui a grandi entretemps et qui arrive à l'âge des premières belles montres – qui ne sont pas forcément des montres qui se prennent au sérieux. D'où l'ambiance décontractée de cette ligne, qui mêle très allègrement les couleurs (celles des pierres, des cadrans et des bracelets en cuir) et les formes (le carré sculpté des deux boîtiers qu'on dirait superposés, la fluidité des liens du bracelet), tout en se posant à l'orée des autres collections horlogères de la marque – ce qui en fait quasiment un « premier prix » pour une manufacture de haute joaillerie soucieuse de se faire remarquer pour une nouvelle génération de clientes. Cette montre est effectivement un Hymne à la joie beethovenien joué en mode allegro pour célébrer l'esprit toujours jeune d'une horlogerie qui accroche des montres au poignet des femmes depuis cinq siècles (c'est au moins avéré pour une reine d'Angleterre) : c'est la joie des premiers âges de la maturité lancés à la rencontre du temps qui passe. On y discerne les rêves d'un père, on y lit les passions d'un vie de créateur joaillier à la poursuite des lumières du monde et on y retrouve la nostalgie d'un temps – pas si éloigné, disons les années vingt, trente ou quarante – où les montres de femmes étaient des bijoux qu'on portait attachés au poignet par des cordonnets de soie. « Quand l’heure n’est plus indispensable, mais qu’il faut toujours prendre la précaution d’en saisir les pulsations incessantes, la montre peut se faire bijou : elle parlera du temps qui passe autant des minutes écoulées », nous répétait encore Fawz Gruosi à Baselworld, où cette nouvelle collection Allegra s'est imposée auprès du réseau des boutiques De Grisogono aussi bien que chez les détaillants multi-marques de la maison. Dédiée à une nouvelle génération de femmes qui osent les formes et les éclats, ce mariage de l'or, du cuir et des pierres précieuses est une des plus belles réussites horlogères de ce début d'année sur le segment des montres féminines... ◉◉◉◉ GRAND PRIX D'HORLOGERIE DE GENÈVE : en plus de tous les nouveaux prix qui peuvent drainer vers le Grand Theâtre de Genève de nouveaux participants (révélations non officielles et non autorisées : Business Montres du 15 avril), le jury du GPHG – qui reste présidé par Aurel Bacs (ex-M. Montres chez Christie's) – devrait lui-même s'adjoindre de nouveaux talents, tant du côté des journalistes que des « professionnels ». Le « Little Bouddha » japonais Takeshi Matsuyama a ainsi expliqué à ses proches qu'il serait de la partie, tout comme le journaliste chinois Zhixiang Ding (Chronos) et le blogueur expert américain William Rohr (TimeZone). Du côté des professionnels, l'expérience du jury s'appuiera sur deux « petits nouveaux » qui sont de vrais poids lourds : Abdul Hamied Sediqqi (Dubail) et René Beyer (Zurich). On parle également de Michael Tay (Singapour). Pour couronner le tout et rendre cette assemblée encore plus consistante, Philippe Dufour – « le » Philippe Dufour de la vallée de Joux, « trésor vivant » de l'horlogerie suisse – a fait savoir qu'il acceptait d'en être la conscience morale : reste à savoir s'il aura déontologiquement le droit de voter pour des montres Greubel Forsey, dont il est devenu une des références à travers le projet « Naissance d'une montre »... ◉◉◉◉ MADE IN CHINA : comme on l'a souvent annoncé ici, la stigmatisation publique de la passion chinoise pour les montres de luxe européenne s'accompagne d'une discrète revalorisation du luxe « Made in China ». Témoin, la médiatisation un peu forcée de la vente de la première Drapeau rouge L5, cette grosse berline de super-luxe (ci-contre) qui était le cocon préféré des dignitaires communistes de la grande époque et qui désormais relancée par Hongqi (usine chinoise éponyme : « Drapeau rouge »). Prix de vente : 800 000 dollars, le prix local d'une Ferrari. Élément de langage dominant de cette médiatisation : le « Made in China » ne fait plus peur aux élites locales et n'est plus synonyme de qualité médiocre. C'est un signal faible : impossible de considérer que cette vague de « China Pride » n'ait pas de conséquences sur le marché de la montre. D'autant que le recours massif – sinon abusif – aux fameux « métiers d'art » risque de prendre les horlogers suisses à contrepied : il y a tout de même cinq millénaires [et non cinq siècles !] que les artisans chinois travaillent les produits de luxe, la porcelaine [36 millions de dollars pour un petit bol en porcelaine de l'époque Ming, vendu chez Sotheby's], la soie, la laque, les perles, les métaux précieux, l'émail, etc– y compris les beaux-arts du temps si on se souvient ici de Su Song, au XIe siècle. À ce petit jeu de l'artisanat artistique et de l'identité culturelle, les Suisses risquent vite d'être perdants. Une marque de joaillerie comme Qeelin (groupe Kering : vidéo en bas de la page) prouve amplement à quel point le « Designed in China » a de l'avenir : un autre signal faible, qui a déjà son nom de tendance – c'est la repatriation... ◉◉◉◉ HUBLOT : les vaches sont déjà parties pour le Brésil ! Pas les vraies, seulement les fameuses vaches de la Cow Parade aux couleurs de la marque, soigneusement emballées dans les deux containers Hublot qui ont pris le bateau pour arriver dans les temps, à la mi-juin. Le vin suivra, puisque Hublot a décidé de devenir, pendant tout le Mondial de football brésilien, l'ambassade officieuse de la qualité suisse : on dégustera à l'hôtel Orla, face à la plage de Copacabana, quelques-uns des meilleurs vins vaudois et des fromages d'alpage chers à Jean-Claude Biver [normal, ce sont les siens !]. Une application minutieuse du fameux « Think local, act global ». L'hôtel de 140 chambres (redécorées par Hublot) a été totalement privatisé pendant toute la durée de l'événement et Hublot y attend 950 invités, venus du monde entier pour des soirées qui s'annoncent torrides sur la terrasse qui domine la plage. Dans les containers, on trouve aussi les fameux panneaux d'affichage des temps additionnels qui, brandis par les arbitres, permettent à la marque suisse d'émerger pendant quelques dizaines de secondes à chaque match : sachant qu'on attend une audience cumulée de 25 à 30 milliards de spectateurs dans le monde, faites le calcul. Et cela n'a pas suffi à Ricardo Guadalupe, le CEO de la marque : alors que d'autres marques de montres sont venues jouer les parasites sur son terrain brésilien, il se prépare à une « prise de guerre » qui remettra les pendules (brasilo-suisses) à l'heure ! Celle de Nyon... ◉◉◉◉ UN PEU DE TOUT SUR PRESQUE RIEN : la place Vendôme, à Paris, comme vitrine du luxe et des vols à main armée (AFP) – on pourrait même ajouter comme terrain de jeux préféré des moissonneurs de poignets venus des confins carpathiques... ◉◉◉◉ Dans la série des sites horlogers hyper-fréquentés (Business Montres du 25 avril), ne pas négliger l'annonce de l'éditeur de presse horlogère Alain Carrier, qui revendique pas moins de 250 000 fans pour sa page The Watches Magazine, ce qui en fait, de son propre aveu, « la page la plus fréquentée du monde ». Alain Carrier nous précise que c'est le fruit d'un travail incessant de huit mois. Bigre... [rappelons à tous les lecteurs qui seraient tentés de battre de tels records du monde en moins de huit mois que le paquet de 100 000 fans capables de liker une page se négocie actuellement autour de 1 100 dollars le lot]... ◉◉◉◉ L'exposition internationale de Chicago en 1893 : pas vraiment d'actualité, mais toujours utile à se remémorer alors que l'horlogerie suisse se trouve un peu dans la même situation face aux défis lancés par l'émergence de nouveaux concurrents internationaux (image ci-contre : Forumamontres). Le parallèle historique est saisissant... ◉◉◉◉ Dans la série des marques et des montres qui se lancent en souscription, un contre-exemple absolu : celui de la Time Machine en promotion sur Indiegogo pour lancer une « James Bond Watch ». 5 000 dollars espérés, mais pas un cent de récolté après quatre semaines, c'est assez rare. Il faut dire qu'on a rarement vu d'explications plus vaseuses à propos d'un concept qui va à créer une montre dont le cadran reproduirait, à la demande, tous les cadrans de toutes les icônes de l'horlogerie passée, présente et à venir. Il y a de l'idée dans ce projet, mais il y a loin de l'idée à la montre (vidéo ci-dessous)... ◉◉◉◉ Le salami Louis Vuitton, le café moulu Cartier ou le yaourt Tiffany & Co : ce n'est pas encore pour aujourd'hui, mais peut-être pour demain ! C'est en tout cas une anticipation roborative du designer californien Peddy Mergui, qui s'est amusé à imaginer ce que pourraient être les emballages de ces déclinaisons alimentaires pour différentes marques de luxe. Est-ce vraiment plus ridicule que les associations d'horlogers avec des footballeurs, des rappeurs ou des pétro-oligarques ? ◉◉◉◉ Où sont passées les secondes des horloges dans les gares suisses ? Un amusant article, bourré d'informations, à découvrir sur Swissinfo : « Ouvrir une horloge de gare se révèle surprenant : elle est presque entièrement vide. Des boîtiers de la taille d’un walkman sont fixés sur les parois intérieures des deux cadrans. C’est là que l’électronique est placée, tout comme le mécanisme, pas plus grand qu’une montre ordinaire. Une série de petites lampes LED fournit l’éclairage nécessaire. “Ne pas régler les aiguilles. L’horloge se règle automatiquement“, peut-on lire sur une mise en garde à l’intérieur de l’horloge. “Le signal adressé aux horloges de gare équipées de façon électronique se règle automatiquement“, explique Reto Reist, CEO de Moser-Baer, à Sumiswald, dans l’Emmental bernois. C’est ici que toutes les horloges des gares suisses sont fabriquées, depuis plus de 70 ans »... ◉◉◉◉ MUSIQUE : bon nombre de marques ont des problèmes pour choisir des musiques d'accompagnement adaptées à leurs vidéos sur des chaînes comme YouTube. Une solution horlogère originale est proposée par un horloger compositeur, pianiste et mélomane, Fabrizio Cavalca, par ailleurs concertiste [c'est lui qui avait lancé les montres Steinway & Sons, en hommage aux célèbres pianos]. Il dispose d'un certain nombre de compositions particulièrement adaptées à un contexte horloger, puisque le tempo est calé sur le rythme des secondes (60 battement par minute). C'est aussi à lui qu'on doit une montre « intelligente » comme la Wish Watch – la montre qui peut vous rendre millionnaire puisqu'elle vous propose autant de numéros gagnants à l'Euromillion que vous avez d'énergie pour lancer et relancer sa puce à génération aléatoire de chiffres...
◉◉◉◉ LES QUESTIONS QU'ON PEUT SE POSER (même si on n'a pas la réponse) : c'est quand même un peu bizarre qu'il n'y ait aucun projet japonais de smartwatch parmi les centaines de concepts en préparation. Pourquoi ? Soit les Japonais, toujours très friands d'innovations, sont très malins et ils préparent une méga-riposte. Soit ils sont créativement fatigués et ils n'y croient pas ou ils n'osent pas... ◉◉◉◉ Au fait, où en est-on pour le successeur de Jean-Frédéric Dufour à la direction de la manufacture Zenith ? Réponse probable cette semaine, à moins que le jeudi 1er mai – férié en France et généralement suivi d'un « pont » du vendredi chez LVMH – ne retarde la signature du contrat et l'annonce de l'heureux élu, débauché sans ménagement chez un concurrent... ◉◉◉◉ Y a-t-il des « ambassadeurs » horlogers un tant soit peu conséquents ? Pas sûr, et surtout par les footballeurs ! En attendant le prochain lapin que Hublot nous sortira ces jours-ci de son chapeau, on remarque le recrutement de Cristiano Ronaldo, héros du football portugais qui a mangé dans à peu près tous les rateliers horlogers, grands et petits : on atteint des sommets de ridicule quand la presse locale (Arcinfo) nous présente ce partenariat avec TAG Heuer – déjà annoncé à Baselworld – comme un scoop « en primeur », mais en illustrant avec une image du même Ronaldo avec Franck Muller (ci-contre) ! ◉◉◉◉ À propos de football, le Brésil est-il vraiment l'eldorado horloger qu'on nous dit ? Pas sûr, quand on découvre les statistiques d'exportation : la Suisse y a exporté pour 50 millions de francs de montres en 2013, contre 58,3 millions en 2008, un chiffre qui avait doublé depuis 2003. Explication : le niveau hallucinant des taxes sur les montres de luxe, à tel point que le vrai marché horloger brésilien est à... Miami (Etats-Unis), ville où il s'exporte annuellement à peu près trois fois plus de montres suisses que sur tout le marché brésilien [c'est le vrai thermomètre de la passion des Brésiliens pour les belles montres]... ◉◉◉◉ Que se passe-t-il avec Louis Vuitton à Hong Kong et à Macao ? Jusqu'ici, la marque servait de « produit d'appel » pour attirer les autres marques de luxe dans les nouveaux malls commerciaux. Ce qui permet à Louis Vuitton de bénéficier de conditions exceptionnelles pour ouvrir des boutiques sans bourse délier. Le problème est que la déconsidération de la marque auprès des publics chinois pousse les landlords locaux à ne plus offrir à Louis Vuitton ces conditions privilégiées : après tout, Chanel et Hermès vendent plus au mètre carré que Louis Vuitton, marque à laquelle on n'a donc plus à faire de cadeaux. Lousi Vuitton vient ainsi de se faire sortir par Steve Wynn de son nouveau projet du Wynn Cotai... ◉◉◉◉ Faut-il croire à l'avenir des technologies nomades et à leur impact sur l'industrie du luxe ? Luca Solca et Alexander Peterc viennent de se pencher sur la question, avec un livre vert Exane qui démontre que ce marché, toujours instable et immature, peut reformater tout le luxe contemporain, à commencer par l'horlogerie avec les smartwatches... ▶▶▶ COMPILÉ RAPIDEMENTune séance de rattrapage pour ceux qui n'auraient paseu le temps de tout lire la semaine dernière... ◉◉◉◉ CHAISES MUSICALES : la création du nouveau pôle Montres & Joaillerie du groupe Kering (François-Henri Pinault) et sa responsabilité confiée à Albert Bensoussan, c'était une exclusivité Business Montres du 24 avril (avant même l'annonce officielle par le groupe Kering)... ◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC : « Pourquoi les laves du volcan islandais ne sont pas encore refroidies et comment se harnachent les preux chevaliers du temps qui passe », une chronique horlogère de l'actualité comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte sans jamais oser le demander, avec Precista, RJ-Romain Jerome, Laurent Ferrier, Dior, Urwerk et Hublot (accès libre : Business Montres du 25 avril)... ◉◉◉◉ VENDREDI : les chaises musicales du jour (Karsten Frässdorf, Laurent Lecamp, Ruben Mira Blanco) ; le premier anniversaire de Bucherer Paris (ex-Old England) avec un bilan en forme de bide intégral et un déficit annuel qu'on peut estimer entre deux et trois millions d'euros par mois ; le droit de réponse de Thierry Castagna (La Cote des montres) à tous les sites qui se flattent d'audiences mirifiques et la publication d'un document de référence (trafficestimate) sur les « vraies audiences » – un classement où Business Montres est en bonne position, même si nous doutons par principe de la réalité de ces chiffres (tableau ci-dessous) ; l'éternel retour de Pasquale Gangi ; l'élégance parfaite des montres féminines et fleuries de Graff ; les généraux indonésiens qui n'assument pas leurs montres de luxe ; les petits Français qui cartonnent en souscription : le partenariat qui reste ouvert avec la voiture la plus chère du monde et tout le reste (Business Montres du 25 avril)... ◉◉◉◉ JEUDI : la ville de Caracas qui n'est toujours pas à la bonne heure sur la Doxa GMT ; la nouvelle Tempograph 20 secondes de Louis Moinet ; les caleçons à fraises selon Smoothie ; le décodage des statistiques d'exportations horlogères (comment la trouille des Japonais et les mouvements Swiss Made exportés vers Kong Kong permettent de sauver la face) ; la pré-segmentation du marché des nouveaux objets de poignet connectés et tout le reste (Business Montres du 24 avril)... ◉◉◉◉ MERCREDI : la nouvelle Urwerk UR-105, plus simple, plus lisible, mais aussi plus subtile dans sa volonté de rester accessible ; les nouvelles hypothèses sur les deux ou même trois iWatch préparées par Apple ; les nouvelles couleurs de la Sea hawk de Girard-Perregaux ; les tendances de mode avec Smoothie ; des micro-sculptures méchaniques ; le photographe qui n'a peur ni des poils sur les bras, ni des varices sur les jambes et tout le reste (Business Montres du 23 avril)... ◉◉◉◉ À DÉCOUVRIR : les sept montres de la semaine (un par jour, quand on aime, on ne compte pas), dans tous les styles et à tous les prix, avec, par ordre d'apparition à l'écran, Eterna, Ice-Watch, Jaeger-LeCoultre, Lacoste, Louis Moinet et Victorinox (Business Montres du 25 avril)... ◉◉◉◉ BUSINESS MONTRES VISION (accès libre) : de nombreuses vidéos mises en ligne sur le premier canal images du web horloger francophone. Notamment : Omega et la légende de l'astronautique lunaire (22 avril), l'aventure des montres L.Leroy (version anglaise, version française), la Masterpiece Gravity de Maurice Lacroix (22 avril), le rêve californien de Juicy Couture, l'hyper-technologie connectée de Casio (23 avril), une amusante publicité vintage de Casio, le nouveau tourbillon One 1 de Gangi (25 avril), le style et l'élégance au poignet selon Tudor, le dauphin qui prouve l'étanchéité de cette Timex vintage, une histoire rapide des montres Titan, aux Indes (25 avril), le mystère des pendules mystérieuses de Cartier, les montres de femmes lancées par les femmes des Partisanes (25 avril), le passage des heures et des minutes sur les disques d'une 4 N (François Quentin), La Trotteuse & Compagnie comme nouvelle marque française, etc – sans oublier nos playlists (Le sexe qui fait – ou non – vendres des montres, une anthologie des vieille pubs horlogères, etc.)... D'AUTRES SÉQUENCES RÉCENTESDE L'ACTUALITÉ DES MONTRES ET DES MARQUES...