À quelques heures du solstice d’hiver, avec toujours d’énormes nuées noires d’orage à l’horizon, quelques hors-d’œuvre d’une actualité des montres anesthésiée par les vacances horlogères…

Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 351e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand homme d’État et cardinal Armand Jean du Plessis de Richelieu (1585-1642) pour la citation de ses « Mémoires pour servir à l’histoire d’Anne d’Autriche » (1723) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Même si la plateforme de sociofinancement Kickstarter (crowdfunding) n’est plus la cash machine millionnaire d’autrefois, on y fait encore d’intéressantes rencontres, pour le meilleur et pour le pire : voici quelques projets intéressants…

Dans ses travaux académiques, le jeune historien genevois de l’horlogerie Sébastien Ratcliff s’est intéressé à un nouveau concept : le « geste horloger », notion élémentaire – quoique méconnue – des beaux-arts de la montre, qui a par exemple permis la revitalisation de l’horlogerie genevoise après la violente saignée économique du quartz. Présentation et précisions par ce chercheur très prometteur…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 196e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : Albishorn, Breitling, Eska, Frederique Constant, Jaquet Droz, Ressence et Undone…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 195e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : Alexander Shorokhoff, Armin Strom, Ball Watch, Bamford x Selfridges x Disney, Jaquet Droz, Undone et Vero Watch Co. x Realtree…

Après la bulle des décorateurs indépendants, preux chevaliers de l’angle rentrant et du guillochage combinatoire, on voit se profiler la bulle des méchaniciens indépendants, orfèvres de l’échappement savant et de l’imagination architecturée…

Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 350e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain français Raymond Queneau (1903-1976) pour la citation de son « Journal intime de Sally Mara » (1950) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi les deux compteurs d’une nostalgie lyonnaise, les chaînes précieuses qui libèrent, le chronographe dont les aviateurs auraient rêvé, la montre connectée qui tire la langue aux icônes et les taxes qui se détaxent… Images ci-dessous : une montre de pilote dont on aurait fait tout pour qu’elle existe (Albishorn)…

Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 349e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au calife Ali Ibn Abou Talib (599-661), premier imam chiite, gendre et cousin germain du prophète Mahomet, pour la citation qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 194e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : Angelus, Arnold & Son, Carlingue, De Bethune, Emporio Armani, Isotope et Massena Lab x Raúl Pagès…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 193e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept objets du temps de sept marques : Alpina, Angelus, BND, Hegid, Raketa, Urwerk et Yema…

Sur le papier, c’est purement génial ! C’est même le genre d’histoire qui pourrait vous tirer les larmes des yeux si les petits malins qui ont monté l’opération n’en faisaient pas un peu trop. Comme nous entrons bientôt dans les sacro-saintes vacances horlogères, voici un fabliau bien réel que nous avons trouvé dans la hotte du Père Noël…

Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 348e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain tchèque devenu français Milan Kundera (1929-2023) pour la citation de son roman « L’immortalité » (1990) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

L’actualité horlogère s’assoupit avec l’approche de Noël et des vacances horlogères, qui vont durer cette année plus longtemps que jamais. On vous a quand même trouvé de quoi vous informer, vous réjouir, vous indigner et vous amuser. Il faut de tout pour faire un monde horloger...