REPÉRAGES #49-2023 (accès libre)
Sept montres qui voient plus compliqué, plus grand, plus fort et plus loin que les autres

LOUIS MOINET Impulsion

Abraham-Louis Breguet et Louis Moinet n’étaient pas que des amis proches, mais également des pères fondateurs de l’horlogerie. Le premier a inventé le tourbillon, le second le chronographe. Aujourd’hui, Les Ateliers Louis Moinet puisent dans un creuset de créativité moderne pour réunir ces deux complications majeures sous un jour nouveau, propre à générer de fortes émotions. L’idée d’assembler le chronographe au tourbillon n’est pas nouvelle. Par contre, c’est son caractère original et audacieux qui le différencie des réalisations précédentes. Le point de départ a été le chronographe entièrement visible côté dessus, le premier de son genre jamais réalisé. A cela s’ajoute la magie du tourbillon. Le résultat est impressionnant : un spectacle inattendu s’offre à vos yeux. Une simple pression active le mécanisme du chronographe qui se lance dans la mesure de temps courts, et complète la ronde aérienne du tourbillon volant, dont la cage décentrée effectue une révolution par minute. Cette création a été baptisée Impulsion car ce nom met en valeur l’énergie qui transmet la vie au chronographe et au tourbillon afin de coupler leur effet visuel et créer un « show » intégral. Le calibre maison Memoris est porteur de l’ADN de Louis Moinet, notamment avec sa roue à colonne, son embrayage horizontal classique et son mono-poussoir. Préserver son caractère a donc été notre première mission. Cependant, tout ne s’est pas fait dans la facilité. Le mécanisme compte 301 composants, dont de nombreux ont dû être entièrement repensés et refabriqués. Des innovations majeures ont été nécessaires pour permettre l’incorporation du tourbillon, en ce qui concerne la création d’énergie par exemple pour assurer suffisamment d’énergie, le remontage automatique a été remplacé par un remontage manuel à double barillet. Le système est dénommé « volte face » car les deux barillets sont disposés en tête-bêche. Ces deux barillets en série se déchargent en même temps, et la réserve de marche est de 96 heures. L’innovation couplée aux très hauts niveaux de performance des mécanismes complexes débouchent sur la beauté d’un art visuel mécanique jamais entrevu.

L’architecture tridimensionnelle de deux mécanismes puissantss’affirme au poignet à travers des finitions haut de gamme réalisées par les artisans de Louis Moinet, en collaboration avec notre partenaire historique Concepto. L’assemblage est réalisé dans nos propres ateliers des Breuleux. Le tout est signé Moinet, horloger indépendant. Impulsion se présente dans un boîtier spécialement conçu à son usage, de manière à souligner l’originalité de son caractère. Racée et unique, sa conception technique et esthétique est particulière. L’âme du boîtier est destinée à accueillir le mouvement et le protéger. Elle est donc réalisée en titane grade 5, matériau au meilleur ratio poids/résistance. Sa légèreté participe tout naturellement au confort au porter. L’âme du boîtier se décline en bleu Moinet ou noir intense, et contraste avec le châssis taillé dans l’or rose 18 carats. Ici également, un évidage des cornes et de la bande de carrure participent autant au vocabulaire stylistique Moinet qu’à la recherche de poids minimum. Un détail particulièrement évocateur est la glace toute en courbes, qui dévoile la puissance du mécanisme et optimise la lecture des indications chronographiques. Quant aux compteurs du chronographe, ils surgissent de manière harmonieuse, afin de s’intégrer efficacement et permettre une lecture rapide. Seules 28 montres de la référence LM-114.40.20 franchiront les portes des Ateliers Louis Moinet à Saint-Blaise. Un chiffre confidentiel, qui signifie que seuls 28 propriétaires seront les gardiens de ces trésors...

VENEZIANICO Nereide Carbonio

Une montre qui prend vie sous les yeux de celui qui la porte, comme si elle avait un visage qui révèle de nouvelles expressions à chaque pas. La magie de la Nereide Carbonio est obtenue grâce au carbone forgé, un matériau composite récemment mis au point et utilisé dans les supercars et le secteur aérospatial en raison de sa combinaison de légèreté, de résistance mécanique et de propriétés anticorrosion. Le tissage complexe des fibres de carbone forme une texture unique qui reflète la lumière de manière différente selon son angle, conférant à la montre une allure dynamique et intrigante. Mais ce n'est pas tout : ce nouveau modèle innove dans presque tous les aspects de l'esthétique de la ligne Nereide. Le boîtier gunmetal de 42 mm en acier inoxydable 316L présente de nouveaux biseaux angulaires polis qui contrastent magnifiquement avec le brossage très fin des surfaces. Les index et les aiguilles ont également changé : ils arborent désormais une forme plus sophistiquée, sans sacrifier la luminescence, grâce au pigment SuperLuminova BGW9. Venezianico présente également un nouveau bracelet en caoutchouc, à la fois souple et résistant, qui a été spécialement conçu pour se fondre parfaitement dans le profil du boîtier. Ce dernier abrite un mouvement automatique suisse Sellita SW200 confirmant ainsi l'attention portée par la marque à la qualité mécanique. L'une des caractéristiques de la marque est l'utilisation du fond du boîtier pour raconter les histoires et les concepts qui ont donné naissance à ses garde-temps. Nereide est en fait le nom d'un sous-marin lancé à Venise en 1913, qui incarne l'idéal de passion et l'esprit pionnier qui inspirent les montres de plongée Venezianico. La fine gravure, qui représente le contour complet du sous-marin dans la partie centrale du fond du boîtier, est la nouvelle version du dessin précédent, qui était resté inchangé depuis le lancement de la société. La Nereide Carbonio trouve sa place parmi les montres de plongée Venezianico en tant que garde-temps à vocation sportive et à caractère décisif, capable de suivre son porteur aussi bien dans les aventures urbaines quotidiennes que dans les explorations les plus audacieuses.

ZENITH Defy Revival Shadow

Pour la dernière-née de la collection Defy Revival, Zenith a imaginé une alternative à l’esthétique de la toute première Defy de 1969, avec une interprétation furtive résolument moderne. S'il existe un précédent historique pour des montres Zenith assombries, des prototypes de travail produits en très petites quantités dès 1970, la Defy Revival Shadow est une œuvre originale moderne basée sur une silhouette vintage. De la même veine que la Chronomaster Revival Shadow qui l'a précédée, la Defy Revival Shadow associe de manière créative héritage du passé et style contemporain, à travers des teintes sombres et des textures subtiles. Depuis la A3642 de 1969, le boîtier angulaire en acier caractéristique de la Defy se distingue par une alternance saisissante de surfaces polies et satinées. Au contraire, la Defy Revival Shadow adopte un look homogène résolument discret. Façonné dans du titane, un métal apprécié pour sa légèreté ainsi que pour sa durabilité et sa résistance à la corrosion impressionnantes, le boîtier de la Defy Revival, très angulaire avec sa lunette à quatorze pans, est entièrement microbillé : la finition mate révèle le gris foncé du titane et met en valeur la géométrie singulière, reconnaissable au premier regard. Avec un choix aussi moderne de tons et de textures pour un design qui date de 1969, Zenith souligne encore plus le fait que sa ligne Defy était très en avance sur son temps. Des décennies plus tard, la silhouette demeure tout-à-fait contemporaine et à proprement parler audacieuse. Première pour Zenith et son emblématique bracelet « échelle », conçu par la célèbre société Gay Frères en exclusivité pour la marque en 1969, les maillons et le fermoir sont en titane et agrémentés de la même finition mate que le boîtier. La légèreté du titane améliore le confort et l'ergonomie d’un bracelet qui a déjà fait ses preuves en la matière. Il est prolongé par une boucle déployante revisitée avec un rendu plus ergonomique et plus épuré. Se démarquant des cadrans de couleurs vives en dégradés saisissants de la collection originale de montres Defy, le cadran de la Defy Revival Shadow est noir mat avec un look clairement vintage. Les aiguilles, remplies de Super-LumiNova^@ de couleur crème, et les index carrés à rainures horizontales, posés en appliques, sont polis et rhodiés afin d’assurer une lisibilité optimale.Visible à travers un fond saphir, qui préserve l'impressionnante étanchéité du boîtier à 30 ATM (300 mètres), le mouvement automatique de manufacture Elite 670 est doté d’une fréquence de 4 Hz (28'800 alt/h) et d’une réserve de marche de 50 heures. La Defy Revival Shadow prouve que la forme étrange de la Defy historique était véritablement exceptionnelle et très en avance sur son temps : elle est tout aussi actuelle de nos jours qu'elle l'était en 1969. La Defy Revival Shadow est disponible dans les boutiques réelles et en ligne de Zenith, ainsi que chez les détaillants agréés à travers le monde.

EDOX Delfin Diver Lady Date

Quoique sa manufacture soit établie dans la Suisse romande francophone, la maison Edox persiste à ne pas vouloir communiquer en français avec la communauté francophone des amateurs de montres [le bassin francophone représente 150 millions de locuteurs à moins de trois heures du Jura suisse]. Nous respectons cette volonté en ne présentant pas à nos lecteurs francophones cette Delfin Diver Lady Date et son ambassadrice – ce que nous regrettons, bien entendu…

LOUIS VUITTON Voyager Squelette

Inspirée de prouesses de squelettage telles que la Tambour Curve Tourbillon Volant Poinçon de Genève et la Voyager Tourbillon Volant Poinçon de Genève, la nouvelle montre Louis Vuitton Voyager Squelette révèle l'univers miniature de l'horlogerie mécanique. Alliant tradition et innovation, ce nouveau modèle exclusif invite à un voyage hors du temps. La montre Louis Vuitton Voyager Squelette arbore un design parfaitement fidèle aux codes de la Maison. En témoigne son boîtier d'exception, qui abrite un nouveau mouvement Manufacture : le LV60. Développé dès sa conception dans une forme squelette, et pour intégrer le boîtier Voyager, ce calibre possède des lignes résolument contemporaines qui symbolisent l’étroite relation entre Louis Vuitton et l’architecture. Les ponts – composants essentiels de la structure – répondent non seulement à des contraintes d'ingénierie, mais également à une volonté esthétique d’incarner l’ADN de la Maison. Par l'élégance dynamique de leurs formes d'une extrême précision, ces pièces statiques évoquent les verrières ondoyantes des réalisations de Frank Gehry pour la Maison. Ce calibre squeletté fait ainsi particulièrement écho à la moderne et fascinante silhouette de la Fondation Louis Vuitton et de certaines façades emblématiques de ses magasins. Premier mouvement squelette automatique heure-minute de la Maison, le calibre LV60 a été imaginé et développé par La Fabrique du Temps Louis Vuitton, puis produit
en collaboration avec Le Cercle des Horlogers à Neuchâtel. Fidèle au raffinement architectural indissociable de la Maison, ce mouvement exclusif conjugue mécanisme de pointe et codes stylistiques emblématiques du Malletier. Ainsi, tous les ponts et platines du calibre LV60 ont été habilement taillés au minimum requis pour préserver l’intégrité structurelle, un processus de réduction effectué dans un souci d’esthétique. Façonnés à l'effigie des initiales LV, ces composants captivent le regard par leur géométrie et leur linéarité distinctives et sont magnifiés de divers éléments décoratifs – dont le Monogram réhaussant le pont de rotor. Autre détail remarquable, la roue dentée du barillet est audacieusement ajourée et arbore le nom « Louis Vuitton ».

Empreint d'un même esprit de perfection, le visage de la montredialogue avec les composants rhodiés quasi-monochromes du mouvement. En périphérie, l'anneau bleu foncé des minutes met en valeur les pièces mécaniques, tandis que les deux aiguilles, également bleues, assurent une lisibilité optimale. Le mouvement LV60 relève ainsi d'un savoir-faire minutieux, illustré par les ponts « LV » finement ouvragés, plus sophistiqués que des ponts pleins conventionnels. Rehaussés d’un subtil satiné vertical côté face et d'un sablage côté fond, ces composants chanfreinés confèrent à la mécanique toute sa noblesse, quel que soit l'angle de vue. Le micro-rotor en tungstène orné d’une plaque en or blanc rhodié assure, quant à lui, une remarquable transparence au mouvement LV60. Sa position délibérément excentrée participe également à l'exceptionnelle visibilité des ponts « LV » et des mécanismes intérieurs. Par ailleurs, son efficacité renforcée par un inverseur lui permet de remonter de manière bidirectionnelle le ressort moteur sans effort, malgré ses dimensions réduites. Cette transparence du mouvement dévoile les mécanismes fondamentaux du calibre, et notamment le transfert de l'énergie libérée au train rouage par le ressort moteur situé à 5 heures, culminant sur le balancier et l'échappement à 12 heures. Le barillet ouvert sert également d’indicateur de réserve de marche. Il permet en effet d’estimer le temps de fonctionnement restant : un ressort enroulé en spirale serrée indique un remontage complet, tandis qu'un ressort plus détendu laissant filtrer la lumière invite l’utilisateur à remonter sa montre. L'élégante modernité du boîtier de la Voyager Squelette s'allie au raffinement mécanique de son calibre LV60. Dévoilé pour la première fois en 2016, ce boîtier exclusif aux créations de Haute Horlogerie de la Maison arbore une forme élégante et reconnaissable entre toutes – une silhouette unique, ni ronde, ni carrée, mais incontestablement Louis Vuitton. La Voyager Squelette est proposée en platine, un alliage rare et précieux pur à 95 %, comme l'atteste le poinçon « Pt 950 » gravé au dos du boîtier. Hautement apprécié pour son intense luminosité et sa brillance éternelle, le platine compte parmi les alliages les plus denses de l'horlogerie. C’est pourquoi Louis Vuitton réserve ce métal noble à ses garde-temps les plus exclusifs, notamment ses pièces de Haute Horlogerie et ses éditions limitées. Par sa construction monocoque fusionnant carrure et lunette, le boîtier en platine de la Voyager Squelette met à l'honneur un design tout en nuances qui mêle courbes affirmées et fini contrasté – une véritable prouesse technique pour les artisans de la Fabrique du Temps Louis Vuitton en raison des propriétés mécaniques de l'alliage. Les surfaces polies-miroir illuminent tout le pourtour du boîtier depuis les entre-cornes et se terminent par des finitions brossées à 3 et 9 heures, tout comme les flancs du boîtier et l'anneau entourant la glace. La montre Voyager Squelette est disponible en édition exclusive, limitée à 150 exemplaires.

LOUIS ÉRARD Excellence Marqueterie

Louis Erard continue de réveiller les métiers d’art, avec un regard contemporain et un défi impossible: rendre accessible l’artisanat le plus exclusif, cette fois avec la pratique extrême de la marqueterie miniature sur cadran. Chaque cadran est réalisé à la main, pièce à pièce, par un artisan indépendant, Bastien Chevalier, Sainte-Croix. À cette taille-là, la marqueterie repousse les lignes de sa propre discipline. Avec un motif comme celui-là, la marqueterie devient une folie. Au prix où elle est proposée, cette montre ne devrait pas exister. Tout est au cube dans cette réalisation : la géométrie, la technique, l’innovation esthétique et commerciale. Car tout est neuf. L’artisan n’a jamais réalisé une série aussi importante — 99 exemplaires. Le cadran marqueterie de bois n’a jamais été proposé dans une montre à moins de 4000 francs. Le motif lui-même est une gageure impensable. Cette montre n’existerait pas sans une histoire de rencontre, celle de Manuel Emch, directeur de Louis Erard, et Bastien Chevalier, spécialiste de la marqueterie miniature à Sainte-Croix. Pour Louis Erard, l’objectif, toujours le même, est de rendre les délices et les délires si exclusifs des métiers d’art de l’horlogerie très haut de gamme accessible. Pas seulement en termes de prix, aussi en termes de culture, dans un esprit irréfutablement contemporain. Le damier exprime cet esprit du temps, esthétique, ludique, et piège le regard, dans un trompe-l’œil qui se bombe et se creuse sous la lumière. Louis Erard avait déjà emprunté ce motif une fois, dans une série de 99 montres dédiées au guillochage main. Le défi est encore redoublé sur ce cadran marqueterie. Bastien Chevalier, l’un des rares experts de cet art en Suisse — sinon le seul — reconnait lui-même l’inconscience qu’il y avait à relever le défi : «Le dessin géométrique est ce qu’il y a de plus difficile à réaliser. La précision doit être totale, le motif ne tolère aucune erreur, le moindre écart se voit.»

Chaque facette est découpée à la main, à la scie, dans du bois. Dans des bois : chaque couleur est un bois différent — en l’occurrence du tulipier teinté bleu, trois teintes, et loupe de saule teinté gris —, découpé dans le sens des veines désiré. La découpe doit être d’une précision chirurgicale, au dixième de millimètre, pour pouvoir être assemblées sans que le moindre jour apparaisse entre les pièces de ce puzzle chirurgical. Bastien Chevalier a développé une technique à lui pour réaliser l’exploit : la respiration consciente, comme les maitres du yoga. Le cadran comporte plus de 70 éléments. La série comporte 99 exemplaires. Le travail de patience est extrême. Le temps de réalisation dépasse les limites normales du budget cadran d’une montre à ce prix-là. Une fois découpées, les pièces minuscules sont minutieusement classées, puis déposées à la pointe d’un scalpel, sous binoculaire, et calées sur un premier support. L’assemblage est ensuite encollé sur son bon côté. Le dos est préparé pour être fixé sur la base métallique du cadran, puis la bonne face est délicatement reprise, poncée, mise à l’épaisseur, presque rien, quelques cheveux. Chaque étape est décisive. Il n’y a pas de repentir. Les heures passent. Le premier cadran est achevé, il en reste encore 98 à réaliser. Dans ce modèle très exclusif, Louis Erard met en lumière un métier rare, un métier d’art que la logique commerciale réserve normalement aux collectionneurs avisés. Et marie ce métier à la belle horlogerie. Boîtier moderne aux formes tendues, en acier poli, 42 millimètres de diamètre, glace saphir bombée, étanche à 50 mètres et couronne signature sapin. Bracelet cuir de veau grainé bleu avec points d’attache ton sur ton, doublure bleue Louis Erard et boucle ardillon. Mouvement : automatique Sellita SW261-1 avec fonction heure et minute, visible depuis le fond ouvert. Enfin le choc du prix : moins de 4 000 francs. Une fois encore, totalement inédit sur ce type de finition et à ce niveau d’exclusivité. L’art et la manière de Louis Erard de relever le défi de l’horlogerie contemporaine. D’autres métiers d’art suivront.

SEIKO x Médecins sans frontières Astron GPS Solaire

Seiko présente une édition spéciale de sa montre Astron GPS Solaire en collaboration avec Médecins Sans Frontières (MSF), une organisation humanitaire médicale internationale et indé- pendante. Aujourd’hui, MSF opère dans plus de 70 pays à travers le monde, apportant une aide médicale d’urgence aux populations touchées par les conflits, les catastrophes naturelles ou l’exclusion des soins de santé. Les actions de MSF sont guidées par l’éthique médicale et les principes d’impartialité, d’indépendance et de neutralité. Les activités de Médecins Sans Frontières, dans lesquelles chaque seconde est précieuse, portent une assistance médicale humanitaire rapide et efficace à travers le monde. Des opérations qui exigent une précision ultime à laquelle la technologie solaire GPS avancée d’Astron permet de répondre. La montre Seiko Astron associe la garantie constante d’une précision atomique de +- 1s/ 100.000 ans à l’énergie solaire. Première montre GPS solaire au monde et très simple d’utilisation, Astron s’adapte au fuseau horaire par simple pression sur un bouton en se connectant au réseau de satellites GPS. Elle puise toute l’énergie dont elle a besoin de la seule lumière. Légère et confortable au poignet, elle est conçue avec un boîtier et un bracelet en titane, matériau robuste et résistant aux rayures. La nouvelle Astron s’habille de la couleur rouge symbolique de MSF qui met en valeur le cadran blanc argenté, pour un porté épuré et élégant, complété par une lunette en céramique blanche recouverte d’un verre saphir. La montre s’équipe d’un bracelet supplémentaire en silicone moulé bicolore, lui aussi inspiré par les couleurs blanche et rouge de l’association humanitaire. Ce partenariat est illustré par le fond du boîtier qui porte l’inscription « IN SUPPORT OF MEDECINS SANS FRONTIERES » et la montre est présentée dans un coffret spécifique.

Coordination éditoriale : Eyquem Pons