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LUNDI (accès libre) : Le Sniper se demande si Apple n'est pas déjà devenu le « premier-horloger-du-monde », avant même qu'on puisse évaluer le succès final de l'Apple Watch...

Le crocogate qui fait d'Hermès le boucher des vanités. Les électeurs grecs qui jouent à Léonidas. Les budgets publicitaires qui explosent aux Etats-Unis [est-ce bien utile ?]. Le sceau rouge qui devient superlativement vert. Et tout le reste...  ▶▶▶ Cette semaine,LE SNIPER DU LUNDI A... ◉◉◉◉ (édito) 


Le crocogate qui fait d'Hermès le boucher des vanités. Les électeurs grecs qui jouent à Léonidas. Les budgets publicitaires qui explosent aux Etats-Unis [est-ce bien utile ?]. Le sceau rouge qui devient superlativement vert. Et tout le reste...

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 Cette semaine,
LE SNIPER DU LUNDI A...
 
content_parthe_non◉◉◉◉ (édito) SALUÉ le courage des électeurs grecs, qui ont massivement refusé le nouveau plan de rigueur que leur proposaient les créanciers de leur pays. Gonflé, mais risqué ! Ce qui va obliger tout le monde à renégocier dans l'urgence, mais dans le respect mutuel, comme on aurait dû le faire depuis des mois. Mais comme les banksters (premiers responsables et premiers coupables de l'endettement de la Grèce) aussi bien que le FMI refusaient de le faire. Il y a des peuples qu'il ne faut pas trop « chauffer », ni trop longtemps, surtout quand ils sont à l'avant-garde de la démocratie européenne depuis 2 500 ans : on aurait dû conseiller aux bureaucrates de la zone euro de visionner le film 300, histoire d'y vérifier les méthodes de négociation de Léonidas le Spartiate (ci-dessus : Léonidas est à gauche). Impossible de prédire ce qui va sortir des négociations de la semaine qui s'ouvre, ni d'anticiper les réactions des marchés, mais le pire n'est plus certain. Comme quoi, là où il y a la volonté d'un peuple, il y a un chemin. La situation est plus VICA que jamais (volatile, imprévisible, complexe, ambivalente) : un nouvel arrimage de la Grèce à la zone euro peut affaiblir la monnaie unique [et donc créer des effets d'aubaine pour les montres vendues dans la zone euro], mais ça risque de renchérir d'autant le franc suisse et donc le prix des montres suisses ; une sortie de la Grèce de l'euro risque tout aussi de renchérir l'euro, donc le prix des montres vendues dans la zone euro, ce qui n'aidera pas les exportations suisses vers les marchés européens. Saluons au passage la performance horlogère de ces rebelles grecs, qui achètent – nous jurent les statistiques officielles – 40,5 % de montres suisses en plus depuis deux ans (en avril, c'était même 116 % de plus par rapport à l'année dernière). Qui s'en plaindra ?
 
◉◉◉◉ RAPPELÉ à quelques lecteurs nos analyses précédentes. La Grèce, c'est anecdotique à côté de ce qui pourrait se préparer en Chine, où l'explosion annoncée de la bulle boursière, conséquence de la précédente bulle du crédit [qui n'était elle-même qu'une suite logique de la crise financière de 2008], aura des effets autrement plus ravageurs sur l'économie internationale. On peut même se demander si le sauvetage du maillon faible grec n'est pas un simple combat retardateur par rapport au possible naufrage de l'économie-casino chinoise, sublime mirage qui portait tous les espoirs et toutes les convoitises des industries du luxe et de l'horlogerie suisse. Naufrage qui va propulser le franc suisse vers des sommets encore moins favorables aux ventes de montres... Laissons les médias perroquets se réjouir de l'ouverture de nouvelles boutiques en Chine ou du recrutement de nouveaux ambassadeurs chinois par les marques suisses : il ne restera sans doute rien de cette écume dans les mois qui viennent. L'avenir de l'horlogerie suisse s'inscrit plus que jamais dans la reconquête de ses marchés domestiques et du coeur des amateurs européens – tellement négligés (voire méprisés) ces dernières années...
 
◉◉◉◉ MÉDITÉ sur les dépenses publicitaires des horlogers sur le marché américain en 2014 (investissements tous canaux, étude Kantar Media). Avec un budget global de 56,3 millions de dollars, Rolex y a encore augmenté sa pression publicitaire, histoire de consolider sa place de leader sur ce marché de 535,3 millions de dollars (71 marques ont dépensé plus de 1 million de dollars). Pour le reste du Top 5, on trouve Breitling (45,1 millions), Omega (34,4 millions, contre 23 millions l'année dernière), Cartier (25,4 millions et Citizen (23,6 millions). Viennent ensuite Chanel, Movado, Longines, Patek Philippe (qui n'était que 13e l'année dernière et qui n'avait dépensé que 5,8 millions en 2012) et TAG Heuer (30 % de moins que l'année dernière, en passant de la 5e à la 10e place). Zenith a quitté le Top 25 de ces investisseurs publicitaires (les marques qui ont dépensé plus de 5 millions de dollars), de même que Casio. En revanche, Richard Mille entre dans ce Top 25 (6,0 millions), de même que Parmigiani Fleurier, Timex ou Ulysse Nardin. Hublot passe de la 14e à la 29e place, de même que Bell & Ross (de la 16e à la 36e place) ou Dior (17e en 2013,30e en 2014). Tendance lourde : les premiers du classement ont dépensé encore plus, les marques qui ont contenu ou freiné leurs achats d'espace reculant dans la liste. Il fallait donc en faire beaucoup plus pour émerger un peu plus : évolution classique d'un marché de crise. Reste à savoir si cette surpression publicitaire est une stratégie de conquête de nouvelles parts de marché ou un sursaut désespéré pour défendre des parts de marché menacées...
 
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◉◉◉◉ CONSTATÉ que la campagne de la PETA contre Hermès commençait à prendre une ampleur internationale, prévisible certes, mais d'autant plus dangereuse. Business Montres (1er juillet) a sensibilisé ses lecteurs dès la semaine dernière (complément d'information du 2 juillet et retour sur le « cauchemar reptilien d'Hermès » (Business Montres du 3 juillet), avec un relais sur notre blog Genevois rien venir et Atlantico. Voir également notre vidéo de l'horreur sur notre chaîne images en accès libre Business Montres Vision. Les interventions de la PETA se multiplient, dans différents styles (ci-dessus et ci-dessous) – de la gracieuse crocodilienne plus ou moins dénudée au look Anonimous – mais toujours avec la volonté précise de harceler Hermès sur ses principaux marchés et dans toutes les langues. Déjà plus de 430 000 « vues » pour la vidéo tournée par la PETA sur ce « crocogate ». Les stratèges de l'ONG américaine sont plutôt intelligents : ils savent manipuler les médias et les opinions publiques. On en déduira qu'ils ne lâcheront pas le morceau de sitôt, la seconde phase de la campagne devant logiquement permettre de s'en prendre aux autres utilisateurs de peaux de reptiles : après Hermès, le nouveau « boucher des vanités », viendra le tour de Louis Vuitton (LVMH) ou de Gucci (Kering). Comme nous l'avons souligné la semaine dernière, le danger est moins pour Hermès (qui a les moyens de se défendre) que pour toute la filière européenne des bracelets de montres en peau de « croco » – une maroquinerie spécialisée qui pourrait y perdre entre le tiers de son activité et la moitié de son chiffre d'affaires. 
 
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◉◉◉◉ DOUTÉ de la pertinence du mode de réponse choisi par Hermès, qui botte en touche dans un communiqué laconique : « Hermès a sécurisé ses approvisionnements de peaux de très grande qualité à travers un réseau étroit de fermes partenaires. Les peaux utilisées par Hermès proviennent de fermes dans lesquelles Hermès exige les meilleures conditions d'élevage et qui respectent la réglementation internationale. Ces élevages respectent les règles établies par la Convention de Washington (1972) qui définissent la protection des espèces concernées. Ces règles établies sous l'égide de l'ONU ont eu un effet bénéfique pour la sauvegarde des crocodiliens : les fermes réintroduisent une partie de leur élevage dans le milieu naturel et contribuent à la régulation des écosystèmes. Hermès vérifie continuellement ses procédures en matière d'élevage. Tout manquement avéré sera corrigé et sanctionné. » C'est tout ? Stratégiquement, c'est stupide : en communication de crise [sait-on seulement ce que cela veut dire chez Hermès, qui « tient » bien pour l'instant ses médias européens sous transfusion publicitaire ?], on ne répond jamais à des arguments émotionnels par des arguments rationnelsQuand la PETA montre l'horreur, la souffrance, la cruauté et la mort, on n'argumente pas sur le fait qu'on respecte les lois en s'abritant sous le parapluie de l'ONU. Un minimum d'empathie aurait été indispensable, avec une contre-réponse affective à des images effectives. On parle de ventres transformés en sacs à main : le ventre, c'est le pathos, siège des émotions.  Le sac à main, c'est une question d'ethos (morale), aucun objet de parure ne pouvant s'apprécier face à la souffrance, de l'horreur et de la mort. Hermès axe son discours sur les règles, qui relèvent du logos (raison) : pathos + ethos contre logos, on est totalement débordé, à côté de la plaque. Ensuite, ce communiqué est tactiquement maladroit et il ignore les capacités combatives de l'adversaire : parlant d'élevage quand la polémique enfle sur l'abattage, Hermès évoque de possibles manquements, des corrections et des sanctions. Bref, la maison de luxe biaise en laissant entendre qu'il y a peut-être, malgré tout, un problème. Moralement, Hermès a commencé à céder du terrain : c'est du pain bénit pour la PETA, que l'odeur du sang va exciter un peu plus. Pour se consoler, un peu de musique, avec le clip de rap largement cité dans le film de la PETA (ci-dessous : ça aussi, l'usage de ce rap, c'était très habile de la part de la PETA)...
 
 
◉◉ DÉCOMPTÉ quelques données marketing pour en conclure que, quel que soit le succès commercial final final de son Apple Watch [10, 15 ou 20 millions de pièces vendues ?], le géant de Cupertino était d'ores et déjà passé au premier rang mondial pour les ventes de montres, loin devant Tissot, qu'on peut estimer la première maison suisse en volume (officiellement, 4,2 millions de montres, marques satellites comprises). Sans prendre en compte les projections, qui situent Apple entre 10 millions et 15 millions d'Apple Watch vendues d'ici à la fin de l'année, les 5 millions de commandes déjà enregistrées après quatre mois de mise sur le marché sont suffisantes. Est-ce un bouleversement pour l'horlogerie suisse ? En termes financiers, pas encore : la traduction statistique de l'affaissement attribuable aux smartwatches Apple n'apparaîtra qu'en fin d'année [on ne livre actuellement que les montres commandées avant le tsunami Apple]. En termes de production, pas encore non plus : les chaînes logistiques fonctionnent encore sur l'erre de la dynamique précédente. En termes de suprématie marketing et de préséances statutaires, en revanche, c'est la gifle : sans même livrer bataille, Apple détrône la Suisse et s'impose comme leader du marché des objets du temps qu'on porte au poignet. C'est hautement symbolique : c'est la première fois depuis trente ans – depuis que Nicolas Hayek avait rendu aux Suisses leur fierté en les relançant à l'assaut des marchés mondiaux – que la Suisse n'est plus le coeur battant de l'horlogerie mondiale. Ce même Nicolas Hayek qui ne cessait de répéter que, pour contrôler le marché, il fallait commencer par contrôler son entrée de gamme, la base de sa pyramide : c'est justement cette entrée de gamme que Apple va impacter en premier ! (ci-dessous : même les chiens des riches Chinois portent deux Apple Watch – source : The Telegraph, Royaume-Uni)...
 
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◉◉ NOTÉ quels étaient les noms qui apparaissent le plus souvent dans le dernier numéro de The Watches Magazine (le média genevois d'Alain Carrier). Ceux des marques horlogères ? Pas du tout. Ceux des montres, connectées ou non ? Encore moins. En revanche, il y a une lutte serrée entre les deux journalistes qui signent le plus d'articles : Thierry Brandt, ex-rédacteur en chef, perd la partie avec 15 signatures – face aux 21 signatures de Sharmila Bertin, la nouvelle rédactrice en chef...
 
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◉◉ NOTÉ quelques informations à la volée, ici, là et ailleurs, parce qu'il faut les connaître, parce qu'elles sont intéressantes ou significatives, mais sans qu'il soit utile de s'appesantir puisqu'elles parlent d'elles-mêmes... ◉ SEIKO : une bonne idée de réédition, à la demande de la marque de mode japonaise White Mountaineering. Rien de moins qu'un retour du chronographe de légende dessiné autrefois par Giorgetto Giugiaro, le designer automobile le plus influent mais aussi le plus secret de la fin du XXe siècle (celui dont les créations pour BMW, Alfa-Romeo, Maserati, Ferrari, ou même Apple, ont inspiré la plupart des meilleurs designers de cette fin de siècle, notamment dans l'horlogerie). Revoilà donc ce chronographe décentré (ci-contre), en acier dans des tons bleu-noir – à moins de 300 dollars sur les sites japonais, ça va faire un malheur...  CHRISTIE'S : un des deux Spitfire Supermarine authentiques en état de voler passe cette semaine aux enchères dans une vente charitable (ci-dessous). L'histoire passionnante de cet appareil est racontée dans un site interactif dédié (estimation et mise à prix : entre 1,5 et 2,5 millions de Livres, soit environ 2,2 à 3,6 millions de CHF). Moins facile à camoufler qu'une montre du même prix pour passer la frontière, mais c'est le prix de la légende !  ROLEX : Business Montres a oublié de préciser un élément essentiel de la nouvelle garantie de cinq ans assurée par la marque. Le sceau de garantie en fausse cire supposé attester du caractère « Superlative Certified » passe du rouge au vert, avec des hologrammes théoriquement infalsifiables. Révolutionnaire, non ?
 
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◉◉◉◉ SÉLECTIONNÉ de quoi confectionner une rapide revue des médias qui parlent de montres, pour le meilleur comme le pire (malheureusement de plus en plus fréquent)... ◉ UNE BÊTISE PAR PARAGRAPHE : certes, c'est l'époque des vacances ; certes, les journalistes horlogers ne sont plus ce qu'ils étaient ; certes, l'information sur les montres est marginale face à l'actualité euro-grecque et à la canicule... Tout de même : quand on lit en titre, « Des montres emblématiques ont marqué le marché horloger » (Tribune de Genève), on est forcément intéressé. Erreur fatale : une bêtise par paragraphe (en moyenne) et un manque total de structure dans la pensée viennent gâcher une belle idée. À quoi ça sert, ce genre d'article ? L'ESSENCE DE RESSENCE : excellente revue de la montre Ressence Type 1 V Genesis par François-Xavier Overstake (Equation du temps), qui sait faire comprendre les évolutions d'une montre dont la nouvelle version met bien en perspective l'évolution de cette jeune marque, lancée voici cinq ans par le génial Benoît Mintiens (voir également Business Montres du 3 juillet)...  MALIK DANS LA LUNE : quand il veut écrire sans chausser les pantoufles de Céline (Louis Ferdinand), Malik Bahri y parvient sans peine, comme le prouve son article sur les montres compliquées VicenTerra – lune sphérique, terre sphérique – de Vincent Plomb, qui réussit à produire ces complications au tiers ou quart de ce que factureraient d'autres manufactures (Foudroyante). Au fait, Malik, une remarque : l'expression « Space Pirate », c'est du Maximilian Büsser pour son HM6 – réservons-là à cette montre, sans en affubler la GMT-3 de Vincent Plomb (image ci-dessous)...  L'APPLE WATCH EN PANNE ? Quelques bonnes raisons pour laquelle l'Apple Watch pourrait ne pas marcher... aussi bien qu'on le pensait, c'est-à-dire les raisons pour lesquelles elle ne se vendrait pas à 11 millions d'exemplaires, mais à 10,5 millions (5 % d'écart) : c'est l'interrogation – intéressante – du blog italien Watch Italia. Questions d'enfants gâtés : quel horloger suisse ne se contenterait pas de ne vendre que 500 000 montres de moins à ce niveau de percussion du marché ? Sans oublier que, après quatre mois de commercialisation, cette Apple Watch a déjà fait d'Apple Inc. le premier horloger du monde (voir ci-dessus)...  LA POUDRE DE PERLIMPINPIN PUBLICITAIRE : « La pub est-elle devenue une bulle d’illusions auto flagorneuses vampirisée par les promesses technologiques ? » Bonne question, merci à INfluencia de l'avoir posée à Amir Kassaei, CCO de DDB Worldwide. Pour lui, « la bulle publicitaire [peut] exploser en continuant de grossir dans l’illusion d’être toujours en phase avec le quotidien des consommateurs »...
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 Cette semaine, le Sniper du lundi a...
COMPILÉ QUELQUES SÉQUENCES 
d'informations animées par Business Montres
la semaine dernière (pour les lecteurs
qui auraient manqué un épisode)...
 
tintin◉◉ UN RÉSUMÉ DE QUELQUES-UNES DES INFORMATIONS publiées ici, la semaine dernière, en exclusivité, en priorité et/ou en toute indépendance. Celles qu'il ne fallait absolument pas manquer la semaine dernière, qui sont celles dont les médias perroquets ne vont parleront qu'après ! Une actualité horlogère commentée en mode 100 % liberté grâce à 0 % publicité et 0 % de propositions commerciales obliques. 
 Les juges suisses qui refusent de choisir entre Apple et Apple, c'est-à-dire entre Cupertino et Singapour, en donnant raison à l'un sans donner tort à l'autre et vice-versa. Très suisse, tout ça (Business Montres du 29 juin), nos révélations apportant la preuve que, contrairement à ce que prétendaient les médias perroquets, il y avait bien une action en justice introduite par Apple contre William Leong...
 La montre islamo-compatible de Christophe Claret, c'est-à-dire sa Mecca totalement halal au regard de la foi musulmane, avec sa pierre noire, sa Kaaba en 3D et sa foule de pélerins en giration autour du lieu saint le plus sacré de l'Islam (Business Montres du 30 juin)...
 La preuve qu'une montre Apple qui n'était pas une Apple Watch a bien été mise en vente à Genève, c'est-à-dire que la marque Apple et le logo à la pomme ont bien été exploités par William Leong – auquel Apple Cupertino veut interdire l'usage de cette marque, légalement déposée en 1985 (Business Montres du 1er juillet)...
 L'affaire Hermès et les nouveaux reptiles de la honte, où comment une marque de luxe se trouve prise au piège des activités américains qui défendent les animaux. Un dossier explosif, qui peut remettre en cause toute la filière des bracelets pour montres en peaux exotiques (Business Montres du 1er juillet, avec une suite le 2 juillet et un complément d'information le 3 juillet : image ci-dessous)...
 Le Baromontres exclusif de Business Montres, ou le bulletin météo d'une actualité horlogère anesthésiée par la crise, qui perd pied mais qui ne semble pas s'en soucier plus que ça (Business Montres du 4 juillet)...
 Nos chroniques habituelles et exclusives : l'actualité des montres comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte – sans jamais oser le demander – avec Atlantic-tac (3 juillet), notre chronique de l'actualité horlogère L'Heure du temps n° 23 (dernière émission de la saison) et, toujours, nos derniers Délices d'initié pour découvrir tout ce que Business Montres a publié d'exclusif le mois dernier (8 juin)...
 Et toutes les informations qui font le sel des conversations entre initiés – mais que les autres médias horlogers ne vous décodent pas et ne vous racontent pas, sinon avec beaucoup de retard : le péril d'un krach boursier en Chine plus inquiétant que celui d'un krach de la dette en Grèce (3 juillet), la fin du match entre Bvlgari et Cartier, pour le sacre Paris ou Rome (30 juin), les repompages non avoués de Business Montres concernant la garantie de cinq ans chez Rolex (29 juin), le record de plongée profonde qui tient depuis dix ans avec Ralf Tech (3 juilletLe barom), les embrouilles mercantiles entre animateurs de PuristsPro (30 juin), la garantie à vie sur les montres MB&F (2 juillet), la nouvelle Marguerite mécanique et papillonnante de Christophe Claret (29 juin), les folles chaises musicales chez Piaget (29 juin), Eric Singer, le batteur de Kiss comme juté du Grand Prix de Genève (30 juin),  la Patek Philippe à 300 000  euros volée à Bob Maron (29 juin), l'horloger amateur qui s'est invité au Grand Prix de Genève (3 juillet), la montre Ball Watch des bérets verts américains (29 juin), la montre suprématiste de Denis Guidone (30 juin), la nouvelle HM6 de MB&F en or rose (3 juillet), etc.
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