PICTOCHRONIQUES #254
« On me dit à présent que ces mots n’ont plus cours, qu’il vaut mieux ne chanter que des chansons d’amour »
Pour bien entamer ce printemps horloger 2025, voici le 254e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand auteur-compositeur français Jean Ferrat (1930-2010) pour la citation de sa chanson « Nuit et brouillard » (1963) qui compose le titre de cette pictochronique. Lla suite du couplet est intéressante : « …Que le sang sèche vite en entrant dans l’histoire, et qu’il ne sert à rien de prendre une guitare ». C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
