UN DERNIER TANGO À PARIS
Pourquoi la renaissance d’une haute horlogerie purement française est-elle une mission quasiment impossible ?
La débâcle chez Péquignet (une histoire de saucisse qui se termine en eau de boudin) repose la lancinante question d’une « haute horlogerie » tricolore, capable de renouer avec les riches heures des grandes mécaniques à la française. L’espoir fait vivre, mais les tentatives s’avèrent sempiternellement désastreuses. S’agit-il d’une malédiction ontologique ou ne serait-ce pas plutôt que nous nous y prenons comme des manches ?