PICTOCHRONIQUES #205
« La raison, c'est la folie du plus fort. La raison du moins fort, c'est de la folie »
Pour entamer cette semaine de Noël, 205e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand dramaturge français Eugène Ionesco (1909-1994) pour la citation de son « Journal en miettes » (1993) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…