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WONDER WEEK 2015 #4 : L'ambiance est plombée par la douche froide monétaire et par les mauvaises nouvelles des marchés, mais on y croit encore...

Avant de commencer à parler des nouveautés qui nous plaisent dans les salons de la Wonder Week, il faut quand même se préoccuper des nuages et des cygnes noirs qui encombrent l'horizon. À propos, vous avez entendu parler des derniers « Himalaya d'or » de la haute horlogerie ?  ▶▶▶ EN RÉSUMÉ Indiscrétions, analyses, informations, enquêtes, rumeurs & murmures (développements ci-dessous)... ❏❏❏❏


Avant de commencer à parler des nouveautés qui nous plaisent dans les salons de la Wonder Week, il faut quand même se préoccuper des nuages et des cygnes noirs qui encombrent l'horizon. À propos, vous avez entendu parler des derniers « Himalaya d'or » de la haute horlogerie ?

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EN RÉSUMÉ
Indiscrétions, analyses, informations,
enquêtes, rumeurs & murmures 
(développements ci-dessous)...
 
❏❏❏❏ QUI A TIRÉ LE SIGNAL D'ALARME ET POURQUOI ? ❏❏❏❏ VINCENT GÂTE SES BONS CLIENTS ❏❏❏❏ JOHANN MET LA PRESSION SUR SES TROUPES ❏❏❏❏ OLIVIER A UN FANTASTIQUE CULOT MARKETING ❏❏❏❏ RICARDO EST PETIT CACHOTTIER ❏❏❏❏ QUI SONT LES BISOUNOURS DU SIHH ? ❏❏❏❏ LE CYGNE NOIR QUI S'INVITE À LA WONDER WEEK ❏❏❏❏ WILHELM, ON T'ENTEND MAL ! ❏❏❏❏ RÉVOLUTION À DAVOS ❏❏❏❏ MALIK A LES BOULES  ❏❏❏❏ LE PIQUE-ASSIETTE CHINOIS ❏❏❏❏ QUAND RAKETA DÉFIE LES SERVICES SECRETS DE POUTINE (ci-dessus) ❏❏❏ CARTIER FAIT TREMBLER LES DIAMANTS (ci-dessous) ❏❏❏❏ SANS PARLER DE TOUTES LES AUTRES INFORMATIONS, QUI ONT PLEIN DE CHOSES À NOUS RACONTER... ❏❏❏❏
 
Carier_vibrato 
 LES 7 x 7 DU MARDI
Des informations notées à la volée,
en bref et en toute liberté éditoriale...
 
◉◉ LA VRAIE RÉVOLUTION, C'EST POUR JEUDI. Et ce sera une double révolution. Stay tuned, comme disent les blogueurs américains ! D'une part, la Banque centrale européenne annoncera ce jour-là un certain nombre de mesures réglementaires pour régler quelques problèmes monétaires urgents en Europe : on peut s'attendre au meilleur comme au pire ! Seconde révolution : une piste de réflexion pour la future « bataille du poignet », avec la présentation à Davos, devant les invités du World Economic Forum, du concept WisWatch (apercu indiscret ci-dessous, le tout étant plus ou moins sous embargo), qui n'est pas à proprement parler un projet de montre concurrente des montres suisses, mais plutôt une plate-forme expérimentale (en forme de montre) pour démontrer l'intérêt des puces NFC (sans contact, ni alimentation) pour le stockage de données de sécurité ou de fonctions annexes qui restent à inventer... 
 
WISWatchBusinessmontres
 
◉◉ CYGNE NOIR : pourquoi peut-on considérer que les annonces de la BCE, jeudi prochain, ne seront pas forcément câlines pour l'industrie horlogère ? D'abord, la décision de la Banque nationale suisse (BNS) est un véritable « cygne noir », imprévisible et refondateur, qui ressemble à un signal d'alarme tiré alors que le TGV monétaire battait un record de vitesse ! Le découplage euro-franc suisse a pris tout le monde par surprise : « le maintien de la parité plancher sera poursuivi encore pendant de long mois », expliquait à la mi-décembre le vice-président de la BNS. Il y avait donc urgence – on ne peut considérer les banquiers suisses comme des potaches farceurs et inconscients de leurs actes, même si leur maladresse est ici manifeste. Quelle urgence pour ce freinage en catastrophe ? Forcément une urgence monétaire, la BNS anticipant une décision non moins imprévisible et refondatrice de la Banque centrale européenne (BCE), autorité monétaire de l'Union à laquelle tout le monde prête l'intention de faire marcher la planche à billets dans le cadre d'une nouvelle politique de quantitative easing à l'américaine. Un flux de liquidités qui vont théoriquement – et provisoirement – permettre aux économies européennes (Grèce, France, Italie, Portugal) de se refaire une santé, mais en plombant un euro dont la BNS détient 500 à 600 milliards en réserve (80 % du PIB suisse). Une dévaluation de facto de l'euro ce jeudi ferait perdre à la banque suisse bien plus que les 75 millions théoriquement volatilisés jeudi dernier, en fait moins de la moitié en intégrant quelques gains comptables sur les obligations en euros. La bNS sait quelque chose qu'elle ne peut pas nous dire – et ce n'est pas forcément une bonne nouvelle que celle d'une nouvelle baisse de l'euro face au franc suisse...
 
◉◉ ALORS, ET CES AUGMENTATIONS ? Pour l'instant, le consensus des marques Richemont est autour de 7 %-8 %, Baume & Mercier ayant été la première marque à dégainer, dès vendredi dernier. Piaget a suivi, de même que Vacheron Constantin et Cartier, puis tous les autres marques y passeront. C'est peu par rapport à l'appréciation actuelle du franc suisse : l'idée est d'attendre quelques semaines et l'évolution ultérieure de la monnaie suisse pour réajuster les tarifs : cette hausse modérée s'explique aussi par la facturation en euros de la plupart des marques Richemont, qui disposent de filiales commerciales dans la zone euro capables de limiter provisoirement les risques de change [ce ne sera pas le cas des marques indépendantes, qui facturent en francs suisses et dont les tarifs devront accompagner les fluctuations de son cours]. Ces 7 %-8 % risquent cependant d'être un peu modestes si, jeudi, la Banque centrale européenne décide de mesures qui affaibliront encore un peu plus l'euro pour redonner de l'oxygène aux économies de l'Union...
 
◉◉ DÉSORDRE MONÉTAIRE (2) : le secret de cette valse des étiquettes chez Richemont, c'est moins la décision des CEO concernés [qui renâclaient à une telle intervention] que la volonté expresse de leur actionnaire, notre ami Johann Rupert, qui a exigé de ses patrons de marque qu'ils ne sacrifient pas leur marge comme ils en avaient tous l'intention. Chez Richemont, l'actionnaire a toujours raison, à plus forte raison quand il n'est pas content, ni de l'évolution de son cours de Bourse de l'action Richemont [qui ne se reprend qu'à peine depuis jeudi dernier, et trop lentement, avec une décote de 20 % par rapport au début de l'année – soit quelques milliards de différence dans son patrimoine personnel], ni des anticipations de ses services sur la médiocrité annoncée des résultats du SIHH. D'où les tensions perceptibles chez les CEO du groupe, qui ne savent toujours pas quand leur actionnaire visitera le salon, et chez les membres de l'état-major Richemont, nettement plus nerveux que les autres années [la manière dont on a surjoué les réactions au Geneva Leaks des révélations de Business Montres en dit d'ailleurs long sur cette fébrilité]...
 
 
◉◉ DÉCOUPLAGE MONÉTAIRE (3) : le grand mot à propos de ce SIHH et la grande inquiétude, c'est la « lassitude ». Celle des marchés face à l'arrogance tarifaire des marques suisses, qui s'imaginent qu'elles peuvent ad libitum augmenter des prix qu'elles n'ont cessé d'augmenter au cours de ces derniers mois. Et celle des consommateurs face à des étiquettes qui valsent [on est au-delà de la multiplication par deux en dix ans], face à la surproduction qui créent des surstocks partout et des discomptes sauvages, face au bégaiement créatif des marques qui ressassent inlassablement les mêmes ritournelles esthético-mécaniques et face à la démode qui guette les objets de poignet traditionnels [tout le monde attend le raz-de-marée des smartwatches]. Lassitude socio-culturelle qui ne sera qu'un facteur négatif supplémentaire parmi les « sept plaies d'Egypte » qui se conjuguent en 2015 pour menacer l'horlogerie suisse...
 
◉◉ KRACH MONÉTAIRE (4) : plus personne ne s'en souvient, mais le facteur le plus toxique de la « révolution du quartz » des années 1970 n'avait pas été l'adoption par les Japonais de la technologie du quartz [qui ne deviendra majoritaire dans la production de Seiko qu'au début des années 1980], mais la conjonction d'une défaite commerciale en rase campagne face aux Japonais sur le marché américain, perdu pour les Suisses dès le début des années 1970, et d'un désordre monétaire né de la dénonciation des accords de Bretton-Woods (parité or-dollar) par le président Nixon en 1973. Le prix des montres suisses avait alors brutalement augmenté de 30 % à 50 %, ce qui les plaçait encore plus hors marché face aux montres mécaniques japonaises. Imaginons, juste pour causer, la conjonction à court terme d'un tel désordre monétaire et d'une perte massive de parts de marché internationales pour cause d'offensive des smartwatches...
 
◉◉ EURO-FRANC SUISSE (5) : le CEO le plus fair-play et le plus smart de cette Wonder Week attend ses clients face au lac, à l'hôtel Kempinski. Vincent Perriard (HYT) offre à ses meilleurs distributeurs de « prendre en charge la différence » entre les tarifs actuels des commandes passées et le tarif en francs suisses à la livraison effective des pièces. Sympa, mais réservé aux meilleurs clients de la marque...
 
◉◉ FRANC SUISSE-EURO (6) : tous comptes faits, les deux CEO qui ont peut-être tout compris des nouvelles conditions du marché et des nouvelles attentes des consommateurs sont Jérôme Lambert (Montblanc) et Alain Zimmermann (Baume & Mercier). Explication : ils sont les seuls à s'être volontairement positionnés sur des prix aussi rétrécis que possible. Si on a beaucoup critiqué la Montblanc Orbis Terrarum à 5 000 dollars, notamment pour tous les codes empruntés à d'autres marques qui proposent de telles montres à heures universelles, on a oublié de signaler à quel point elle était devenue désirable à ce prix d'anti-haute horlogerie. Toutes les collections Baume & Mercier 2015 visent également la re-création, par un prix accessible, d'un tel réflexe d'impulsion. Plus que de satisfactions pour l'égo des managers et de leurs équipes, ne pas oublier que l'horlogerie a besoin de clients pour survivre !
 
◉◉ LES TREMBLEMENTS DE CARTIER : la vitrine Vibrato (en haut de la page, sous le sommaire) est difficile à décrire avec des mots, parce qu'il faut la voir faire vaciller les diamants et même la sentir vibrer imperceptiblement pour animer l'écrin. C'est purement magique et c'est, bien entendu, signé Xavier Dietlin...
 
◉◉ MÉDIAS PERROQUETS : comme hier, pour découvrir les dossiers de presse pré-formatés et les interviews des patrons horlogers qui n'ont rien à dire, ni en français, ni en anglais, nous renvoyons généreusement nos lecteurs vers la presse horlogère alignée, celle qui s'honore des plus grands spécialistes internationaux du copié-collé et des plus grands dégustateurs mondiaux de langue de bois, dans tous les dialectes universellement pratiqués...
 
 
 
◉◉ LES RUMEURS ET LES HUMEURS : le meilleur endroit où apprendre à écouter des belles sonneries au SIHH ? C'est le laboratoire acoustique d'Audemars Piguet, lancé à la recherche de l'accord parfait entre le volume, l'harmonie et la justesse du son – vivement demain que ça débouche sur une répétition minutes absolue... ◉◉ LE PRIX D'UNE GREUBEL FORSEY 2015 VUE COMME BASIQUE ET ACCESSIBLE ? Ne comptez pas moins de 270 000 francs suisses ancienne manière, sans doute quelques dizaines de milliers de plus dans les semaines à venir ! Et encore, Robert et Stephen ont fait de gros efforts pour parvenir à ce prix plancher... ◉◉ LE COACHING À LA MODE AU SIHH ? La bonne vieille méthode du bon docteur Coué, histoire de se persuader que tout est sous contrôle et que, jusque-là, tout va très bien. Ce que semble démentir la mine tendue des moindres interlocuteurs et les sourires visiblement de commande des patrons horlogers qu'on peut croiser dans les couloirs... ◉◉ LA BONNE SURPRISE À LA M.A.D GALLERY ? Les grands esprits se rencontrent : voici quelques jours, Business Montres (16 janvier) vous présentait un nouveau modèle d'horloge Nixie. Et c'est une Nixie révolutionnaire que Maximilian Büsser et ses amis (MB&F) exposent à l M.A.D Gallery de Genève, où ils reçoivent les journalistes, les clients étant traités à l'Hôtel de la Paix. Restylée par Frank Buchwald, cette Nixie Machine (vidéo ci-dessus, image ci-dessous) a été créée à partir de tubes Nixie fabriqués dans l'ex-Allemagne de l'Est communiste, dans les années 1960. Ces tubes-ampoules avaient été conservés dans un entrepôt militaire, en Bulgarie. Du costaud, qui dure encore, pour afficher les heures, les minutes et les secondes, dans l'inimitable style Nixie – rétro-futuriste selon le jargon Business Montres. Il n'y en aura que 12 et ces horloges sont équipées d'un GPS pour le réglage automatique de l'heure... ◉◉ FOURNISSEURS EN GALÈRE : même si tout va pour le mieux dans le meilleur des montres horlogers, il suffit de croiser au SIHH des groupes de fournisseurs et de sous-traitants de l'horlogerie pour comprendre que les carnets de commandes sont vides, les baisses de volumes à produire importantes et les prix en baisse sensible tellement il faut se battre pour la moindre passation d'ordres. Les marques auraient-elles oublié de signaler à leurs partenaire industriels que les perspectives 2015 étaient radieuses ? ◉◉ RENCONTRE AU SOMMET : ce n'est pas forcément bon à raconter, ni à répéter à la Comco suisse, mais il semblerait qu'une réunion au sommet soit prévue entre les groupes Swatch et Richemont pour tenter de définir les bases d'une politique commune concernant les changements de prix des montres suisses [rumeur d'état-major, ni officielle, ni autorisée]... ◉◉ ET LA PLUS GRANDE MONTRE DU MONDE ? Normalement, elle se trouve désormais à Moscou, dans le grand bâtiment commercial qui fait face au siège de l'ex-KGB, aujourd'hui FSB (services secrets russes). Signée Raketa (dernière et désormais seule manufacture horlogère en Russie), elle est terminée, réglée, prête à fonctionner (en haut de la page), mais elle est toujours recouverte d'une bâche. Explication : ce sont les travaux de rénovation de ce grand magasin qui sont en en retard : le bâtiment devait être inauguré en novembre, puis en décembre, mais ce ne sera pas avant février ou mars.
 
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◉◉ LES HIMALAYA D'OR DE L'HORLOGERIE : puisque le grand rassemblement de la famille horlogère au fond du lac ne s'opère pas avec les sourires convenus, ni avec le moral au beau fixe de ces dernières années, quelques journalistes triés sur le volet en ont profité pour distribuer, sur une base totalement subjective et en toute confidentialité, les « Césars » des meilleurs CEO et des meilleurs blogueurs de l'industrie des montres. Business Montres a pu se procurer – encore un coup du déguisement en petit peintre ! – une partie de la liste de ces « Himalaya d'or » – un nom qui rend hommage au « meilleur d'entre nous » [comme le disait Jacques Chirac à propos d'Alainprovisoire et elle sera complétée dans les jours à venir...
 
 HIMALAYA DU CEO CACHOTTIER : notre ami Ricardo Guadalupe, qui ne veut dire à personne qu'il a sous le coude un prototype de bracelet connecté (famille des puces NFC), sans doute développé avec WiseKey pour apporter un renfort d'intelligence électronique à n'importe laquelle de ses Big Bang mécaniques, même les mieux brodées...
 
 HIMALAYA DU CULOT MARKETING : notre ami Olivier Müller, le CEO de la nouvelle et renaissante marque Leroy, qui râtisse les allées du SIHH – où il est personnellement invité par Johann Rupert – pour y draguer les journalistes, les collectionneurs (surtout eux) et les détaillants dont il a besoin pour lancer Leroy sur un grand pied. Dans sa poche, le nouveau mouvement L200 qui fait tic-tac et qui semble déjà promis à beaucoup de futurs posts sur les réseaux sociaux, avec images sur fond d'assiettes aux tables de restaurants du SIHH. Félicitations pour cette ré-invention du « marketing saprophyte »...
 
SIHH15.LANGE.BUSINESSMONTRES HIMALAYA DE LA PARANOÏA COMPLOTISTE : notre ami Wilhelm Schmid, le CEO de Lange & Söhne. Après avoir fait censurer Business Montres (14 janvier), qui avait osé publier – exclusivité mondiale – une image de la Zeitwerk géante à l'entrée du stand de la marque au SIHH (ci-contre), on espérait mieux qu'une répétition minutes pour une montre qui sonnait déjà les heures dans ses versions précédentes. Ce ne sera donc qu'une simple répétition minutes, certes originale sur une heure sautante digitale, mais fondamentalement pas révolutionnaire. Nous nous étions interrogé sur le sens de l'humour de Wilhelm Schmid, le CEO allemand de la marque allemande. En fait, le vrai secret à protéger, c'était le fait que cette montre à sonnerie n'avait que très peu de chances de se faire remarquer par la qualité de sa sonnerie... 
 
HIMALAYA DU BISOUNOURS HORLOGER : nos ami(e)s de l'organisation du SIHH, qui n'ont pas failli à leur mission logistique, mais qui ne lésinent pas sur le valium et les psychotropes lénifiants pour nous expliquer que, finalement, en dépit des tempêtes dont tout le monde perçoit les grondements hors du SIHH, l'ambiance est irénique, les perspectives souriantes, les résultats commerciaux déjà très encourageants, le nombre des visiteurs forcément en hausse sensible et – selon les éléments de langage inlassablement répétés – il ne va rien se passer, de toute façon, parce que « l'horlogerie suisse a surmonté bien d'autres crises ». Donc, circulez, il n'y a rien à voir et tout va très bien, madame la Fondation de la haute horlogerie...
 
 HIMALAYA DU BLOGUEUR PIQUE-ASSIETTE : notre ami chinois XXX [inutile de préciser les initiales : tout le monde les connaît], qui ne comprend décidément rien à la haute horlogerie, mais qui fait semblant de prendre des photos intelligentes en plus de se piquer désormais d'analyses parfaitement conformistes et d'une banalité consternante sur l'actualité des montres et de l'industrie horlogère. On fait ce qu'on peut, mais, quand on peut peu...
 
 HIMALAYA DU BLOGUEUR RAGEUR : notre ami Malik Bahri, pour son compte-rendu assassin et ses commentaires sur la collection SIHH 2015 de la manufacture Panerai, « Le périgée » (Foudroyante : à ne manquer sous aucun prétexte)...
 
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DE L'ACTUALITÉ DES MONTRES ET DES MARQUES...
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