REPÉRAGES #185-2023 (accès libre)
Sept montres qui prennent les temps de canicule du bon côté de l’été

LONGINES Hydroconquest GMT

La collection HydroConquest est une véritable référence en matière de montres sportives. Les nouveaux modèles sont animés par un mouvement GMT Longines exclusif qui permet d’indiquer l’heure dans deux fuseaux horaires. Il est équipé d’un spiral en silicium et de composants novateurs amagnétiques qui rendent ce calibre résistant aux champs magnétiques plus de 10 fois au-delà de la norme iso 764. L’HydroConquest GMT se distingue également par son boîtier de 41 mm de diamètre en acier inoxydable à fond et à couronne vissés. Ce modèle est doté d’une nouvelle lunette crantée unidirectionnelle en céramique bleue avec capsule luminescente. Le cadran est bleu. Cette version est habillée d’un bracelet en acier inoxydable ou d’un bracelet en caoutchouc bleu.

JUNGHANS Meister fein Kleine Automatic

Les nouveaux modèles Meister fein Automatic de Junghans entourent votre poignet de couleurs joviales et d'une irrésistible joie de vivre. Les montres réunissent des couleurs expressives avec la finesse des lignes, des détails élégants et un équipement haut de gamme. Extravertis, créatifs et colorés - c'est avec ces atouts que les modèles dans les variantes pétrole & bleu arctique, vert mousse & vert pomme et mûre & rose attirent tous les regards. En fonction de l'incidence de la lumière, le cadran solaire bombé scintille dans une autre nuance. Les index allongés et l'intégration verticale du logo à six heures offrent une esthétique moderne et rectiligne. L'index de douze heures comprenant huit diamants sertis, brille d'un éclat précieux tout en s'intégrant dans la symétrie claire. Les bracelets en cuir assortis au cadran complètent l’aspect à la fois harmonieux et expressif des tons des index et de l'affichage de la date de ce trio de montres. De plus, un coup d'œil à l'arrière du boîtier montre que les modèles ne se contentent pas de séduire par leur apparence : ici, le fond en verre ergonomique permet d’apercevoir le mouvement automatique avec ses décorations. Grâce aux dimensions en vogue du boîtier de diamètre de 39,5 mm, un verre saphir traité antireflet biface, son étanchéité jusqu'à 5 bar et avec ses bracelets à dégagement rapide quick-release, ces garde-temps rappellent toutes les facettes colorées de la vie. Expressive, détaillée et sophistiquée : la nouvelle Meister fein Automatic annonce la couleur – et veille à la joie de vivre au poignet.

MEISTERSINGER Perigraph 38 mm et 41 mm

Offrant une lecture alternative de l’heure par ses montre à mono-aiguille, MeisterSinger accompagne l’arrivée imminente de l’été indien en introduisant une série limitée de son modèle Perigraph. Distinctif par son disque de date ouvert à 360°, audacieuse par son bracelet en cuir vintage d’un jaune vif, ce garde-temps automatique est proposé en deux tailles de diamètre : 38 mm et 43 mm. Chacune est éditée à 100 exemplaires pour le monde. Mettant en lumière l’anneau circulaire de la date par la finition soleillée du cadran, l’ensemble paré d’un bleu lumineux présente une orchestration dynamique des informations. Assurant une visibilité simplifiée, un repère triangulaire, placé à 12 heures, facilite la lecture de la date du jour. Également colorés d’un jaune vif, les marqueurs horaires sont animés par une seule aiguille, informant de l’heure et des minutes via 144 segments de 5 minutes. Complice par sa couleur vitaminée, le bracelet en cuir vintage confère au modèle une allure plus décontractée tout en affirmant son caractère différentiant. Pour une apparence plus discrète, cette série limitée peut bien sûr être combinée à un bracelet cuir plus classique ou associée à une maille milanaise. Embarquant un calibre mécanique à remontage automatique de facture suisse doté d’une réserve de marche de 38 heures pour la version 43 mm (Sellita SW 200) ou de 42 heures pour la version 38 mm (Sellita SW 300), ce nouveau garde-temps MeisterSinger laisse entrevoir la beauté de ses rouages par un fond de boîte transparent. Gravée sur le verre, l’inscription X/100 souligne l’exclusivité du modèle. Pour renforcer son caractère unique, un nom, une dédicace ou un message personnel peut-être également gravé, à l’identique de la majorité des pièces MeisterSinger. Cette montre devient d’autant plus précieuse aux yeux de son porteur. Même après 15 ans, la MeisterSinger Perigraph avec son boîtier de 43 mm reste toujours dans l’air du temps. A la demande générale, la maison horlogère allemande a introduit en collection cette montre dans un diamètre de 38 mm. Fort du succès de ce lancement au printemps dernier, MeisterSinger a donc décidé d’éditer cette série limitée dans ces deux versions. Pour laisser le plaisir du choix aux adeptes d’une approche détendue du temps.

LEDERER Central Impulse Chronometer or rose

Après avoir remporté le Prix de l’Innovation au Grand Prix d’Horlogerie de Genève 2021, ce chronomètre à haut rendement et à échappement révolutionnaire s'installe aujourd’hui dans une boîte de 44 mm déclinée dans une version en or rose 18K sur cadran ouvert gris-noir Black Rhodium. À l'intérieur, le calibre hors pair, plusieurs fois primé de Bernhard Lederer associe un échappement d'un type nouveau à force constante et un double train de rouages. Cette dualité se distingue par deux aiguilles des secondes parfaitement synchronisées – unique et jamais vu dans l’industrie - avançant en sens contraires l’une de l’autre, visibles au sein de deux ouvertures entrelacées formant un majestueux huit. L'architecture du mouvement et ses performances sont servies par une exécution et des finitions raffinées et travaillées dans le moindre détail, à l’image du perfectionnisme caractérisé par Bernhard Lederer.Après une réception admirative des experts lors de la présentation initiale du concept en septembre 2020, et la vente en quelques semaines des deux premières séries en 2021, le Central Impulse Chronometer de la maison Lederer Watches se dévoile aujourd’hui dans une ultime version strictement limitée à 25 exemplaires pour définitivement clôturer ce qui restera dans l’histoire de la Haute Horlogerie, comme l’un des projets chronométriques les plus exigeants de ces dernières décennies. Le Lederer Central Impulse Chronometer est proposé dans une boîte de 44 mm de diamètre pour 12,2 mm d'épaisseur, un profil affiné par ses deux verres chevés qui soulignent la finesse de la silhouette de ce chef d’œuvre horloger. Les ouvertures symétriques dessinée en « 8 » sur l’exceptionnelle mécanique en mouvement souligne également une vision résolument artistique du temps qui passe, marqué par deux aiguilles synchronisées progressant en sens opposés. Ces cercles entrelacés apportent également un message symbolique d’harmonie, d’infini et de renaissance voire de chance et de prospérité pour de nombreuses cultures. Il y a quelque chose de très particulier dans le travail de Lederer, cette symbiose entre l'horlogerie vécue et la « rigueur allemande », qui se reconnaît et se mesure dans les produits. On a même parfois l'impression que là où la plupart des horlogers aurait considéré le travail terminé une fois le prototype fonctionnel, pour lui, la partie passionnante de perfectionnement ne fait que commencer.

Pendant la phase de prototypage, Bernhard Lederer avait noté un fait certes marginal, mais néanmoins dérangeant pour lui : malgré la présence d’un remontoir d'égalité dans chacun des deux trains d'engrenages indépendants, l’horloger constatait une légère augmentation de l'amplitude d'oscillation du balancier vers la fin de la marche, induisant un infime écart de marche. Pourquoi cette amplitude croissante en fin de réserve de marche ? Parce que lorsque le couple délivré par le ressort de barillet faiblit, la pression des dents de la roue de remontoir sur les palettes de l'ancre du remontoir d’égalité est réduite. De facto, la résistance au déclenchement du remontoir diminue, donc davantage de force résultante est ensuite transmise à la roue d'échappement. L'amplitude augmente. Pour y remédier, Bernhard Lederer a re-imaginé le remontoir. Traditionnellement, il est équipé avec une roue avec des « dents de scie ». C’est ce que la littérature horlogère traditionnelle a toujours préconisé. C’est donc ce concept pour lequel Bernhard Lederer avait spontanément opté. Mais, à l’usage, l’horloger a pu voir que c’est précisément ce contact entre roue de remontoir et ancre qui devait être modifié pour gommer presque totalement l’erreur d’amplitude associée à la fin de la réserve de marche. À présent, une roue à denture normale entraîne désormais un pignon sur l'arbre duquel est montée une aile à deux bras, qui est libérée toutes 10 secondes par la fourchette du remontoir pour une demi-rotation. Le résultat, en termes d’efficacité chronométrique, a été immédiat : la résistance au déclenchement a été réduite d'un facteur 10, idem le rapport entre roue et pignon, ce qui a considérablement augmenté l'efficacité du remontoir, mais surtout rendu la différence de résistance au déclenchement négligeable. Aujourd'hui, il n'est plus possible de détecter ni même de mesurer une variation d'amplitude. Le Central Impulse Chronometer maintient une amplitude constante pendant toute la durée de la marche. Sa régularité est quasiment parfaite. Pour optimiser la précision de marche Bernhard Lederer a installé ces deux roues d’échappement au bout de deux trains de rouage distincts, chacun muni de son propre remontoir d’égalité de 10 secondes. En lissant la force motrice de manière extrêmement fine, en optimisant la géométrie des pièces d’échappement, en allégeant ces composants gourmands en énergie et en ramenant les frictions de l’échappement à la portion congrue, Bernhard Lederer atteint un degré de perfectionnement horloger rarement vu. En rendant les deux roues d'échappement indépendantes l'une de l'autre, il les a libérées. Cette sophistication réside également dans le fait que les deux aiguilles de seconde, reliée chacune à une roue d’échappement, sont synchronisées en permanence, c’est du jamais vu jusqu’ici dans l’industrie horlogère. Elles ne montrent aucune dérive l'une par rapport à l'autre. Enfin, la précision de chaque montre est telle, que le comportement des roues d'échappement a été observé à l'aide de caméras à haute vitesse, des essais ont été réalisés avec différents matériaux, des appareils de mesures spéciaux ont été développés pour pouvoir mesurer chaque amplitude du balancier pour connaitre le résultat absolument juste. Chaque découverte qui en a résulté a été comme une porte qui ne s’était jamais ouverte, et qui a permis de voir ce qui n'avait jamais été vu auparavant. Une raison suffisante pour intégrer ces nouvelles connaissances dans le développement et le perfectionnement du calibre qui équipe cette collection, limitée à 100 pièces au total. Chaque montre est livrée, attestée par certificat chronomètre.

ALPINA Alpiner Heritage Carrée Automatic 140 ans

En juin dernier, Alpina dévoilait pour ses 140 ans une pièce qui fit date : l’édition de 28 montres animées de l’authentique Calibre 490 à remontage manuel daté de 1938, restauré et proposé dans une boîte en argent. Pour en assurer la continuité, Alpina a décidé de créer deux variations similaires dotées de l’un de ses mouvements contemporains, le calibre mécanique à remontage automatique AL-530. Sur un cadran noir ou argenté, avec une petite seconde, ces nouvelles Alpiner Heritage Carrée Automatic 140 Years s’inscrivent en collection courante et restituent l’esprit Art Déco de leur inspiratrice originelle. Ils proposent une boîte rectangulaire minimaliste, une minuterie « sector dial » typique des années 30 accompagnées de chiffres arabes d’époque, d’aiguilles dauphines et, bien sûr, du logo Alpina d’origine. Deux créations vintage et authentiques qui poursuivent l’écriture des 140 ans d’une maison en perpétuel mouvement. S’inspirer de l’histoire horlogère, c’est bien. Puiser dans son propre patrimoine, celui qui a contribué à composer l’histoire en question, c’est mieux. C’est la démarche qui a présidé à la réalisation des deux Alpiner Heritage Carrée Automatic 140 Years qui entrent aujourd’hui en collection. Elles prennent la suite naturelle des deux séries très limitées de seulement 14 pièces qui furent récemment éditées dans une boîte en argent, avec leur authentique mouvement mécanique à remontage manuel d’époque de 1938, le calibre 490. Leur histoire, c’est celle d’une référence de 1938 dont le mouvement et la conception étaient à la croisée de deux chemins fondamentaux de la montre-bracelet naissante : d’une part, une forme et un niveau de finition de haut rang qui témoignent de l’élégance de pièces de standing ; d’autre part, des innovations qui attestent de la volonté d’Alpina de se projeter dans l’univers de la montre résistante et robuste, telle que la maison les conçoit de nos jours. Le tout dans une esthétique précieuse et soignée fidèlement restituée dans la nouvelle Alpiner Heritage Carrée Automatic 140 Years.

Aujourd’hui, ces deux pièces se trouvent au même carrefour qu’il y a 85 ans, avec un mouvement automatique qui offre toutes les garanties de robustesse et précision d’une montre moderne, au sein d’un combo boîte & cadran qui exprime une égale exigence de finition et d’élégance. Chaque déclinaison reprend l’esthétique des deux séries limitées originales, avec les optimisations qui leur permettent de s’adapter aux nécessités du quotidien moderne. Leur boîtier a été légèrement élargi, de trois millimètres en moyenne, tout en restant dans les proportions d’époque, avec 32,5 x 39 mm, pour seulement 9,71 mm de hauteur. La silhouette est élégante, idéale pour les hommes comme pour les femmes. Pour des raisons de facilité d’usage et d’entretien au jour le jour, ces deux boîtes sont à présent en acier inoxydable, avec verre saphir convex anti-reflets. Le calibre mécanique à remontage automatique AL-530 qui s’y niche, conçu et optimisé au XXIe siècle, visible par le fond ouvert, est garant de 38 heures de réserve de marche et cadencé à 28'800 alt./h. Chaque pièce affiche les heures, minutes et petite seconde, logo Alpina d’époque, minuterie « chemin de fer » et se porte sur un bracelet autruche à boucle ardillon. Elles affichent néanmoins deux identités propres. Sur la première version, le cadran est noir et orné de chiffres arabes pleins avec une petite seconde circulaire. Les aiguilles sont beiges. Sur la seconde, la composition est inversée : le cadran est argenté, les aiguilles noires, les chiffres arabes évidés et dans une police plus droite chère aux Années Folles, tandis que la petite seconde est carrée. Deux étonnantes constitutions en miroir, fortes et singulières, qui font la part belle à l’élégance d’antan, aujourd’hui passée dans les mœurs mais largement définie par Alpina, maison créée en 1883 et qui fête ici ses 140 ans.

BYRNE GyroDial Zero pink gold

A l’occasion des Geneva Watch Days 2023, un an tout juste après la création de la marque, Byrne Watch présente la Zero Pink Gold et son édition limitée sertie de diamants. Entre sophistication et design à l’esprit industriel, c’est ce que propose Byrne Watch avec ce modèle au style racé, mis en valeur par le plus élégant et doux des matériaux, l’or rose. La Gyro Dial Zero représente le point de départ de la création de la marque. Une vision, un mouvement, une animation singulière, ludique, si simple en apparence, et pourtant... compliquée à développer et jamais encore vue en horlogerie. La marque Byrne Watch a été lancée il y a tout juste un an, dans le cadre des Geneva Watch Days 2022. Et depuis, de grands détaillants au Japon, aux Etats-Unis, au Canada, en France ont reconnu dans cette montre et dans la marque,tous les attributs d’une horlogerie indépendante créative, dynamique, agile et active.L’équipe de Byrne Watch - avec à sa tête John Byrne, le créateur passionné, et Claire Byrne, CEO de l’entreprise à ses côtés - nourrit une vision long-terme, avec en fil conducteur, leur concept unique : une montre qui change tous les jours de cadran. Tous les soirs à minuit ou à midi, fluides et rapides, les quatre indexes du cadran – sous la forme de petits cubes pivotants à 3H, 6H, 9H et 12H – se transforment et offrent une nouvelle apparence. La Byrne Gyro Dial offre à son porteur le sentiment d'une montre chaque jour différente, ou même de changer son cadran en un instant. D’où la devise de la marque : « One watch, Four faces ». Tout juste un an après la création de la marque, Byrne Watch a le plaisir de présenter le modèle Zero dans une nouvelle version plus précieuse, en or rose qui lui confère un effet doux et scintillant, contrastant avec le design industriel de la montre. Fidèle à son concept unique d’origine, la Zero Pink Gold est une montre qui change de cadran tous les jours, à minuit ou à midi, avec ses quatre indexes à 3H, 6H, 9H et 12H – fluides et rapides - qui se transforment et offrent à chaque fois une nouvelle apparence à l’image de la devise de la marque : « One watch, Four faces ». Racée et élégante à la fois, la montre incarne profondément les valeurs de la marque, offrant tous les atouts incontournables d’une montre Byrne, alliant design et complication singulière, lisibilité, précision, fiabilité et bienfacture artisanale. Sous des apparences trompeuses de simplicité, la singularité et l’originalité de son cadran allié à une boite en or rose ouvrent une nouvelle forme de liberté créative, un nouvel espace d’expression plus raffiné peut-être encore. Ce n’est pas faire « différent », mais au contraire apporter une touche de sophistication à un concept fort et déjà immédiatement reconnaissable. Tout y est question ici de contrastes, de niveaux, de reliefs qui se joue des ombres et des reflets.

Mis à nu, dévoilé, le mouvement de la Zero est mis en lumière, et devient le cadran de la montre. Multiples variations de gris, les composants se révèlent et contrastent avec l’or rose de l’habillage et de ses indexes. Ponts, vis, platine, cubes amovibles traités or rose 5N, la Gyro Dial Zero cultive un idéal de beauté, offrant au porteur la pleine vision de la belle mécanique dont les codes de bienfacture ont été respectés à chaque étape de sa conception et de sa fabrication. Combinaison de finitions sablées et polies, contraste également entre les chiffres « sport » au rendu brut avec la douceur de l’or rose, lunette dont la creusure a représenté une difficulté technique supplémentaire à usiner, la couronne est toujours gravée du chiffre 1, comme le point de départ de la création de la marque. La conception de la montre privilégiant la légèreté au porter, la boite en or rose 18K comporte un fond en titane pour réduire le poids de l’ensemble. Seulement 60 grammes au total et un aspect bicolore qui renforce les contrastes.L’aspect industriel « openwork » se marie à la perfection avec l’or rose. Les quatre cubes, pièce maitresse de la complication, sont réalisés en or rose 5N, de même que les aiguilles. Enfin, la montre est équipée d’un bracelet en rubber noir ‘grainé balistique’ doté pour la première fois d’une boucle déployante, renforçant encore la sophistication de l’ensemble. Au cœur de la démarche de Byrne Watch : l’esthétique encore et toujours, alliée à la quête d’excellence. Cela dans un style épuré, résolument contemporain, tout en apportant le plus grand soin à chaque détail. Chaque matin selon vos envies, vous avez la possibilité de choisir parmi quatre styles différents sur une montre. Vous pouvez ainsi opter pour des chiffres romains, des chiffres arabes, invisibles, ou un cadran Sport arborant des chiffres rappelant les maillots de vos équipes favorites, rehaussés de SuperLuminova. Grâce à un mouvement spécialement conçu, Byrne Watch a créé une montre innovante avec un cadran qui exprime une humeur nouvelle chaque jour. À minuit ou à midi, voire à votre demande, les quatre indexes du cadran de la Gyro Dial Zero se métamorphosent grâce à des cubes rotatifs, offrant un changement instantané. Sous l’impulsion de John Byrne son créateur, trois années de recherches et développement en Suisse à Fleurier dans le Jura suisse ont été nécessaires pour donner naissance à cette complication animation brevetée. Le calibre 5555, a été entièrement redessiné pour la Gyro Dial Zero. Le mouvement/cadran aux finitions à la main présente une esthétique contemporaine et très racée. Avec cette mise à nu du mouvement, John Byrne transmet un message contemporain démontrant qu’il n’est pas nécessaire de présenter un mouvement exclusivement squelette pour être inventif. Aller plus loin et mettre en exergue la volonté première de John Byrne, lorsqu’il avait en tête, il y a plus de cinq ans, la vision de ce que serait sa montre rêvée. Nous y sommes aujourd’hui avec l’hyper customisation de la Zero Pink Gold. Voici la Zero Pink Gold sertie Diamant : une édition limitée à seulement 10 pièces. Un modèle or rose avec ses indexes sertis de quarante « Diamants noir » et « Diamants blancs » en forme triangulaire, « chiffre sport » et « chiffre fantôme ». Détail et précision encore une fois pour ce travail de sertissage. En effet, une attention méticuleuse ainsi qu’une précision sans faille est requise. Chaque diamant est minutieusement serti, un processus qui confère son achèvement à l'ensemble. La moindre imperfection dans le placement d'un seul diamant se traduirait par la perte de la parfaite harmonie de l'ensemble, nécessitant ainsi la réitération complète de cette opération dès son commencement. Montre sobre et épurée pendant la journée, précieuse et scintillante le soir... La Zero Pink Gold Diamond est décidément une montre aux multiples personnalités.

SINN Hunting Watch 3006 (Jagduhr)

Le chronographe avec affichage des phases de la lune : la Jagduhr 3006 est équipée d’une rare complication que nous appliquons sous cette forme à nos montres pour la première fois ici. Il s’agit de l’affichage de la phase lunaire à 6 heures avec un symbole de lune luminescent pour rester bien visible même dans l’obscurité. Pour faire une bonne chasse, il faut au chasseur une vue claire et dégagée ainsi que des conditions d’éclairement suffisantes. Si elles permettent un tir, on parlera d’une bonne luminosité. L’affichage des phases lunaires de la Jagduhr 3006 indique donc quand la lune offrira la clarté nécessaire à l’identification du gibier.

Coordination éditoriale : Eyquem Pons