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LE SNIPER DU VENDREDI
Vous préférez qu’on vous parle d’abord de la bonne ou de la mauvaise nouvelle ? Elles vont de toute façon dans la même direction...

Optons pour la bonne : oui, il est possible de trouver un peu plus de 2 000 clients, qui vous versent d’avance un peu plus d’un million de dollars pour une montre qu’ils n’ont jamais eu en main. Tout ça grâce aux réseaux sociaux et au financement collaboratif : si ce n’est pas un bel exemple d’ubérisation de l’horlogerie, qu’est-ce que c’est ? La mauvaise nouvelle, ensuite : non, le chemin de croix de l’horlogerie suisse n’est pas fini ! Il ne fait peut-être que commencer : 8 % de baisse des exportations horlogères en janvier, mois qui voit généralement les détaillants restocker pour les fêtes du Nouvel An chinois, c’est un signal très inquiétant. 15 % de baisse pour l’entrée de gamme : les montres connectées ont clairement commencé à grignoter les parts de marché suisses…


••• UN (GROS) MILLION QUI VA BIEN AU-DELÀ DU SIMPLE SYMBOLE (éditorial)
Faut-il se réjouir du succès sur Kickstarter de la montre Swiss Made lancée par LIV Watches (Business Montres du 15 février) ? Oui et non ! Oui, parce qu’une barre symbolique …
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