LE SNIPER DU LUNDI
Un petit salto arrière pour Atlas, un grand frisson pour l’humanité et une lueur d’espoir pour les montres
Après le saut périlleux arrière du robot bostonien (tout petit pas pour l’humanité, grand bond pour la robotique), le match encore imaginaire entre Rolex et Atlas préfigure peut-être de futurs conflits entre les T-800 (modèle 1-01) et les bonnes vieilles montres de poche. C’est peut-être au poignet qu’on a encore moins besoin d’intelligence artificielle : la main des horlogers nous suffit…