HORLOTAINMENT #74
« Tout s’anéantit, tout périt, tout passe : il n’y a que le monde qui reste, il n’y a que le temps qui dure »
Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand philosophe et publiciste Denis Diderot (1713-1784) pour la citation de ses « Salons » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…