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MARDI : Les amoureux du grand style Patek Philippe se posent des questions...

Enfin, un banc d'essai réaliste de la précision des montres, en conditions réelles de vie quotidienne, avec des modèles strictement de série, qui ne sont pas des bêtes à concours. Au final, qui l'emporte ? Un chronographe-tourbillon que la morale élémentaire des horlogers n'hésiterait pas à décréter hérétique par rapport à l'orthodoxie mécanicienne...  ▶▶▶ EN RÉSUMÉ...❏❏❏❏ INDISCRÉTIONS, INFORMATIONS, RUMEURS & MURMURES : le tout noté à la volée, en vrac, en bref et en toute curiosité. Au programme... ❏❏❏❏


Enfin, un banc d'essai réaliste de la précision des montres, en conditions réelles de vie quotidienne, avec des modèles strictement de série, qui ne sont pas des bêtes à concours. Au final, qui l'emporte ? Un chronographe-tourbillon que la morale élémentaire des horlogers n'hésiterait pas à décréter hérétique par rapport à l'orthodoxie mécanicienne...

 
▶ EN RÉSUMÉ...
❏❏❏❏ INDISCRÉTIONS, INFORMATIONS, RUMEURS & MURMURES : le tout noté à la volée, en vrac, en bref et en toute curiosité. Au programme... ❏❏❏❏ MONOPOLY : à qui le tour cette semaine ? ❏❏❏❏ BANDE DESSINÉE : un hommage chromatico-horloger à la bande dessinée belge... ❏❏❏❏ HUBLOT : bleu comme une Ferrari californienne... ❏❏❏❏ PATEK PHILIPPE : une pièce unique pas si convaincante qu'on pourrait le croire... ❏❏❏❏ CHINE : comment le Politburo triche en toute impunité pour « punir » et bannir les montres suisses des rues chinoises... ❏❏❏❏ CHRONOMÉTRIE : franc succès pour Franck Muller un test au porter pendant sept jours... ❏❏❏❏ JAEGER-LECOULTRE : une série spéciale bicolore qui imite les (pires) productions locales... ❏❏❏❏ RJ-ROMAIN JEROME : une hélice du Titanic au poignet... ❏❏❏❏ LIQUIDE : d'om vient cette prolifération des billets de 1 000 francs suisses ? ❏❏❏❏ FESTINA : le coup de génie du recrutement de Richard Virenque... ❏❏❏❏ BORN IN THE USA : l'horlogerie américaine relève la tête... ❏❏❏❏ Gc GUESS : le smart luxury prend le tramway... ❏❏❏❏ BREGUET : les ailes de la gloire dans les coulisses du temps... ❏❏❏❏ CHAISES MUSICALES : ce sont toujours les meilleurs qui nous quittent (Richemont)...
 
 BREGUET
Quand Emmanuel Breguet nous raconte les avions Breguet...
◉◉ Raconter l’histoire des avions Breguet, c’est plonger le lecteur dans une aventure incroyable, et parcourir un siècle au rythme de découvertes géniales, d’épreuves et de périodes glorieuses. C’est tourner les pages d’un album qui s’ouvre avec les balbutiements de l’hélicoptère, voir naître le Breguet XIV – outil précieux de la victoire de 1918 (ci-dessus, en haut de la page) puis de l’Aéropostale –, revivre les grands raids des Breguet 19, assister à la naissance d’Air France, aux essais du Breguet-Dorand puis à l’élaboration du très populaire DeuxPonts… C’est rendre hommage non seulement au grand pionnier que fut Louis Breguet (1880-1955), mais aussi à ses équipes, ingénieurs et pilotes, et à ceux qui après lui poursuivirent son œuvre et écrivirent les dernières lignes de la légende Breguet, avec, notamment, le Jaguar franco-britannique et l’indémodable patrouilleur Atlantic(que). Louis Breguet (1880-1955) a été l’un des industriels français les plus féconds et les plus connus. Respecté pour sa trajectoire de pionnier, pour sa contribution majeure à l’histoire de l’aviation militaire et pour sa foi en l’avenir du transport aérien civil, il se distinguait aussi par son élégance naturelle, sa passion de la mer et son goût pour les défis de toutes sortes. Emmanuel Breguet, né en 1962, est historien de formation. Il s’est passionné tôt pour l’histoire de l’aviation. Après un DEA obtenu à la Sorbonne, il a travaillé sept ans au service historique de l’armée de l’air avant de rejoindre le monde de l’horlogerie et de publier sur la mesure du temps plusieurs ouvrages de référence. Ce livre sur les avions Breguet est l’aboutissement de longues années de documentation et de recherches.
 
 
 
 
  PATEK PHILIPPE 5004T
Jouons à colin-maillard et masquons la marque...
◉◉ Aucun souci sur le million et demi de dollars que la nouvelle pièce unique Patek Philippe réf. 5004T (ci-contre) peut frôler, atteindre ou dépasser lors de la vente charitable qui la fera entrer dans la grande légende des collectionneurs de la marque : ce sera la seule réf. 5004 jamais réalisée en titane. Impossible de la manquer, donc, quand on est un amateur un peu conséquent et un tant soit peu soucieux de maintenir ses bonnes relations avec le deus ex-machina qui délivre les autorisations d'achat des hautes complications aux « bons amis » de la manufacture...
◉◉◉ D'autant que la vente aux enchères charitable en question n'est organisée qu'autour de cette montre et que pour établir, grâce à elle, un flatteur record sous le marteau – performance qui sera monétisée ultérieurement dans les ventes ultérieures et non charitables de la maison. On aura compris que les différentes autres marques mobilisées pour la vente ne sont ici que pour faire de la figuration et qu'elles ne servent que de prétexte ou d'habillage à cette focalisation sur une chasse à l'enchère millionnaire. C'est ce qu'on appelle de la stratégie commerciale bien comprise...
◉◉ Ceci posé, cette montre laisse tout de même une impression mitigée à tous les amoureux du « style Patek Philippe » et des codes intemporels qui fusionnent à merveille et de façon irrésistible l'esprit de l'âge d'or des montres mécaniques. On comprend bien que Patek Philippe ait le devoir de rafraîchir en permanence les marqueurs de son identité et on apprécie de voir comment ces pièces uniques charitables sont une occasion de tenter des incursions sur des terrains esthétiques inexplorés, mais le compte n'y est pas. Compiler n'est pas jouer : il suffit d'effacer la marque du cadran et de se poser les bonnes questions (ci-dessous). Si on utilisait un logiciel de morphing en additionnant une Rolex Daytona (pour le côté « panda »), une Chopard Mille Miglia (pour le style sportif nero-rosso, souligné par les surpiqûres du bracelet fibro-carbonisé), un chronographe TAG Heuer (toujours pour le cadran fibres de carbone), voire un peu de Breitling, et quelques autres Patek Philippe de bonne lignée comme la réf. 5959, on ne sera pas loin de cette pièce unique réf. 5004T, dont les pièces de série ont déjà été déclinées en platine, dans différents ors et en acier. Sauf que cette réf. 5004T n'a pas le mouvement  CHR 29-535 PS Q, mais le calibre CHR 27-70 Q (base Lémania). Pas sûr que cette « Patek charitable » soit une des plus réussies de sa catégorie...
 
 
 
 
 LES INDISCRÉTIONS DU JOUR
Notées à la volée, en vrac, en bref et en toute liberté... 
 
◉◉ MONOPOLY : grosse annonce à prévoir ces jours-ci, avec une opération très rarement [sinon jamais, jusqu'à plus ample informé...] tenté dans l'horlogerie. Un indice complémentaire décisif figure pas très loin de ces lignes...
 
◉◉ CHAISES MUSICALES : fidèle de Richard Lepeu récemment passé de la direction de Cartier France à la direction de Richemont Europe (chaises musicales Business Montres du 26 juin), Cyrille Vigneron préfère tirer sa révérence, quitter le groupe et repartir au Japon, le pays le plus cher à son coeur (par affinité culturelle et par attachement familial). Sa finesse, son intelligence et sa sensibilité vont nous manquer. Dommage que l'horlogerie ne soit pas (plus ?) capable de conserver de tels talents...
 
 
◉◉ RJ-ROMAIN JEROME : belle série de chronographes Steampunk (collection Titanic-DNA), assortis de boutons de manchette aux couleurs coordonnées (ci-dessus et ci-dessous). Design rétro-futuriste dans un boîtier de 50 mm, sans cadran, avec des finitions industrielles volontairement brutales. Composé de plus de 330 composants, le mouvement mécanique à remontage automatique est maintenu par 4 pistons vissés. L’acier poli utilisé pour la lunette contient de l’acier authentique de l’épave gisant par 3 840 mètres de fond et par l'acier fourni par le chantier naval Harland & Wolff à Belfast, où a été construit le Titanic, il y a un siècle. Le rehaut interne a quant à lui été laqué de différentes couleurs. Une hélice mobile, entrainée par la masse oscillante, vient animer le cadran à 6 heures et rappelle le mouvement des majestueuses hélices du Titanic. Grâce à un mécanisme unique et innovant, l’hélice tourne quatre fois plus vite que la masse et toujours dans le même sens, indépendamment du sens de rotation de cette masse. Les compteurs des minutes et des secondes à 3h et à 9h reprennent l’esthétique des manomètres du navire et rendent ainsi hommage à la machinerie et au style Steampunk. L’aiguille du compteur des minutes et les surpiqures du bracelet en alligator noir reprennent également la couleur du rehaut. Limitées à 99 pièces par couleur, ces cinq séries se marient également avec la ligne d’accessoires de la marque. A cette occasion, les boutons de manchette en acier ont en effet revêtu les couleurs jaune, rouge, bleue, verte ou orange pour cinq éditions spéciales limitées à 88 pièces chacune. Fidèle à l’esprit de la collection Titanic-DNA, une hélice mobile rappelant les trois hélices du majestueux navire a été montée sur un disque en acier verni de différentes couleurs selon les versions, contenant l’acier du Titanic utilisé pour les lunettes des garde-temps de la collection.
 
 
◉◉ LE TIBÉTAIN QUI FABRIQUE DES MONTRES SUISSES : « Réfugié en Inde puis en Suisse, destiné à devenir paysan aux Grisons, Tamdi Chonge a gravi uns à uns les échelons dans le monde cloisonné de l'horlogerie. Il dirige aujourd'hui la marque Epos ». Tout un programme ! Tamdi Chonge fait le tour du monde pour promouvoir ses montres. La marque se développe essentiellement sur les marchés chinois et d’Europe de l’Est. Ironie du sort, les traits asiatiques de Tamdi Chonge suscitent la méfiance des clients chinois qu’il essaie de démarcher. Ces derniers imaginent qu’il tente de vendre des montres issues de la contrefaçon. Malgré les pressions d’un domaine dans lequel l’apparence et la suissitude sont capitales, le Tibétain a gravi les sommets hiérarchiques. Le secret de sa réussite réside peut-être dans ce proverbe de sa terre natale: « Quand tu arrives au sommet, ne t’arrête pas, continue ! » (source : Largeur)...
 
◉◉ HORLOGERIE AMÉRICAINE : souvent évoquée ici même, la renaissance de l'horlogerie américaine commence à se faire remarquer. Après les élans patriotiques des recensions d'Independence Day (citation Business Montres du 5 juillet), le Wall Street Journal lance quelques coups d'ostensoir à cette nouvelle vague de marques de montres « Born in the USA ». Michael Clerizo retrace ainsi la récente et très fraîche histoire de marques comme Xetum, Bozeman, Kobold, Schofiel ou RGM...
 
◉◉ HUBLOT : qui a dit qu'une montre Ferrari devait être rouge ? En Californie, c'est en bleu qu'on écrit les montres Ferrari, comme le prouve cette série spéciale « Beverly Hills » dont il n'y aura que cinquante exemplaires, uniquement à la boutique californienne de la marque (45,5 mm, lunette en céramique noire, attributs bleus, parements rouges. En France, cette montre serait un hommage aux gendarmes montés de la Garde républicaine...
 
 
◉◉ CHINE (1) : non officiel et non autorisé, mais les publicités pour les montres – déjà interdites à la radio et à la télévision chinoises (révélation Business Montres du 6 février 2013) – devraient également être interdites dans la rue ! Ceci dans le cadre du renforcement de la campagne anti-corruption. Les publicités qui présentent les pièces horlogères les plus coûteuses comme des cadeaux à des tiers (« montres de corruption ») sont particulièrement visées. Ce qui ne va pas arranger les affaires des marques horlogères suisses, ni le cours des actions des compagnies de distribution cotées à Hong Kong (Hengdeli, Sincere, Oriental, Emperor, Chow Tai Fook, etc.). Comme quoi il est un peu vain, pour la Suisse, de signer des accords de libre-échange avec un pays autoritaire dont les pouvoirs publics peuvent à tout moment changer la règle du jeu commerciale...
 
◉◉ CHINE (2) : au sujet de ces accords entre la Chine – qui tient le couteau par le manche – et la Suisse, il faudrait réfléchir plus longuement au signal faible que constitue la mise en cause du laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK) par les autorités chinoises. Prétexte : une affaire (pour l'instant supposée) de corruption et de pots-de-vin. Tout permet de penser que Beijing a décidé de mettre la pression sur les marques occidentales, sous les prétextes les plus moralisateurs du monde [et sans la moindre infraction aux règles du libre échange, qui excluent ce genre de dispositions réglementaires]. L'enjeu reste la reconquête de l'opinion. Pour l'instant, les marques horlogères ont échappé à cette persécution organisée, mais il ne serait pas étonnant que les flagships des maisons suisses commencent à recevoir la visite d'inspecteurs chinois en mission de contrôle approfondie : quand on cherche, on trouve...
 
◉◉ CHINE (3) : toujours non officiel et non autorisé, mais rapporté par une source de Shanghai. Il semblerait que le nouveau pouvoir chinois soit décidé à reconsidérer le laxisme dont il fait preuve pour les montres achetées hors taxes par les touristes chinois et rapportées en Chine. Il faut s'attendre à une campagne d'information à ce sujet puis, logiquement, à une « campagne de rectification » qui fera comprendre aux récalcitrants que la fin de la récréation a sonné. Cette nouvelle sévérité douanière est attendue à la rentrée, avant la promulgation de la nouvelle loi-cadre sur le tourisme, prévue pour octobre...
 
 
◉◉ JAEGER-LECOULTRE : faut-il s'adapter aux goûts d'une clientèle locale jusqu'à en perdre tout repère identitaire ? Certaines marques ont succombé à cette attraction fatale en Chine, jusqu'à rebuter leurs publics européens à force de dragons (ci-dessus : le Dragon blanc de Grieb & Benzinger), de serpents, d'éditions en 88 exemplaires et d'adaptations aux poignets asiatiques. Que se passerait-il demain si le marché indien tenait les promesses qu'il refuse de tenir depuis quinze ans ? La série limitée indienne de Jaeger-LeCoultre – une « Rendez-Vous Bi-Color » – en donne une idée pas très réjouissante : à la marque près [encore une fois, il suffit de faire le test en enlevant la marque du cadran], on se trouve en face d'un succédané stylistique des collections locales de Titan ou de Sonata. Pas sûr que l'opportunisme marketing soit la meilleure affirmation de soi...
 
 
◉◉ CHRONOMÉTRIE : intéressante expérience tentée pour Revolution par le chroniqueur David Chokron, qui a porté sept montres pendant une semaine [lourd sur les deux bras !], ce qui constitue un banc-test inédit au porter. Il s'agit de montres strictement de série, non préparés spécialement pour l'occasion. Les résultats sont édifiants (présentation vidéo) : après une semaine d'activités en temps réel, les dérives sont de + 01 mn 19 secondes pour une montre H. Moser & Cie,  un retard de 01 mn 05 s. pour Omega (Seamaster), une avance de 53 s. pour une Rolex vintage (35 ans d'âge), 25 s. d'avance pour un double tourbillon Rober Dubuis, 15 s. d'avance pour un tourbillon Jaeger-LeCoultre et 7 s. d'avance pour une Zenith Espada. La montre gagnante est le tourbillon chronographe Franck Muller, qui n'affiche que deux secondes de retard après une semaine au porter, soit une dérive d'environ 8 secondes par mois : pour un tourbillon à complication annexe, c'est impressionnant...
 
◉◉ Gc (GUESS) : grosse promotion de Gc (les montres Guess en version Swiss Made) à l'occasion des Fêtes de Genève, avec une opération coup de poing sur les tramways et les autobus de la ville. « Réalisez vos rêves ! » met en scène les images d'une campagne signées par le jeune photographe Pino Gomes (ci-dessous). Elles affichent le moment personnel de Smart Luxury de personnalités dynamiques , qui ont choisi une carrière de rêve, de passion et qui incarnent leurs œuvres. un univers à découvrir à la boutique Gc sur les quais...
 
 
◉◉ FESTINA : le pari pris par Festina avec Richard Virenque, consultant très consulté sur le Tour de France (Eurosport et les radios) s'annonce finalement payant. Devenu chronométreur officiel de la Grande boucle, Festina s'offre une visibilité supplémentaire – et exceptionnelle – avec le toujours populaire champion français, désormais admis comme une sorte de « victime du système » [la position victimaire est toujours médiatique payante]. Personne n'a pu oublier ses sept maillots à pois, toujours sur ses épaules – contrairement aux sept maillots jaunes de Lance Armstrong. Les ventes des Chronobike Festina vont très fort en exploitant le pédalage de Richard Virenque (vidéo ci-dessous sur Eurosport). « Résultat : le taux de notoriété de la marque aux 5 millions de montres vendues dans le monde chaque année a explosé pour culminer aujourd'hui à 90%. Les études réalisées sur le Tour la classent au premier rang en exercice de mémorisation assistée, au huitième en mémorisation spontanée derrière sept sponsors d'équipe, beaucoup plus cités que les simples partenaires du Tour. Un résultat exceptionnel » (citation : AFP)...
 
◉◉ LIQUIDE : inquiétudes en Suisse à propos du nombre croissant de billets de 1 000 francs suisses qu'on retrouve sur le marché ! Apparemment, c'est presque normal : non seulement les Suisses adorent payer en liquide, mais ces billets sont abondants et très bien acceptés par les commerçants [ce qui n'est pas le cas des billets de 500 euros dans les pays de l'Union européenne]. Explication possible à cet afflux : la liquidation de nombreux comptes bancaires off-shore détenus par des non-résidents, auxquels les banques suisses ne laissent plus le choix de la fermeture du compte sans présentation d'un document fiscal attestant de la déclaration du compte en question dans le pays d'origine. Les sommes ainsi « libérées » sont remises en grosses coupures à leur propriétaire : sachant d'un million de francs suisses ne représente qu'un pile de 10 cm de haut et ne pèse qu'un kilo, calculez la hauteur de ces « clarifications » fiscales, avant tout destinées à donner bonne conscience aux banques suisses avant que les pays européens ne prennent des sanctions (source : Swissinfo)...
 
◉◉ ICE-WATCH : c'est la BD horlogère de l'été, une collection Bewatch dont les cadrans reprennent un dessin emblématique du dessinateur belge Bart Verheyen. Accessoirement, on remarquera que les couleurs sont celles de la Belgique, patrie de la bande dessinée. Ice-Watch fait ainsi son entrée dans l'univers des marques sensible à l'art contemporain et au design des nouvelles générations : on peut s'attendre à d'autres séries « artistiques »...
 
 
 
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