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LUNDI (accès libre) : Le Sniper se prépare à la seconde qui durera deux secondes et aux deux ans qui vont durer cinq ans...

La citation du jour : « Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne vous prenne par la gorge », Winston Churchill (sentence repérée au Musée d'horlogerie du château des Monts, au Locle). À méditer un instant au seuil d'un mois de juillet qui va bousculer nos références horaires... (Heureux temps où la France assurait la promotion de son horlogerie) ▶▶▶ Cette semaine,


La citation du jour : « Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne vous prenne par la gorge », Winston Churchill (sentence repérée au Musée d'horlogerie du château des Monts, au Locle). À méditer un instant au seuil d'un mois de juillet qui va bousculer nos références horaires...

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(Heureux temps où la France assurait la promotion de son horlogerie)
 
 Cette semaine,
LE SNIPER DU LUNDI A...
 
◉◉◉◉ (édito) NOTÉ que c'était cette semaine qu'on allait vivre l'expérience de multiples et redoutables failles spatio-temporelles. Avec une seconde qui dure deux secondes : mercredi matin, à 01:59:59, on ne passera pas à 02:00:00, mais à un aberrant 01:59:60, du fait de l'ajout d'une seconde intercalaire au temps universel de la planète Terre (nous en reparlons ci-dessous, dans nos brèves). Seconde faille temporelle : les deux ans de garantie qui vont durer cinq ans chez Rolex. Une information Business Montres du 10 juin dernier, reprise en nous citant comme source par TimeZone (merci !) et par différents sites ou forums spécialisés (Rolex Forums). Côté francophone, l'information a été recopiée par Montres de luxe, sans nous citer [alors que c'est nous qui avions personnellement appris l'information au rédacteur !], avec un énoncé pour le moins sibyllin : « L’info (non officielle mais avérée) vient tout juste de tomber : à partir du 1er juillet 2015, toutes les montres de chez Rolex achetées à partir de cette date, seront garanties pour une durée de cinq ans au lieu de deux actuellement ». Tout juste tombée d', cette info ? Complétons nos révélations pour les médias perroquets, qui vont jacasser sur le communiqué officiel dès le milieu de cette semaine. Là où Rolex fait très fort, c'est en élargissant cette faille spatio-temporelle, puisque cette garantie de cinq ans sera étendue aux montres achetées entre le 1er juillet 2013 et le 30 juin 2015. Il y avait donc deux ans que les deux ans de garantie duraient cinq ans, mais on ne le savait pas ! Là, on est dans le paradoxe temporel intégral, une sorte de faille rétrograde, aux limites conceptuelles du modèle scientifique de la Relativité générale d'Einstein : si vous réussissez à écrire l'équation, prévenez-nous
 
◉◉◉◉ RIGOLÉ de la nouvelle collection Komono, en partenariat avec Andy Rementer : c'est l'esprit des Swatch artistiques de la grande époque, avec un design de nouvelle génération (ce fameux style néo-classique with a twist), avec des bracelets qui évoquent les graphismes de l'illustrateur américain Andy Rementer. Le détail qui fait mouche : la couronne à 4 h, avec le nom de la marque écrit dans le prolongement de la couronne, à la manière d'un index. Le prix est très bien placé (moins de 80 euros pour un boîtier métallique de 46 mm, un mouvement électronique Miyota et un bracelet imprimé : ci-dessous)...
 
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◉◉◉◉ SUIVI au Château des Monts (Musée d'horlogerie du Locle) la présentation des marques admises en finale du Concours international de chronométrie. Initiative intéressante que ce concours, tant dans son esprit initial que dans la vanité de ses efforts pour y intéresser les marques horlogères : voir notre analyse (Business Montres du 28 juin).
 
Valérie Nowak◉◉◉◉ RELEVÉ quelques chaises musicales assez spectaculaires chez Piaget, après la crise ouverte par le départ de Natacha Hertz (révélation Business Montres du 11 mars 2014), puis à l'occasion de son remplacement (pas vraiment convaincant) par Atissa Tadjadod (révélation Business Montres du 21 avril dernier). Crise qui a fini par se résoudre avec le recrutement d'une redoutable panthère dans le jeu de quilles plan-les-ouatais de la manufacture : avec Valérie Nowak, qui arrive en direct de la communication de Saint-Laurent après un passage par l'état-major de PPR, ça risque d'être Plan-les-Watts – la belle Valérie (ci-contre) n'ayant pas l'habitude de prendre d'autres gants que des gants de boxe pour écarter les incapables, houspiller les tièdes ou virer les importuns. On doit donc se convaincre qu'elle ne débarque pas chez Piaget pour jouer les utilités, ni pour se contenter d'un rôle de potiche dans les coulisses. Son arrivée se double d'une autre possible déstabilisation : Edouard Cottin, qui était depuis six ans et demi le sympathique directeur commercial international de Piaget, passe chez Roger Dubuis pour y occuper les mêmes fonctions – au moment où Etienne de Gramont, l'actuel directeur commercial de Roger Dubuis (non moins sympathique, mais plus rugueux, en poste depuis quatre ans et demi), vient remplacer Edouard Cottin chez Piaget. Une parfaite partie de chaises musicales, un peu troublée par le départ de Piaget de son tout aussi sympathique directeur financier, Courtenay Ross, qui avait le nez dans les comptes de la maison depuis quatorze ans. Un départ qui a surpris tout le monde et pour lequel aucun explication n'a été fournie. Que de nouvelles têtes (sympathiques) dans une maison dont le CEO, le très sympathique Philippe Leopold-Metzger, est installé depuis maintenant quinze ans à la présidence de Piaget...
 
11655220_10152872978200614_348372772_n◉◉◉◉ ENQUÊTÉ sur la violente agression dont a été victime Bob Maron, le « watch dealer préféré des stars d'Hollywood » (révélation Business Montres du 26 juin). On vous avait promis quelques détails supplémentaires, mais les... gendarmes de Saint-Tropez sont ce que vous savez. Quelques informations ont pu filtrer. Contrairement à ce que nous écrivions, les voleurs n'étaient sans doute pas est-européens, mais italiens : il s'agirait d'un gang spécialisé dans les montres de luxe qu'ils arrachent plus ou moins brutalement aux passants. Dans le cas de Bob Maron, c'était plus que brutal : nous attendons le rapport de la gendarmerie dès que possible. Nous avons retrouvé l'image du chef de ce gang napolitain qui écume la Côte-D'Azur (ci-contre) : il a été formellement identifié par Bob Maron. La montre volée est une Patek Philippe de haute lignée : comme l'écrivions, il s'agit d'un chronographe deux compteurs réf. 5071 en or gris, cadran noir, pièce unique sertie de 120 diamants baguette sur la lunette et les cornes, en plus de dix diamants sur le cadran. Une légende veut que Bob Maron l'ait gagnée dans un casino de Las Vegas, avec un joueur décavé prêt à tout pour un peu de cash, mais cette histoire (vraie) concerne un autre chronographe Patek Philippe de sa collection. En tout cas, cette réf. 5071 était une pièce dont Bob Maron se montrait très fier et qu'il exhibait récemment à Genève (ci-dessous), mais c'est le genre de montre qu'il n'est sans doute pas très malin d'exposer, manches retroussées, dans les petites rues de Saint-Tropez : comment un Napolitain un peu impulsif aurait-il résister aux 300 000 euros de ce poignet qu'on promenait aussi innocemment sous son nez ?
 
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◉◉ COMPRIS qu'on n'était jamais trahi que par les siens en lisant les compte-rendus énamourés de la presse suisse à propos de l'arrivée de l'Apple Watch dans les Apple Stores helvétiques. Voir notamment Le Temps, quotidien qui s'est déjà fendu d'un essai de la montre connectée qui risque de faire perdre des milliers d'emplois à la Suisse : les annonceurs horlogers suisses apprécieront à sa juste valeur cette promotion des concurrents systémiques ! Le Matin est plus digne en faisant la promotion des smartwatches suisses [si, si, ça existe grâce à Soprod]. Honnête compte-rendu de l'équipe suisse de Bloomberg. Le dummy du jour, c'est David Bredan, dans A Blog To Watch, qui compile (mal) quelques informations à ce sujet pour nous expliquer (de travers) pourquoi Apple a tardé à débarquer sur le marché suisse : selon lui, c'est parce qu'Apple n'avait pas envie d'intervenir sur le marché suisse [c'est sans doute par manque de motivation qu'Apple a déposé quatre demandes pour déposer sa marque en Suisse, en vain à ce jour]. Toujours selon le rédacteur de cette page dans A Blog To Watch, forcément expert dans ce domaine tellement il est péremptoire, les droits de propriété intellectuelle de William Leong n'avaient aucune consistance juridique, donc ils ne constituaient pas un obstacle pour Apple. Outre que David Bredan attribue à Bilan le scoop de Business Montres (2 avril) sur ce dépôt de marque Apple en 1985 [Bilan s'est contenté de repomper Business Montres, sans nous citer – c'est courageux ! – mais en piratant le logo Apple que nous avions publié], il s'avance sans doute beaucoup en estimant (à tort), mais c'est photocopié sur une ânerie de Bilan à ce sujet, qu'il n'y a jamais eu « la moindre action en justice au sujet de ce dépôt » (« Furthermore, we have no knowledge of any legal action that has been reported since Apple began proceedings to protect its own trademarks in Switzerland last year »). Sauf que, cher repompeur, un procès est en cours et la décision des juges genevois imminente : on va même en reparler avant la fin de cette semaine. Bref, quand les copieurs se copient entre eux, c'est un grand n'importe quoi...
 
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◉◉ DÉNICHÉ l'andouille de la semaine (après le crétin du jour : ci-dessus) : c'est dans le magazine économique Capital qu'il fallait le débusquer. Il a préféré ne pas signer un des articles les plus imbéciles de ces derniers mois, « Montres de collection : même sans gros moyens, offrez-vous une Rolex ou une Longines ». Comme c'est un article de la rubrique Placements, il y a non-assistance à personne en danger ! Temps de lecture conseillé par le magazine : deux minutes. En vingt secondes, vous en aurez vite fait le tour, sachant qu'on décompte dans cet article une moyenne d'à peu près une stupidité toutes les trois ou quatre lignes. Faire d'une montre Chaumet un investissement horloger, même Bernard Arnault n'y avait pas songé ! Le meilleur pour la fin : l'andouille de la semaine nous conseille d'investir sur les « pré-collectors » (?), placement d'autant plus sûr que, « en cent cinquante ans d'existence (?), l'horlogerie haut de gamme et devenue une valeur dont la cote ne cesse de grimper (?) ». On va en parler, entre autres, aux acheteurs de Lip des années 1950, d'Universal des années 1960, de Pulsar des années 1970, d'Angelus des années 1980, de Gérald Genta des années 1990 et à tous les floués qui croient aux promesses des marques intemporelles qui défient les générations...
 
 
special_forces-Businessmontres◉ SALUÉ la montre dédiée aux bérets verts américains par Ball Watch, la marque suisse qui monte et qui s'apprécie de saison en saison, tant pour le rapport qualité-prix que pour le design. Ball Watch est une des très rares marques Swiss Made dont l'actionnaire asiatique semble comprendre quelque chose au marketing horloger et à la logique de construction d'une marque. Pour rafraîchir la mémoire des nouvelles générations, voici une compil' du film avec John Wayne (ci-dessus), avec l'air de marche de ces parachutistes des forces spéciales américaines. La montre (ci-dessous) est une Engineer II de la série Marvelight, en « version de combat », avec un boîtier en titane PVD de 43 mm très résistant au choc, mouvement automatique certifié COSC, micro-tubes de gaz fluorescent H3 dans les index et les aiguilles, y compris l'aiguille des secondes, pour une visibilité parfaite dans l'obscurité, grande date, anti-magnétique (4 800 A/m) et étanche à 100 m avec couronne visssée. Le fond du boîtier est gravé de l'insigne des Special Forces Airborne (ci-contre). Joli bracelet en nubuck. Le tout pour moins de 2 000 euros si la montre était vendue en France, ce qui n'est pas encore certain et ce qui est dommage...
 
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Arracheur_de_dents-e1349975821482◉◉◉◉ RETROUVÉ dans les archives de Business Montres l'incroyable histoire bidonnée par Breitling pour se flatter d'un sauvetage en Alaska, grâce à sa montre Emergency – dont la version Emergency II vient d'être enfin autorisée à la vente aux Etats-Unis. Ce n'est pas parce qu'une montre a pu effectivement sauver quelques vies grâce à sa radio-balise de détresse qu'il faut raconter n'importe quoi pour enjoliver son storytellingBusiness Montres (9 octobre 2012) avait repéré la supercherie, alors que tous les médias perroquets reprenaient le bidonnage comme une parole d'Evangile (complément le 11 octobre). À notre connaissance, Breitling n'a jamais démenti ces baratinages éhontés de Breitling Etats-Unis, ni présenté les moindres excuses au sujet de cette histoire plus énorme que le diamant qui était plus gros que le Ritz (Hemingway). Pas grave, puisque les perroquets n'ont pas de mémoire : 100 % des arracheurs de dents ont tenté leur chance et 100 % de ceux qui les ont cru le regrettent encore !
 
Lune-Melies-BusinessMontres◉◉◉◉ SALUÉ la performance (relative) de notre chaîne images Business Montres Vision, le premier canal vidéo indépendant du web francophone. Plus de 2,7 millions de « vues » au compteur, avec 2 100 vidéos qui représentent 48 500 heures de spectacle horloger (l'équivalent de 2 010 jours ou de cinq ans et demi à passer devant son écran). Avec des playlists encore jamais vues dans la communication horlogère, comme Le sexe fait-il vendre des montres ? (124 vidéos à ce jour, toutes plus sexy ou désopilantes les unes que les autres), ou des compilations jamais tentées dans ce domaine – les vieilles publicités horlogères, un florilège de vidéos Rolex : Les bijoux de la couronne (85 vidéos), Cartier, Chanel, TAG Heuer, Hublot, Les grandes leçons de l'horlogerie mécanique (44 vidéos), etc. Le tout en accès libre, sans la moindre seconde de publicité infligée à ceux qui nous font le plaisir de nous rejoindre pour ce grand spectacle des montres à travers les âges...
 
leap-second◉◉ EN BREF DE CHEZ BREF, EN VRAC DE CHEZ VRAC, EN LIBRE DE CHEZ LIBRE : quelques informations notées à la volée, ici, là et ailleurs, parce qu'il faut les connaître, parce qu'elles sont intéressantes ou significatives, mais sans qu'il soit utile de s'apesantir puisqu'elles parlent d'elles-mêmes... ◉ PROPAGANDE : magistrale affiche que celle du Cetehor français (en haut de la page), qui faisait la promotion collective des montres vendues sur le marché français dans les années 1960. Très français : la taxe existe toujours – les bureaucrates de l'actuel CPDHBJO français lui disent merci... ◉ SECONDE INTERCALAIRE : pour la France, ce n'est pas le 30 juin à minuit, mais le 1er juillet à 02 heures du matin qu'il faudra ajouter une seconde supplémentaire. La minute 59 de la première heure de cette journée comptera donc 61 secondes au lieu de 60. Mystères d'une heure légale qui n'existe pas en France, mais qui est quand même ultra-bureaucratisée (décodage Business Montres du 27 juin ). pour essayer de bien comprendre cet ajout d'une seconde intercalaire, une excellente vidéo du Monde pour tout expliquer en 04:00 minutes...  AMERICA'S CUP : l'épreuve a-t-elle encore le moindre intérêt pour les publics de l'horlogerie ? On peut en douter en constatant la débandade des grandes marques de montres après des années 2000 enflammées autour des pontons de la Cup. Voir la jeune marque angais Bremont remplacer TAG Heuer comme partenaire du team Oracle, c'est assez révélateur d'une certaine décadence de l'événement. D'autant que Bremont avait jusqu'ici focalisé sa communication sur l'aviation et l'aéronautique [disons que Bremont a probablement eu raison de se lancer, ne serait-ce pour doper sa notoriété aux Etats-Unis]. Depuis 1851, c'est la première fois que l'America's Cup s'offre un chronométreur britannique : oui, et alors ?  JEAN-DANIEL PASCHE : lui, il sait ! C'est même pour ça qu'on vient de le réélire à la tête de la Fédération horlogère suisse, après une année record en 2014 (22,2 milliards de CHF). De même qu'il avait vu en 2010 la crise horlogère de 2009 (20 % à 25 % de décroissance, qu'il avait niée tout au long de l'année), le président de la FH nous promet que « lex exportations horlogères resteront stables en 2015... De janvier à mai, sur nos trente principaux marchés d'exportation, seuls huit affichent un recul ». Donc, comme d'habitude, on reprend tous en choeur : « Tout va très bien, Madame la Marquise »...  MILLE EUROS : c'est la nouvelle limite des paiements en liquide en France, au moins pour les résidents [pour les étrangers, aucune nouvelle limite n'est clairement précisé par le gouvernement]. Le décret est officiel depuis ce week-end. Prise au nom de la lutte contre le blanchiment et le terrorisme, cette décision ne va pas aider à la relance du marché horloger local...  CHRONO 24 : ce matin, il y avait 9 050 Rolex, 7 040 Breitling, 6 590 Omega, 3 920 Hublot, 3 540 Cartier, 2 640 Audemars Piguet, 1 970 Patek Philippe, 1 956 Panerai, 1 590 Breguet, 862 Blancpain, 18 Hautlence et 18 Urwerk, toutes neuves de stock (jamais portées, généralement avec boîte et papiers), sur un des principaux sites internationaux de déstockage de montres de luxe. Chrono 24, la providence des détaillants qui ont besoin de trésorerie...  LA CITATION DU JOUR : « Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne vous prenne par la gorge », Winston Churchill (citation repérée au Musée d'horlogerie du Locle)...  LA CHUTE : vous avez aimé le mème construit par Malik Bahri autour d'une scène de La Chute, en une désopilante parodie de nos moeurs horlogères (Business Montres du 4 mai dernier) ? Faites-en profiter vos copains anglophones, avec la version sous-titré que le sniper déjanté de Foudroyante vient de mettre en ligne (pour le plaisir des yeux : ci-dessous)...
 
 
 
 
 Cette semaine, le Sniper du lundi a...
COMPILÉ LES MEILLEURS ARTICLES 
récemment publiés par Business Montres
(pour les lecteurs qui ne veulent rien manquer)...
 
tintin◉◉ UN RÉSUMÉ DE QUELQUES-UNES DES INFORMATIONS publiées ici, la semaine dernière, en exclusivité, en priorité et/ou en toute indépendance. Celles qu'il ne fallait absolument pas manquer la semaine dernière, qui sont celles dont les médias perroquets ne vont parleront qu'après ! Une actualité horlogère commentée en mode 100 % liberté grâce à 0 % publicité et 0 % de propositions commerciales obliques. 
 Les sérieux ennuis du groupe Binda après la faillite de sa filiale hongkongaise Advance, ou comment perdre 20 millions d'euros dans une diversification hasardeuse aggravée par le sentiment d'avoir raison quand tous les autres ont tort (Business Montres du 22 juin)... 
 Les gamineries entre Cartier et Bvlgari, ou comment la première place sur les réseaux horlogers dégénère en querelle de gamins batailleurs dans la cour de récréation (Business Montres du 25 juin et Business Montres du 23 juin)... 
 Les 3,3 millions d'euros d'une pendule chinoise, ou comment Antiquorum a bradé pour 180 000 dollars une pendule qui faisait partie du trésor de guerre d'Osvaldo Patrizzi et qui devient l'objet du temps le plus cher jamais vendu aux enchères (Business Montres du 23 juin)... 
 L'ex-ministre Arnaud Montebourg qui raconte n'importe quoi à propos des montres Made in France, ou comment un défenseur de l'industrie tricolore ignore qu'on ne peut pas produire de montre 100 % française (Business Montres pour Atlantico du 24 juin)...
 La nouvelle New Retro de Fawaz Gruosi, ou comment De Grisogono s'impose en parangon des élégances horlogères au poignet (Businessmontres du 26 juin)...
 Nos chroniques habituelles et exclusives : l'actualité des montres comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte – sans jamais oser le demander – avec Atlantic-tac (26 juin), l'actualité des vitrines et des marques, en version originale, et, toujours, nos Délices d'initié pour découvrir tout ce que Business Montres a publié d'exclusif le mois dernier (8 juin)...
 Et toutes les informations qui font le sel des conversations entre initiés – mais que les autres médias horlogers ne vous décodent pas et ne vous racontent pas, sinon avec beaucoup de retard : l'agression dont Bob Maron, le Watch Dealer des stars, a été victime à Saint-Tropez (26 juin), la vraie révolution métallurgique de l'or damassé mis au point par Eichenberger (23 juin), les finalistes du Concours international de chronométrie (28 juin), le compte-rendu d'un 18 juin passé à Londres pour fêter l'Appel du général De Gaulle et la nouvelle boutique Bell & Ross (22 juin), le première affichage horloger des phases de Saturne et de ses anneaux (merci, Cabestan : 25 juin !), la couronne de montre qu'on remonte au radar (24 juin), les salades qu'on nous raconte sur la seconde intercalaire de mercredi prochain (27 juin), la nouvelle collection ethnique chic de Louis Pion et Antik Batik (26 juin), la sagesse esthétique des oligarques russes, qui préfèrent le jean aux diamants (26 juin), la parabole des pommes qu'on ne cueillera plus sur les branches basses du verger (25 juin), la montre en tonneau de whisky (26 juin), la nouvelle boutique Westime de Los Angeles (25 juin), la Victorinox de Johnny Hallyday (24 juin), Paris Hilton qui se pâme pour les heures fluides de HYT (25 juin), les nouvelles Hublot Pop Art (24 juin : nouvelle déclinaison ci-dessous), les serial copieurs de D1 Milano (23 juin), etc.
 
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