PICTOCHRONIQUES #262
« Ce qui paraîtra bientôt le plus vieux, c’est ce qui d’abord aura paru le plus moderne »
Pour bien profiter de ce printemps horloger 2025, voici le 262e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain français André Gide (1869-1951) pour la citation de ses « Faux-Monnayeurs » (1925) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
