PICTOCHRONIQUES #243
« Le mouton passe sa vie dans la peur du loup, mais, à la fin, c’est le berger qui le mange ! »
Pour mieux résister » à la morosité de ce premier trimestre 2025, voici le 243e épisode de nos pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à la sagesse populaire géorgienne pour le proverbe qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, dont les pires ennemis sont aux commandes de pilotage ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
