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LUNDI (accès libre) : Le Sniper en quête de nouvelles émotions horlogères à trois semaines de Baselworld

Parmi les questions les plus urgentes à se poser, celle du prix délirant de la plupart des concept watches et celle du refus des marques de prendre le moindre risque esthétique. Alors qu'il n'y a qu'un seul défi à relever : celui de la créativité accessible. Cessons de rêver en cinq ou six chiffres : l'avenir se joue entre 1 000 et 5 000 euros/dollars/CHF – ne chipotons pas...  ▶


Parmi les questions les plus urgentes à se poser, celle du prix délirant de la plupart des concept watches et celle du refus des marques de prendre le moindre risque esthétique. Alors qu'il n'y a qu'un seul défi à relever : celui de la créativité accessible. Cessons de rêver en cinq ou six chiffres : l'avenir se joue entre 1 000 et 5 000 euros/dollars/CHF – ne chipotons pas...

 
 ces jours-ci,
LE SNIPER A...  
 
 
 NOTÉ QUELQUES IN–10–CRÉTIONS
à la volée, en bref, en vrac et en toute liberté... 
 
◉◉ THE CHINESE TIMEKEEPER : cette jeune marque – qu'on retrouvera en fin de mois au Palace de Baselworld – entend jeter un pont entre les beaux-arts de la montre « à la suisse » et les codes culturels des oeuvres d'art « à la chinoise ». La maison CTK (Chinese Timekeeper) s'est donc placée sous le signe emblématique de Su Song, le grand savant et horloger chinois, dont on n'a jamais pu refaire ni égaler la tour astronomique [un monument de l'histoire horlogère, avec des complications astronomiques mues par une clepsydre : ci-dessus] : c'est sa silhouette qui sert de logo à la marque et de décoration au cadran d'une de ses plus spectaculaires nouveautés de l'année – la Diamond Sky Map, destinée au public féminin. Aiguilles chinoises, cadran bleu outremer profond, index en diamants posés comme des étoiles, quatre diamants sur la lunette posés sur une bague bleuie, douze silhouettes pour les heures, sans autre marquage que le nom de TCT en chinois et en caractères latins sur le réhaut, mouvement automatique chinois (Hangzhou Watch Company) et boîtier de 38 mm en acier. Le prix est très bien orienté : à peine plus de 3 200 CHF, moins de 3 000 euros ! Elles ont de la chance, les petites Chinoises : bien des Européennes adoreraient cette montre...
 
 
◉◉ BASELWORLD : une visite guidée de toutes les halles, étage par étage, avec un plan pour repérer les différents espaces des marques. Une thermographie argumentée présente les endroits les plus chauds – ou les plus froids – qu'il ne faudrait pas manquer (première partie : Business Montres du 3 mars)...
 
◉◉ BACKES & STRAUSS : extraordinaire proposition joaillière que cette Royal Jester (« le bouffon du roi ») proposée par la plus ancienne maison diamantaire du monde (Londres, 1789). Le Royal Jester, c'est ici la pierre placée au centre de la montre, en relief (jamais moins d'un carat, toujours de la plus grande pureté et de la plus éclatante couleur) : chaque client peut la choisir (diamant jaune, rose, blanc ou bleu). Cette pierre centrale est toujours taillée en « Backes & Strauss Ideal Cut », dont les facettes en coeurs et en flèches vivifient la lumière. Autour, c'est 80 diamants baguette pour le cadran (serti invisible) et 40 autres baguette pour le boîtier. On lit les heures et les minutes sur des disques qui semblent flotter dans l'espace (c'est le classique affichage « mystérieux » à la suisse, avec un mouvement mécanique comme il se doit)...
 
 
◉◉ COUP DE POKER : excellent éditorial de Pierre Maillard dans Europa Star, à propos de « L'horlogerie suisse au risque du poker ». Il faudrait pouvoir le citer intégralement... Meilleures citations : « Quelles sont les montres qui ont marqué les esprits à Genève au cours de la semaine du SIHH ? Spontanément, les “observateurs“ citent le planétarium de poignet mis au point par Van Cleef & Arpels, la montre Poker de Christophe Claret, le QP à Equation du temps de Greubel Forsey, les Heures Virevoltantes de Richard Mille, la TerraLuna de A. Lange & Söhne ou encore la DB28 de De Bethune… Autant de montres assez extraordinaires, il est vrai, superbes pour certaines, mais dont la meilleur marché avoisine les 100 000 CHF (hors taxes). Cette spirale ascendante ne semble pas avoir de fin au risque de faire un jour sauter la banque. Les journalistes du monde entier rendent compte avec extase de ces exploits mécaniques dignes de figurer dans des musées. Mais ils en oublient que l’essentiel du “bread and butter“ de l’industrie horlogère n’est pas là. Ces pièces occupent en fait un espace médiatique qui ne correspond pas à leur importance réelle dans l’économie quotidienne de l’horlogerie mondiale. (...) Il ne faut pas oublier que, parmi les quelques 1,2 milliard de montres produites par an, ces über-montres ne représentent qu’une infime poignée d’exemplaires. (...) À force de concentrer l’essentiel du battage médiatique autour d’elles, le risque existe d’un décrochage entre ce haut du panier hyper-exclusif, et tout le reste, dès lors déconsidéré. Et dans tout ce “reste“, il y a foule de réalisations dignes du plus haut intérêt. Prenons l’exemple du Quantième Perpétuel. Jusqu’à présent, le Quantième Perpétuel était confiné dans cette élite des garde-temps et il fallait au minimum allonger plusieurs dizaines de milliers de francs ou d’euros pour acquérir un exemplaire de cette complication. (...) Sous la houlette de Jérôme Lambert, Montblanc vient de sortir un QP à 10 000 euros. (...) “Ils vont tuer le QP“, s’affolaient certains, soucieux pour leurs propres poules aux œufs d’or. Mais n’est-ce pas là le but ultime de tout développement technologique : parvenir à progressivement “démocratiser“ les technologies, les “partager“, comme le dit Montblanc ? N’est-ce pas là quelque chose d’essentiel si la Haute Horlogerie tient à ne pas vivre seulement en vase clos, aussi somptueux soit-il, et à ne pas “décrocher“ de l’opinion générale. Car, en dehors des milieux directement concernés, la remarque la plus couramment entendue auprès des gens “normaux“, de la majorité silencieuse, (...) était : “Ils sont fous, ces prix sont déments, écœurants“. On peut en sourire, s’en moquer mais ne serait-ce pas une forme d’avertissement. Et si, un jour, à force d’excès, ces consommateurs lambda s’en détournaient… Par exemple pour s’acheter une “smartwatch“ ? Adieu alors, le “bread and butter“ »...
 
◉◉ MARVIN : la tradition des montres de plongée chez Marvin est attestée depuis le début des années trente, à un âge héroïque où les marques suisses essayaient à peu tout ce qu'elles pouvaient pour trouver « la » solution aux problèmes de l'étanchéité des montres. Le double boîtier (ci-dessous) était une des pistes pour y parvenir (à la même époque, Omega lancera sa première Marine sur ce concept). Alors que la marque se prépare à lancer la première « plongeuse » de ses nouvelles collections (Business Montres du 26 février, avec une nouvelle image le 28 février), ce petit rappel historique recadre notre perception de la légitimité d'une telle proposition. À découvrir à Baselworld, dans l'Ile au trésor de Cécile Maye (Business Montres du 3 mars), à un coup de palme du Hall 4...
 
 
◉◉ JEANRICHARD : après le grand coup de bleu des collections Girard-Perregaux (), il était logique que la marque-soeur réclame aussi sa part d'azur. C'est chose faite avec la 1681 (mouvement manufacture, style néo-classique), qui s'offre un cadran de belle nuance, avec bracelet assorti. Plutôt réussi...
 
 
◉◉ ROLEX : jeu habituel des rumeurs d'avant Baselworld, avec la reprise des « intuitions » qui n'étaient pas les bonnes en 2013. La Submariner « Pepsi Cola » à lunette en céramique – pardon, Cerachrom – bleu et rouge est de retour : pourquoi pas, mais encore faudrait-il que Rolex maîtrise l'industrialisation de cette céramique bicolore dont le brevet lui appartient ? On parle également beaucoup d'une nouvelle Daytona, qui ne serait pas une Daytona, mais un chronographe  de la même classe : pourquoi pas, ce serait même une bonne occasion de lancer ce chronographe Le Mans que Business Montres appelle de ses voeux depuis des année et qui manque dans la collection Rolex – quelque chose dans le style vintage des premières Daytona « Paul Newman » ? Et pourquoi pas une nouvelle entrée de gamme, avec une petite soeur des regrettées Air King, dans le goût « My First Rolex » : de quoi permettre à Rolex de recoller à la demande – insolvable pour cause de crise économique – d'une nouvelle génération aspirationnelle, comme celle qui est visée par le chronométrage officiel de la F1 et qui n'a pas les moyens de s'offrir une Daytona en platine...
 
◉◉ SPEAKE-MARIN : une trouvaille sur la page officielle Instagram de Pierce Brosnan (ex-agent 007), qui semble au mieux avec l'horloger britto-helvétique Peter Speake-Marin. Explication : dans son prochain film, Survivor, qui doit sortir l'année prochaine, le comédien interprète un horloger. Il a pris le plus british des jeunes créateurs suisses comme modèle (on découvre d'autres images de Pierce Brosnan en horloger sur cette page Instagram)...
 
 
◉◉ LA ROUE DU TEMPS : le plus grand sablier du monde met un an à se vider ! C'est la Roue du temps, édifié en 2004 à Budapest (Hongrie), sur une idée de Janos Herner, avec un design d'Istan Janaky. Elle pèse 60 tonnes et mesure 8 m de diamètre (ci-dessous). Le sable y est remplacé par des granulés de verre. Quand il faut retourner la Roue du temps, au bout d'une année [cela se fait en général le 31 décembre], il faut 45 minutes à 4 personnes pour opérer ce demi-tour... 
 
 
◉◉ DROIT DE RÉ>PONS #3 : « L'électronique peut-elle revenir par la grande porte dans l'horlogerie suisse ? ». La question de l'absurde tabou anti-quartz décrété par l'ancienne génération est posée. Il se pourrait même que ce tabou – déjà brisé par Urwerk ou par François-Paul Journe – vive ses dernières heures de tranquillité : retrouver une marge de manoeuvre créative dans l'électronique est aujourd'hui une question de survie pour les marques indépendantes – d'autant qu'il y a beaucoup d'innovations qui se profilent dans le domaine du quartz...
 
  
 
 
 VÉRIFIÉ QUE JEAN-CLAUDE BIVER
était un fidèle lecteur de Business Montres...
◉◉◉◉ Dans un entretien à PME Magazine (Suisse), le patron des montres LVMH confirme une information publiée par Business Montres (30 déceembre 2013) à propos des futures iWatch Apple qui seraient pour partie produites en Suisse (ci-contre). C'est un blogueur qui vient de le découvrir et la communauté Apple s'en émeut en y voyant, pour le possible lancement de cette iWatch, la confirmation d'une « rumeur » qui n'est pas plus une « rumeur » [sauf pour la presse bien-pensante] de la liaison du président François Hollande avec la comédienne Julie Gayet. Donc, il semble bien qu'il y aura quelque chose qui ressemble à une montre qui est en cours de production en Suisse à la demande d'Apple (ci-dessous). Ce qui est intéressant, ce n'est donc pas cette reprise/confirmation par Jean-Claude Biver de nos révélations, mais ce qu'il y ajoute personnellement : la négociation avortée avec Apple concernant le Magic Gold. La justification « morale » du refus de Hublot tient peut-être plus à la difficulté d'usiner ce Magic Gold [dont la production reste infinitésimale dans l'offre Apple] qu'à la vertueuse indignation du patron d'Hublot. Ce commentaire de Jean-Claude Biver confirme deux choses. D'abord, Apple a bien tenté de s'entendre avec les Suisses à propos de son iWatch, mais les envoyés de Cupertino se sont faits éconduire tant à Bienne [Business Montres l'avait raconté] qu'à Nyon et dans d'autres places suisses : l'histoire dira si c'était une bonne stratégie pour l'horlogerie classique. D'autre part, il devient clair qu'Apple songe à un positionnement luxe pour son iWatch – ou du moins (c'était une de nos hypothèses) qu'il y aura au moins une version luxe (très horlogère) de la possible iWatch. Qu'en pensent tous ceux qui considèrent que les smartwatches ne représentent pas le moindre danger pour la Suisse horlogère ?
 
 
 
 REGARDÉ DE PLUS PRÈS
le quantième perpétuel par lequel le scandale arrive...
◉◉◉◉ Pour le prix et le positionnement marketing de ce quantième perpétuel, on pourra se reporter à l'éditorial de Pierre Maillard que nous reprenons dans nos « In–10-crétions » ci-dessus : 10 000  euros en acier (16 900  euros pour la version en or ci-dessous), c'est effectivement tentant et on comprend que cette montre rende malade – de rage, de jalousie ou de dépit – les concurrents directs ou indirects de Montblanc. Si l'exécution est impeccable (finitions très soignées du cadran) et l'outil parfait pour la reconquête de marchés horlogers qui ont toujours un peu boudé Montblanc, on regrettera cependant le choix du calibre de base sur lequel on a choisi d'ajouter cette « planche » (module) de quantième perpétuel : même avec un boîtier de taille classique (39 mm), l'affichage est beaucoup trop concentré au coeur du cadran. Il semble étriqué dans un boîtier trop grand où il « flotte » en dégageant des espaces qui affaiblissent l'impact visuel des compteurs par ailleurs très harmonieux. Sans doute fallait-il recycler des stocks de mouvements automatiques d'ancienne génération, mais c'est dommage. On retiendra malgré tout l'excellence de cette proposition, qui prend en compte le fait que les montres suisses sont devenues beaucoup très chères et qu'elles sortent insensiblement du marché [surtout maintenant que les Chinois les boudent]. On aura également noté que l'esthétique Montblanc – un peu lourde et pâteuse, rarement élégante – est singulièrement rafraîchie, allégée et élancée par ce nouveau boîtier Meisterstück Heritage... 
 
 
 
 DÉTECTÉ UN PETIT SECRET
dans le tourbillon sans aiguilles d'Haldimann...
◉◉◉◉ Il suffit de se poser la question : d'accord, c'est un tourbillon central [ce qui est déjà une performance] et c'est même le premier tourbillon central à répétition minutes (révélation Business Montres du 21 février, avec une suite le 26 février ). D'accord, il n'a pas d'aiguille – mais Beat Haldimann nous a déjà fait le coup. Alors, qu'on nous explique à quoi sert une répétition minutes si on ne peut pas mettre la montre à l'heure puisqu'elle n'a pas d'aiguilles (cette H3 a un mouvement à remontage manuel) ! D'où le secret : au dos de la montre, on trouve un petit cadran auxiliaire qui sert à caler la répétition minutes sur la bonne heure quand on a remonté la montre. Le concept d'expérience acoustique de l'heure cher à Beat Haldimann est intégralement préservé : l'oeil se repose de la lecture des aiguilles, qui ne parasitent plus la perception du temps, mais le cerveau entend battre les heures et les minutes. Peut-être même qu'il fait plus que de l'entendre battre, mais ça, c'est un autre petit secret de cette montre qui cache si bien son jeu. À suivre...
 
 
 
 SALUÉ LE RECENTRAGE
(pour ne pas dire le virage) néo-classique de Gucci...
◉◉◉◉ Le tout, c'est de rester dans la tendance ! Gucci ne perd pas une miette du retour au classique et restyle sa collection G-Timeless Slim en encore plus mince, encore plus fin et encore plus horloger (petite seconde à 6 h) dans le style traditionnel du Swiss Made. Le cadran « tapisserie » (qualifié ici de « diamant ») dégage un élégant espace pour les minutes et les index ont été allongés pour gagner en finesse et en expressivité. Un beau travail de design pour un boîtier de 40 mm équipé d'un mouvement automatique dont le rotor reprend le motif du cadran. On est loin de l'accessoire de mode...
 
 
 
 CHERCHÉ L'ERREUR
de codage génétique entre ces deux montres...
◉◉ À droite, c'est la RJ-Romain Jerome Skylab sortie à la fin de l'année dernière (Business Montres du 14 décembre 2013). À gauche, c'est une... Non, non, on vous le dira à Baselworld, où vous pourrez la découvrir ! En cherchant bien, on distingue le logo. D'ici là, on vous laisse découvrir la ressemblance génétique de l'habillage (les griffes) aussi bien que de la mécanique squelettée (vertical dans un sens, horizontal dans l'autre : kolossal finesse !). Même papa ou même maman ? Ils ont dû se tromper à la maternité...
 
 
 
 COMPILÉ RAPIDEMENT
une séance de rattrapage pour ceux
qui étaient en vacances la semaine dernière...
 
◉◉◉◉ BAROMONTRES FÉVRIER 2014 : publication de notre bulletin météo mensuel (Business Montres du 2 mars), avec une dizaine de coups de projecteur sur quelques personnalités et marques de l'horlogerie – Jacob Arabov (Jacob & Co), Pierre Bouissou (Boucheron), Business Montres Vision, Bernard Favre (gyroconcepteur), Eric Giroud (designer), Nick Hayek (Swatch group), Movado (MGI Group), Thomas Prescher (horloger), Alessandro Savelli (Savelli), Cyrus Zeinal-Zade (ZZ Watches)...
◉◉◉◉ À DÉCOUVRIR : notre page des montres en vitrine, par ceux-là même qui mettent en place ces vitrines (Business Montres du 28 février). On vous parle de Cartier, de Vincent Calabrese, de Louis Moinet, d'Ulysse Nardin, de Charriol, de Baume & Mercier et d'Eberhard & Co...
◉◉◉◉ HISTOIRE HORLOGÈRE (1) : carrousel ou tourbillon, comment les reconnaître ? Les faux savants et les experts auto-proclamés racontent à peu près n'importe sur ce sujet, mais l'historien Joseph Flores reprend la discussion à la base, en partant des calibres de Bonniksen, le père du carrousel (Business Montres du 1er mars). C'est alors que tout s'éclaire : c'est une question de denture ! SOS dentistes...
◉◉◉◉ HISTOIRE HORLOGÈRE (2) : près de 35 ans avant Panerai, qui vient de rééditer en pendule contemporaine le pendule de Galilée (Business Montres du 25 février), Jean-Claude Nicolet avait, dès 1977, réalisé sa propre version de ce pendule galiléen – il est toujours exposé au musée de Villers-le-Lac (Business Montres du 27 février)...
◉◉◉◉ NOS PAGES HEBDOMADAIRES : Le Sniper du lundi (24 février), avec les énergies positives qui vont réveiller Baselworld, les tigres et les dragons disneylandisés de Richard Mille, la machine à écrire et à effacer le temps, l'art du sertissage selon Dubey & Schaldenbrand, les nouvelles collections GTO, la nullité des nouvelles Samsung, etc. ; Le Zappeur du mercredi (26 février), avec la nouvelle Marvin de plongée, le nouveau stand Patek Philippe à Baselworld, le ménage chez Tissot, la dernière farce de Bamford, le printemps chez Nixon, Cvstos sous la Tour Eiffel, le chrono trop chargé de Speake-Marin, les chiffres inquiétants sur la pénurie prévisible d'horlogers en Suisse et quelques détails sur le tourbillon central-répétition minutes d'Haldiman, etc. ; Le 360° du vendredi (28 février), avec le triple erreur sur la dernière Movado GMT, Girard-Perregaux qui s'accroche aux aiguilles, la nouvelle création artistique d'un nouveau friend de Maximilian Büsser, François-Paul Journe qui ne ressemble à rien en BD, le succès de la Pot Clock et tout le reste...
◉◉◉◉ NOS INTERVENTIONS SUR LES MÉDIAS SOCIAUX : des dizaines de vidéos publiées sur Business Montres Vision (chaîne images de la médiafacture et premier canal horloger francophone pour l'horlogerie), des dizaines de pages sur Fabebook, de dizaines de tweets sur Twitter et tout le reste (Pinterest, Tumblr, Scoop.it, Blogger, etc.)... 
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC : la chronique horlogère du portail d'informations Atlantico revient tous les vendredi (Business Montres du 28 février), avec cette semaine Bell & Ross, HYT, Nixon, Hublot, Victorinox et Olivier Jonquet (un jeune créateur français qui se lance par souscription et qui ose faire des belles montres : ci-dessous)...
 
D'AUTRES SÉQUENCES RÉCENTES
DE L'ACTUALITÉ DES MONTRES ET DES MARQUES...
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