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LUNDI (accès libre) : Toutes les questions qu'on peut se poser sur le reformatage du logiciel horloger sous la pression des montres connectées...

Élégante de cour en Asie au XVIIIe siècle, élégante de jour dans l'Occident du XXIe siècle : le hasard d'une rencontre à travers le temps et la magie de montres qui connectent deux ambiances sans être connectées. De quoi réfléchir au jour d'après les smartwatches et d'après l'hyper-connexion...   ▶▶▶ EN RÉSUMÉ (sujets développées après le résumé ci-dessous)Indiscrétions, analyses, informations, 


Élégante de cour en Asie au XVIIIe siècle, élégante de jour dans l'Occident du XXIe siècle : le hasard d'une rencontre à travers le temps et la magie de montres qui connectent deux ambiances sans être connectées. De quoi réfléchir au jour d'après les smartwatches et d'après l'hyper-connexion... 

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EN RÉSUMÉ
(sujets développées après le résumé ci-dessous)
Indiscrétions, analyses, informations, enquêtes, rumeurs & murmures
 
❏❏❏❏ MAIS QU'EST-CE QUE CETTE JOLIE DAME DE LA COUR IMPÉRIALE CHINOISE DES QING (FIN DU XVIIIe SIÈCLE) TIENT SI ÉLÉGAMMENT DANS SA MAIN ? (réponse dans les informations du jour)...
❏❏❏❏ COMMENT GENÈVE RESTE UNE RÉFÉRENCE HORLOGÈRE POUR LES ÉLITES CHINOISES... 
❏❏❏❏ LES BONNES QUESTIONS À SE POSER POUR MIEUX RÉSISTER À LA POUSSÉE DE L'APPLE WATCH... 
❏❏❏❏ MARTIN S'EST INSPIRÉ DES PLANS DE JOHN POUR ENTRER DANS LE LIVRE DES RECORDS... 
❏❏❏❏ LES INDÉPENDANTS DOIVENT-ILS REGROUPER LEUR FORCE DE DISTRIBUTION ?
❏❏❏❏ BOB TACLE MÉCHAMMENT BERNIE (ET CE N'EST QU'UN DÉBUT)... 
❏❏❏❏ RALPH NOUS FAIT LE COUP DE L'ÉTRIER POUR FÊTER LES MAMANS (ci-dessous : amusez-vous à comparer l'image avec celle de la courtisane chinoise ci-dessus)... 
❏❏❏❏ ALAIN SABLE LE CRISTAL POUR FAIRE BRILLER LES DIODES...
❏❏❏❏ TOUT CE QU'IL AURAIT ÉTÉ DOMMAGE DE MANQUER LA SEMAINE DERNIÈRE...
❏❏❏❏ SANS PARLER DE TOUTES LES AUTRES INFOS... ❏❏❏❏
 
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 Cette semaine, le Sniper du lundi a...
COMPRIS QUE L'APPLE WATCH
allait enfin poser les vraies questions...
 
◉◉◉ (ÉDITO) AVEC UNE SMARTWATCH AU POIGNET, on retombe dans la logique fonctionnelle qui était celle de l'horlogerie d'avant la révolution du quartz et de la dissémination de l'heure numérique dans notre environnement. Les objets du temps étaient faits pour donner l'heure, avec rigueur et précision, non sans quelques considérations statutaires. La montre ayant perdu de sa singularité comme objet usuel, tout en gagnant de l'universalité comme référence pour le temps qui passe (acceptation planétaire des codes horaires européens), l'essentiel de son message s'est concentré, dès les années 1990, sur ses dimensions statutaires et ostentatoires – ce qui réclamait de facto une augmentation des tailles, une surenchère dans le design et la complication mécanique, un alourdissement des prix et une course à l'armement pour la communication non plus de l'objet, mais des marques. L'irruption sur le marché des nouvelles montres connectées rebat les cartes en recréant des objets de poignet hyper-fonctionnels, très vite considérés comme des « signes extérieurs de richesse », moins en termes de statut social que de statut culturel par rapport à la société numérique avancée où nous entrons. Délogée topographiquement du poignet, la montre traditionnelle l'est aussi symboliquement de l'imaginaire contemporain. Double peine ! La carpo-révolution est un changement de paradigme dans les valeurs de consommation, avec une régression sensible du domaine de l'avoir – auquel la montre s'est associée avec une spectaculaire imprudence – au profit des exigences de l'être – dont les élites mondialisées portées sur la corruption ont semblé dépourvues. Ce qui ne veut d'ailleurs pas dire que cette carpo-révolution, qui réinvente en mode high-tech le bracelet d'esclave et qui instaure un régime para-carcéral de « bracelet de surveillance électronique », ne pose pas de problèmes éthiques. Au contraire... 
 
AppleWatchFilpatte-Businessmontres◉◉ C'EST POURQUOI L'APPLE WATCH, qui aura déjà pour première vertu de redonner à toute une génération indifférente aux montres classiques le goût de l'objet de poignet en soi, finira par faire se poser les bonnes questions à propos de ces objets de poignet et à propos de ces montres. Qu'est-ce qui mérite de trouver sa place au poignet, entre un grigri utilitaire qui sert de fil à la patte et un fétiche transhistorique chargé d'une symbolique non-marchande ? Jo Ellison se posait récemment la question dans le Financial Times : « Must-have ou must-keep, cette Apple Watch ? ». Même Bloomberg a des doutes pour ce qui concerne le marché chinois. Et le Wall Street Journal se pose la question de savoir si cette Apple Watch « peut vraiment éclipser la montre suisse ». Bonne question : merci de l'avoir posée, comme disent les politiciens pour ne rien dire. 
 
◉◉ SE POSER LES BONNES QUESTIONS, C'EST REPENSER LE LOGICIEL HORLOGER en commençant par se demander pourquoi nos contemporain(e)s devraient aujourd'hui dépenser beaucoup d'argent pour équiper leur poignet d'objets technologiquement désuets et maladroitement promus, au cours de ces dernières années, comme des caprices de nouveaux riches asiatiques, de narco-trafiquants basanés et de petro-affluents cosmopolites. Pour quelles bonnes raisons se mettrait-on à re-porter des montres dès que nous aurons épuisé la fascination qu'exercent les smartwatches sur nos fantasmes d'omnipotence connectée ? Repenser le logiciel horloger, c'est refonder l'architecture de la communication horlogère sur la base de nouvelles valeurs qui vont de l'anti-connexion [même sporadique, c'est déjà un snobisme opérationnel par son potentiel de révolte contre le mainstream et les réflexes panurgiques] à la reconnaissance d'une attirance archétypique pour les mécaniques pré-industrielles et les engrenages qui tentent naïvement de mettre en scène les grands rythmes cosmiques [c'est ce que nous avions nommé la mécaddiction : Business Montres du 11 mars dernier]. Le reformatage logiciel auquel l'Apple Watch nous invite va d'ailleurs bien au-delà de la simple communication des montres traditionnelles : pour proposer d'autres concepts horlogers à d'autres prix, il faudra probablement d'autres marques capables de créer d'autres montres, de les réaliser avec d'autres fournisseurs [la révision des marges s'annonce saignante pour tous les maillons de la création de valeur] et de les promouvoir sur d'autres plateformes que les boutiques horlogères multimarques traditionnelles. Avouons-le franchement : il faudra aussi d'autres canaux de communication que les médias horlogers traditionnels (Business Montres compris). Faute de nouvelles réflexions sur ce fondamentaux de l'art de faire des belles montres, l'année 2015 s'annonce meurtrière pour ceux qui auront cru pouvoir faire l'économie d'une remise en cause de leurs certitudes...
G.P.
 
 
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DOUTÉ DU PROGRÈS TECHNIQUE
dont se flatte l'horlogerie contemporaine...
 
Original manuscript of work that was subsequently printed. ZAA0883.◉◉ IL AURA FALLU 250 ANS POUR PROUVER que John Harrison – l'horloger autodidacte britannique qui avait gagné le fameux Prix offert par l'Amirauté anglaise pour régler la question de la longitude – avait effectivement conçu une horloge capable de n'afficher qu'un peu moins d'une seconde de retard au bout de cent jours. Cette question peut sembler dérisoire à l'âge des horloges atomiques en réseau géostationnaire, mais qu'on se reporte cinq demi-siècles en arrière : toute la communauté scientifico-horlogère avait éclaté de rire en découvrant cette prétention de John Harrison à cette précision hypo-secondaire. Pourtant, une horloge construite par l'horloger anglais Martin Burgess (selon les plans de l'horloger anglais : ci-contre, son manuscrit) n'a perdu que cinq huitièmes de seconde en 100 jours (ci-dessous : une vidéo du test commencé début janvier dernier, à l'Observatoire royal de Greenwich, dans des conditions de sécurité infalsifiables)...
 
 
HarrisonClockB-Businessmontres◉◉ UN RECORD DU MONDE, DIGNE DU GUINNESS BOOK, qui fait de cette horloge mécanique Harrison-Burgess la plus précise du monde (dans la catégorie des pendules opérant à l'air libre). Cette Horloge B (Clock B : ci-contre et ci-dessous) a été fabriquée en matériaux contemporains (aluminium et Invar) à partir de notes manuscrites laissées par John Harrison (image ci-dessus), dont on a longtemps cru qu'il avait laissé ce défi de précision aux horlogers de son temps comme l'ultime pied-de-nez d'un créateur jamais vraiment accepté par la caste des « professionnels »de l'époque. Apparemment, la précision est de moins en moins une qualité marquante des manufactures suisses – qui ne disposent même plus, en Suisse, d'un observatoire digne de ce nom pour certifier leurs montres. Cette réussite de Martin Burgess est un encouragement manifeste pour la nouvelle horlogerie britannique, de plus en plus ambitieuse et de plus en plus clairement décidée à reconquérir la suprématie qui était la sienne au XVIIIe siècle, quand les chronomètres de marine réalisés dans l'esprit des travaux de John Harrisson avaient permis à la Royal Navy de dominer les mers et quand les ateliers suisses les ^plus pointus alimentaient les entrepôts des grandes marchands londoniens qui commerçaient avec les empereurs de Chine (voir notre information Business Montres du 17 avril sur l'exceptionnel flacon à serin chanteur de 1787, qui est attribué à l'équipe de Pierre Jaquet-Droz et qui sera dispersé à New York par Sotheby's)...
 
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REPÉRÉ QUELQUES INFOS
notées à la volée, en vrac, en bref et en toute liberté...
 
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◉◉ LA MONTRE ET LE CHRYSANTHÈME (1) : cette peinture traditionnelle sur soie du XVIIIe siècle représente une élégante dame de la cour des empereurs Qing. On peut noter la présence dans le décor d'une sphère astronomique de type occidentale, signe d'une richesse culturelle qu'on dirait aujourd'hui fashionable. Haute culture que nous confirment les livres placés à côté du bouquet. Tout comme le choix des couleurs de la robe ou de la coiffure, le bouquet de chrysanthèmes à gauche est hautement symbolique de longévité et de fidélité – valeurs qui sont confirmées par le geste de la main présentant une montre émaillée de toute évidence occidentale. Les représentations d'objet du temps dans les peintures chinoises du XVIIIe siècle sont rarissimes : ce portrait émouvant témoigne de la passion de la cour des Qing pour les montres européennes...
 
◉◉ « GENÈVE AU COEUR DU TEMPS » (CHINE, 2) : le Musée d'art et d'histoire de Genève présente une exposition de 350 montres européennes au Capital Museum de Beijing (en partenariat avec Vacheron Constantin. L'idée est de remonter aux origines de la culture horlogère suisse, avec des machines et des outils (reconstitution d'un atelier de cabinotier) en plus de nombreuses montres émaillées – parmi lesquelles on aura compris que la maison Vacheron Constantin – qui fêtera cette année ses 170 ans de présence en Chine – s'est taillée la part du lion. L'image ci-dessus est notre contribution à la culture horlogère sino-helvétique en même temps qu'un appel à la mobilisation : de nombreuses pendules d'avant le XXe siècle (les anciennes collections des empereurs chinois), exposées ou restées dans les réserves du musée de la Cité interdite de Beijing, réclament une restauration encore problématique faute de compétences avancées. C'est tout de même plus gratifiant que de parrainer une starlette éphémère ! 
 
◉◉ RALPH LAUREN TIENT PEUT-ÊTRE SON ICÔNE : après s'être un peu perdue du côté d'une haute horlogerie qui ne correspondait ni à son statut, ni à la demande de ses client(e)s, Ralph Lauren trouve sa voie dans une horlogerie plus accessible, plus immédiatement compréhensible et plus séduisante. Exemple avec  cette Stirrup en acier à cadran nacre, qui reprend le motif traditionnel de l'étrier dans un boîtier plus modeste (23,3 mm x 27 mm : donc plus portable), très délicat, mais très élégant au poignet (voir la classe du mannequin sous le sommaire), qui peut se permettre le décalage d'un bracelet gourmette à la fois confortable et très tendance. Comme le répète Ralph Lauren lui-même : « Toute montre est un bijou pour une femme ». À 2 200 CHF, ça reste raisonnable et c'est un cadeau idéal de Fête des mères...
 
RalphLaurenStirrup-Nacre-Businessmontres
 
◉◉ L'UNION FAIT LA FORCE : C'EST  BIEN PLUS QU'UN REFRAIN qui revient en boucle dans l'esprit de plusieurs marques indépendantes, en Suisse comme en Europe. Et si on associait un certain nombre de marques de niche et de créateurs horlogers – concurrents ou non, à différents échelons de l'offre – pour créer une série de boutiques multimarques à travers le monde ? Optimum requis : entre 10 et 15 marques, disons une douzaine pour en mettre une en vedette pendant un mois, tout au long de l'année. L'idée est de pallier la défaillance des détaillants (et des distributeurs) du réseau actuel, qui sont étranglés par les grandes marques et qui manquent de trésorerie pour ouvrir de nouveaux comptes avec les « petites marques ». Lesquelles semblent décidées à prendre en main leur destin collectif – question de survie ! Financement collaboratif possible de l'opération, avec une sorte de crowdfunding par souscription, doublé de l'intervention de certains investisseurs tentés de placer quelques billes dans la mise en place d'un réseau que tout annonce comme très valorisant en termes de marques ainsi distribuées... 
 
 
 
◉◉ ALAIN PERS SABLE LE CRISTAL comme d'autres sabrent le champagne : son Ice Blue Clock est un bloc de cristal massif (le cristal des cristalleries les plus célèbres), qu'il fusionne et qu'il teinte légèrement dans un moule, avant de le sculpter en le sablant et en le polissant. Un jeu de LED anime cet anneau-cadran de 65 cm de diamètre, les heures s'y allumant dans un grand index alors que les minutes se lisent en éclairant leur chemin selon le code horaire classique, pendant que les secondes font une ronde lumineuse à l'intérieur de ce disque de saphir. Superbe, impressionnant de théâtralité temporelle et furieusement décoratif (vidéo Business Montres Vision ci-dessus)...
 
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◉◉ BOB MARON SE RETOURNE CONTRE SES ANCIENS COPAINS : c'est en Californie que le sympathique Bob Maron, un des plus célèbres marchands de montres de collection de cette planète (watch dealer, entre autres et depuis 30 ans, du tout-Hollywood) a décidé d'attaquer ses anciens associés d'Antiquorum, qui avait fait de lui l'éphémère CEO de la maison d'enchères après le putsch qui en avait chassé Osvaldo Patrizzi. Bob Maron vient de demander à la Cour suprême de l'Etat de Californie de lui rendre justice : il accuse notamment Bernie Chase – qui avait plus ou moins piloté l'attaque d'Evan Zimmermann contre Osvaldo Patrizzi – de lui avoir promis des actions et d'avoir oublié sa promesse, puis de l'avoir évincé sans ménagements (on trouvera tous les détails de cette plainte dans le document du tribunal que nous avons pu nous procurer). Ce n'est pas triste, mais rien n'étonnera les lecteurs de Business Montres qui ont de la mémoire : nous leur avions raconté l'essentiel de l'histoire – vu de l'extérieur, les coulisses étant assez peu ragoûtantes – dans nos différentes éditions de 2008 : « Encore un changement de propriétaire chez Antiquorum » (31 août 2008) et « Bob, surveille tes arrières ! » (20 septembre 2008). Mon vieux Bob (ci-dessous), si tu avais surveillé tes arrières, tu n'en serais pas à réclamer quelques millions de dollars à tes anciens associés...
 
Robert-Maron
 
◉◉ TIFFANY & CO N'A PAS OUBLIÉ GENÈVE dans son nouveau parcours horloger : contrairement à Apple, qui n'a pas pu venir sanctifier son lancement horloger sur le territoire suisse, Tiffany & Co n'a pas oublié le détour par Genève – la « capitale de l'horlogerie en Suisse » [auto-proclamation] – pour valider l'excellence de ses propositions et la consistance de ses ambitions. La boutique du 21, rue du Rhône (ci-dessous) sera inaugurée dans moins d'un mois – elle est située à un jet de pierre de l'ensemble des boutiques du Swatch Group (Breguet, Tourbillon), avec lequel Tiffany & Co est en conflit pour quelques centaines de millions de dollars...
 
Nouvelle boutique Tiffany
 
◉◉ LES EXCLUSIVITÉS QU'IL NE FALLAIT PAS MANQUER LA SEMAINE DERNIÈRE ! Quelques-unes des informations et des analyses publiées ici en exclusivité, en priorité et en toute indépendance : une actualité horlogère commentée 100 % liberté et 0 % publicité. 
Sothebys-CanariAutomateJaquetDroz-Businessmontres Le canari chanteur d'un intérêt historique exceptionnel repéré par Osvaldo Patrizzi, mais dont personne n'a encore voulu vous parler (explication du 14 avril, complément vidéo du 13 avril, information supplémentaire du 15 avril, nouveau complément historique du 17 avril)...
 Les mauvaises nouvelles qui remontent du front chinois, mais que personne ne veut vous donner, ni mettre en perspective pour décoder le présent (13 avril et 15 avril)...
 Le déstockage collaboratif pour relancer la machine horlogère, avec tout ce qu'on peut en attendre de positif pour la trésorerie des marques et des détaillants (16 avril)...
 Tout ce qui a changé à Baselworld, mais que personne n'a voulu vous expliquer (13 avril)... 
 L'avenir du groupe Franck Muller comme chantier naval, ou comment le groupe horloger genevois se diversifie dans le lancement de yachts de luxe (15 avril)... 
CIMG3520 Business Montres à la télévision suisse, histoire d'y expliquer l'affaire de l'Apple Watch provisoirement interdite sur le marché des montres en Suisse (intervention du 15 avril), avec une interview dans Belles Montres (Le Point) à ce sujet le 17 avril. C'est également cette semaine qu'on a vu la presse de Singapour commencer à s'intéresser à l'affaire (repérage du 15 avril)...
 Et toutes nos chroniques habituelles : l'actualité des montres comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte san jamais oser le demander grâce à Atlantic-tac (17 avril), l'actualité des vitrines et des marques avec À découvrir (18 avril), l'actualité de l'horlogerie avec L'Heure du temps sur France Bleu Besançon (chronique du 16 avril), l'actualité des objets du temps avec Rock'N'Horl (19 avril) ou même les chaises Rolex Xolex du salon de Milan (ci-contre17 avril)..
 
◉◉ DROIT DE RÉ>PONS #7 : une intervention vidéo (en deux séquences : première partie et seconde partie) pour faire le point sur la situation de l'horlogerie après Baselworld et avant l'irruption massive des montres connectées sur le marché. Ce qui risque de se passer, les conséquences de cet afflux massif de nouveaux objets de poignet et les voies d'une réponse horlogère qui soit offensive et non plus uniquement dans le déni de réalité ou l'illusion conservatrice (ci-dessous : le volet 1)...
 
 
 
 
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