EBEL
Peut-on faire confiance à une marque qui se relance pour la cinquième ou la sixième fois en quinze ans ?
Ebel, c’est un peu l’Arlésienne (celle de la nouvelle d’Alphonse Daudet) : la marque occupe les conversations, elle parle, mais on ne la voit guère sur les marchés. On attend son retour, inlassablement prédit, mais elle n’est jamais dans le générique. À la fin, on a du mal à y croire, mais…