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VENDREDI : La menace d'ubérisation qui pèse sur l'industrie horlogère, le triomphe d'un serin qui chantait à pleins tubes et une seconde surnuméraire qui n'arrange personne...

Deux millions et demi de dollars pour 12 mm d'ivoire ornithologique : les grands maîtres suisses du passé n'en reviendraient pas, mais ce canari siffleur a de bonnes chances de revenir à Genève. Le retour au nid aura duré deux siècles ! ▶▶▶ EN RÉSUMÉ (le tout développé après le résumé ci-dessous)Indiscrétions, analyses, informations, enquêtes, rumeurs & murmures


Deux millions et demi de dollars pour 12 mm d'ivoire ornithologique : les grands maîtres suisses du passé n'en reviendraient pas, mais ce canari siffleur a de bonnes chances de revenir à Genève. Le retour au nid aura duré deux siècles !

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EN RÉSUMÉ
(le tout développé après le résumé ci-dessous)
Indiscrétions, analyses, informations, enquêtes, rumeurs & murmures...
 
❏❏❏❏ LES CHAISES MUSICALES DU VENDREDI... 
❏❏❏❏ AMBUSH MARKETING PENDANT LE MONACO YACHT SHOW... 
❏❏❏❏ UNE HORLOGERIE EN PASSE D'UBÉRISATION ? 
❏❏❏❏ LA PRÉ-VICTOIRE DE BRM AU MANS... 
❏❏❏❏ ELISA DANS LA GALLERIA... 
❏❏❏❏ LE CANARI QUI SIFFLAIT POUR LES MILLIARDAIRES... 
❏❏❏❏ LA SECONDE VAGABONDE QUI ÉNERVE LES AMÉRICAINS... 
❏❏❏❏ UNE NOUVELLE BULLE CHINOISE...
❏❏❏❏ ON A RETROUVÉ MOMO LE NETTOYEUR...  
❏❏❏❏ LE PURGATORIUS DE LA NOUVELLE GÉNÉRATION... 
❏❏❏❏ L'ÉNERGIE SOLAIRE POUR RELANCER SWATCH... 
❏❏❏❏ UNE MONTRE DE COLLECTION OU UN SPITFIRE EN ÉTAT DE VOL ? 
❏❏❏❏ SANS PARLER DE TOUTES LES AUTRES INFOS... ❏❏❏❏
 
▶ LE 360° DU VENDREDI
Des informations notées à la volée,
en vrac, en bref et en toute liberté...
 
◉◉◉ (édito) UNE HORLOGERIE MENACÉE D'UBÉRISATION : ce néologisme – à la mode depuis les polémiques sur les néo-taxis Uber – désigne le danger pour toute industrie de se retrouver, brutalement, dans un nouveau paysage, alors que les bases traditionnelles de ses métiers sont en train de disparaître. C'est ce qui arrive aux taxis français aussi bien à la banque internationale, au transport par chemins de fer,  ou aux compagnies aériennes minées par le low cost. Uber, entreprise (californienne) de chauffeurs privés sortie de nulle part, n'a rien contre les taxis classiques : Uber a simplement repensé autrement le besoin de nouveaux services chez les urbains qui souhaitent se déplacer en ville sans leur voiture. Pas un métier qui ne soit aujourd'hui à la merci d'une ubérisation massive de l'économie : les hôtels avec Airbnb, la location de voitures avec Drivy, la connaissance encyclopédique avec Wikipedia, le cinéma avec Netflix ou YouTube, le voyage personnel avec BlaBlaCar ou, demain, l'horlogerie traditionnelle avec... on ne sait pas encore trop qui [peut-être Apple, peut-être quelque autre concept d'objet du temps rupturiste imaginé par une start-up sur Kickstarter, peut-être aussi l'idée d'un jeune entrepreneur qui ne fait que réfléchir aujourd'hui à la R&D préalable à son projet]. Fantastique horizon de cette ubérisation : l'hyper-numérisation de la société, qui multiplie les accès à de nouveaux types de services, instantanés, innovants, dématérialisés et désintermédiés. Les jeunes entrepreneurs de cet univers sont, eux, totalement décomplexés : rompus au jiu-jitsu marketing, ils ont repéré depuis longtemps les défauts et les insuffisances de l'offre actuelle. Il se moquent des rentes de situation et des avantages acquis. Ils ne jouent pas avec la même règle du jeu que les entreprises en place : ils sont les acteurs de la disruption en même temps que les activateurs de mutations dans lesquelles beaucoup perdront tout – mais quelle victoire pour ceux qui survivront [hier, qui misait sur Apple, Amazon, Google ou Facebook ?] ! L'ubérisation, c'est quand les marchés fondent et quand les revenus s'effondrent, alors qu'apparaissent de nouveaux acteurs sur des marchés ébranlés : une situation qui ressemble à celle de l'horlogerie contemporaine, non ? L'ubérisation, c'est quand personne ne veut voir que les prix exigés des consommateurs ont perdu toute signification et quand tout le monde a conscience de la précarité extrême du modèle économique dominant – que chacun sait condamné à exploser en vol. L'ubérisation, c'est quand on réagit par l'arrogance et la suffisance aux propositions des nouveaux concurrents, qu'on s'empresse cependant de suivre et de copier (mal), au cas où et sans la moindre légitimité, ni la moindre réflexion stratégique. L'ubérisation, c'est pour demain pour tout ceux qui ne comprennent pas qu'il faut tout changer pour que rien ne change...
 
◉◉ CHAISES MUSICALES  Thomas Bouillonec (ex-Piaget Chine) reste chez Piaget, mais il vient remplacer Larry Boland à la tête du marché américain...  Sharmila Bertin sera la nouvelle rédactrice en chef de The Watches Magazine, qu'édite Alain Carrier, qu'elle secondait depuis 2010 [pas de nouvelles de Thierry Brandt, qu'elle remplace]...  Roderich Hess (ex-Montblanc, entre autres) prend la direction des ventes de mouvements chez Soprod (groupe Festina)... 
 
9368 Scent Flask Made for The Chinese Market◉◉ LE FEU D'ARTIFICES CHINOIS DE SOTHEBY'S À NEW YORK (1) : on pouvait s'attendre à un beau résultat pour la vente Sotheby's de new York (11 juin), dont Business Montres a déjà beaucoup parlé (« Osvaldo en liberté » le 14 avril dernier, avec différents compléments d'enquête le 15 avril suivant et un apport historique décisif le 17 avril). On pensait que l'adjudication allait facilement atteindre et dépasser le million de CHF estimé par la maison d'enchères, mais les 2,5 millions de dollars pour un petit canari chanteur de 12 mm de haut dans son flacon à parfum émaillé (ci-contre), c'est une enchère remarquable, qui prouve à la fois que le marché a encore des ressources mobilisables et que la rareté est toujours payante sous le marteau [au double de l'estimation haute, c'est, accessoirement, un record du monde pour un objet du temps signé Jaquet-Droz]. Nous avions donc raison d'attirer l'attention de nos lecteurs sur cette pièce, que les médias perroquets vous découvrir avec le communiqué officiel de Sotheby's... 
 
◉◉ LE FEU D'ARTIFICES SOTHEBY'S (2) : le reste de la vente était à l'avenant. Le total des seules enchères pour les 22 automates suisses émaillées (voir notre vidéo Sotheby's ci-dessus ou sur notre chaîne images Business Montres Vision) atteint les 6,1 millions de dollars, plus du double de l'estimation moyenne : c'est une valorisation méritée des chefs-d'oeuvre de la micro-mécanique suisse superlativement décorée à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle Jaquet-Droz, Piguet & Meylan, etc.). Sept des dix lots les plus importants de cette vente (par leur résultat sous le marteau) sont de tels objets du temps à automates ! La question qui tue : qui s'est offert ce canari siffleur pour cette somme ? Non pas un oligarque chinois, qui se serait fait un plaisir de ramener le serin dans une cage dorée du musée de la Cité interdite, avec les autres pendules [pas très bien entretenues] sauvées du pillage des collections impériales chinois, mais probablement [non confirmé, mais des indices convergent] le musée Patek Philippe de Genève : on sait que Philippe Stern a une faiblesse coupable pour ces « automates chinois », dont il possède déjà une des plus belles collections du monde... 
 
◉◉ SOTHEBY'S EN VEINE À NEW YORK (3) : la vente elle-même est historique dans son ensemble, avec un total de 12,5 millions de dollars (88,8 % des lots vendus) : c'est un record chez Sotheby's pour une vente non thématique d'objets du temps issus de collections privées. Autres enchères remarquables : 982 000 dollars pour une montre de poche Heures du monde de Patek Philippe, réf. 605 à cadran émaillé (record du monde pour une telle montre de poche), ou 478 000 dollars, quasiment le prix neuf pour une Richard Mille Yohan Blake (RM 59-01 en nanotubes de carbone), modèle qui faisait sa première apparition aux enchères...
 
◉◉ LA CHINE REGONFLE SA BULLE DU CRÉDIT ! On se souvient que la reprise de 2009 [au moment où l'horlogerie plongeait pour cause de crise monétaire internationale de 2008] avait été alimentée par une demande chinoise dopée par les liquidités généreusement octroyées par les banques chinoises, qui avaient ainsi créé une magnifique « bulle du crédit », aussitôt dissipée en montres de luxe et en cadeaux de corruption. Le coup de frein de l'économie chinoise et la nouvelle austérité promue par l'équipe Xi Jinping (sous prétexte de lutte contre la corruption) a crevé cette bulle [entraînant aussitôt un effondrement des exportations horlogères suisses : - 40 % en deux ans], mais le pouvoir central chinois est en train de la regonfler pour relancer l'économie par la consommation intérieure : « Face à une faible demande intérieure, la Chine s'apprête à développer un service de crédit à la consommation proposant de petits prêts sans garantie afin de stimuler la consommation, en particulier dans les groupes de population à bas revenus. (...) Les capitaux privés, les institutions financières chinoises et étrangères et les entreprises internet sont toutes encouragées à établir des sociétés de crédit à la consommation » (source : canal officiel French China). Les dirigeants du Conseil des affaires d'Etat chinois, présidée par le Premier ministre Li Keqiang, espèrent que « ces crédits à la consommation profitant principalement aux personnes à faible et moyen revenus permettront de libérer leur potentiel de consommation ».
 
◉◉ PLUS QUE QUINZE JOURS POUR PRÉVOIR LA SECONDE SUPPLÉMENTAIRE : c'est dans la nuit du 1er juillet prochain que toutes les horloges de cette planète paniqueront à 01:59:59 h, quand cette fatale minute du début juillet durera 61 secondes au lieu de 60. Business Montres (7 janvier dernier) avait déjà évoqué cette seconde intercalaire, ajoutée pour compenser le ralentissement de la rotation terrestre (2/1 000e de seconde par jour) : grâce à cet ajout, l'année 2015 durera 31 536 001 secondes au lieu de 31 536 000 secondes. Négligeable ? Pas vraiment à l'heure de l'interconnexion de tous les systèmes informatiques de cette planète – dont on nous assure – sans nous rassurer – qu'ils ont anticipé et résolu tous les problèmes de l'insertion de cette seconde intercalaire. Une décision scientifique qui ne fait pas l'unanimité. Nous écrivions en janvier : « Toujours pratiques et à l'avant-garde de notre confort technologique, les Américains veulent supprimer cette seconde additionnelle, en coupant tout lien entre l'heure apparente (celle de la rotation de la Terre) et l'heure réelle (celle des atomes de césium qui rythment l'heure atomique) ». Explication : les Britanniques – très attachés à leur heure de Greenwich, base d'un temps UTC lui-même établi à Paris – s'opposent à la suppression de cette seconde intercalaire, en considérant que le « temps civil » relie utilement l'homme au cosmos. Ils se méfient d'un temps « hors sol » qui démoderait définitivement leur heure GMT. Il se peut que 2015 soit l'année d'une décision internationale au sujet de cette seconde vagabonde, qui risque cette année d'entraîner de sérieux flottements sur Internet, sinon dans les GPS qui n'auraient pas été révisés pour se caler sur cet ajout... »
 
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◉◉ AMBUSH MARKETING POUR LE TOP MARQUES MONTRES SUR LE ROCHER DE MONACO : alors que le Monaco Yacht Show reste parrainé par Ulysse Nardin, l'équipe du Top Marques (« salon pour les riches » – vrais ou aspirationnels – qui aiment les yachts, les avions, les voitures et les belles montres) prépare un Top Marques Watches & Jewelry pour les 24 et 25 septembre prochains. Pile pendant le Yacht Show. Au programme : exposition à l'Hôtel Hermitage (salon Belle Époque), en partenariat avec la banque privée du Groupe Edmond de Rothschild, la compagnie de superyachts Burgess, la Société des Bains de Mer, Pieter Van Naeltwijck Real Estate Investments et Monaco Disease Power. Évidemment avec le patronage de S.A.S. le prince Albert II. Cet Top Marques Montres, tenu dans l’un des plus beaux cadres de Monaco [à un jeu de pierre du Monaco Yacht Show, mais dans de meilleures conditions d'exposition] sera ouvert aux visiteurs durant deux journées, avec une soirée cocktail VIP uniquement sur invitation le jeudi 24 septembre. Il semble même qu'un after soit prévu au Casino voisin, où on prépare déjà des enveloppes de jetons-cadeaux pour les invités de la soirée. Les pièces d’horlogerie et de joaillerie seront exposés au cours de cette soirée, pour des invités de prestige conviés par les sponsors et partenaires de Top Marques. Cible : les riches clients du Yacht Show et les clients de prestige de toute la Côte. Première marque à avoir répondu présent : la maison Franck Muller, décidément très active en principauté...
 
Buccellati-Jewelry-2015-Hawaii-777x1024◉◉ EN BREF DE CHEZ BREF, EN VRAC DE CHEZ VRAC (À LA LIMITE DU MICRO-BLOGGING) : quelques informations notées à la volée, parce qu'il faut les connaître, mais sans qu'il soit utile de s'apesantir puisqu'elles parlent d'elles-mêmes... SWATCH : lancement imminent d'une collection de lunettes solaires, Swatch Eyes (fabrication italienne), histoire de compléter l'offre dans les Swatch Stores avec des articles moins coûteux que des montres « suisses » aux prix renchéris par le franc fort...  PUCES NFC : sont-elles ou non si facilement piratables, ces puces NFC qui devraient logiquement envahir les montres suisses d'ici à la fin de l'année ? Le site de référence CNET se pose la question, avec des arguments troublants...  BUCCELLATI : jolie campagne promotionnelle pour cette maison de haute joaillerie italienne (ci-contre). Aussi italianissime qu'élégantissime (normal avec Elisa Sednaoui au guidon, dans le décor de la Galleria Vittorio Emanuelle, à Milan)...  BRM (BERNARD RICHARDS MANUFAC TURE) : la vraie reine du week-end, aux Vingt-Quatre Heures du Mans, c'est bien la manufacture française BRM : une bonne trentaine de pilotes en course portent une montre BRM et six voitures engagées dans la compétition sont soutenues par BRM...  SPITFIRE : dans la série des jouets de garçon pour milliardaires qui s'ennuient, les montres semblent marquer le pas. En revanche, l'objet le plus puissamment signifiant et le plus exclusif pourrait bien être le dernier Spitfire en mains privés, que Christie's proposera aux ench!res début juillet prochain (un site est dédié à ce Vickers Supermarine Spitfire Mk.1—GR-J/P9374, estimé entre 2,3 et 3,9 millions de dollars – ce qui est relativement bon marché, même s'il est plus facile d'exhiber une Richard Mille à son poignet qu'un Spitfire sur son parking d'entreprise)...  VACHERON CONSTANTIN : la polémique commence à enfler à propos de la future « montre-la-plus-compliquée-du-monde », promise par la manufacture pour fêter ses 260 ans le 260e jour de l'année (mi-septembre). Pas facile de s'y retrouver entre les fonctions, les indications et les complications (au sens académique du terme) – de même qu'il va falloir s'accorder sur la distinction entre ces indications/fonctions/complications purement horlogères et les animations mécaniques (non horlogères, de type thermomètre ou autre). Business Montres y reviendra ces jours-ci...  DOMINIQUE RENAUD : l'ancien associé de Giulio Papi (Renaud Papi, groupe Audemars Piguet) finalise actuellement son tour de table pour relancer sur un grand pied sa nouvelle structure horlogère, vouée à la très haute complication (sa dernière apparition dans nos colonnes : Business Montres du 2 septembre 2014)...
 
web_Goldberger_Chiron_C_Mark_Henley_Panos_Pictures-kDV--672x359@LeTemps.ch◉◉ UNE REVUE DE PRESSE RAPIDE POUR LE WEEK-END : quelques articles qui méritent ou qui méritaient qu'on s'y attarde ces jours-ci, à lire en profitant du temps libre de cette fin de semaine... ◉◉ La presse suisse découvre l'existence de « Momo le nettoyeur » (ci-contre) : bonne interview de Maurice Goldberger (Chiron) dans Le Temps, avec une reprise des arguments de son nouveau concept de « restockage collaboratif », déjà présenté aux lecteurs de Business Montres (16 avril dernier)... ◉◉ Toujours dans Le Temps, une non moins intéressante interview de Peter Stas : le patron du groupe Frédérique Constant nous y explique pourquoi « l’horlogerie suisse ne doit pas avoir peur des Américains. Ni des grands groupes électroniques en général. Je peux vous le dire, j’ai travaillé huit ans chez Philips: ils ne comprennent pas la notion d’originalité, de fabrication artisanale. La Suisse s’est construit un énorme savoir-faire en matière de design, de style, de marque et d’image. Ils sont très, très éloignés de cet univers. Cela leur prendrait énormément de temps pour rattraper ce retard. Un exemple? Cette année à Baselworld, plus de 5000 modèles ont été exposés par les horlogers présents. Apple? Ils proposent deux modèles… Donc non, je ne suis pas inquiet du tout. A l’inverse, eux, les groupes américains, devraient l’être davantage. Et ils semblent d’ailleurs être très prudents. Ce n’est pas pour rien que j’ai dû lire et signer des contrats de 200 pages pour notre projet. Et je crois savoir que c’était aussi le cas de Jean-Claude Biver »... ◉◉ Maximilian Büsser (MB&F) le Purgatorius horloger : beau morceau de bravoure d Malik Bahri sur son blog Foudroyante, où il nous raconte – dans son habituel style audiardo-parazien – pourquoi MB&F est « la souris qui se faufile entre les pattes du titanosaure pour se réfugier dans un trou, il y a 65 millions d’années, juste avant que la comète "CrisiasHorologis" ne s’écrase sur les vallées ». Précision : il n'y avait pas de souris il y a 65 millions d'années, mais des proto-mammifères de l'espèce Purgatorius... ◉◉ Juste pour le plaisir des yeux, une magnifique série d'astrolabes, ces ordinateurs d'avant l'informatique : à découvrir sur Kuriositas, qui nous présente en prime une vidéo TED où Tom Wujec nous explique – et on y comprend quelque chose – comment se servir d'un astrolabe (ci-dessous)... ◉◉ Pour faire le plein de « montres de l'été », celles qui font régner la bonne humeur, sans prise de tête, à des prix accessible, ne manquez pas notre chronique Atlantic-tac pour Atlantico : rien que des bonnes idées à suivre...
 
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